Coquête de l'Afghanistan

L'Afghanistan fut choist pour commencer les combats car c'était en terre étrangère et dans ce pays les troupes allemandes et soviétiques étaient face à face. Une ligne séparait le pays de Kabol à Herat.

Les Soviétiques étaient à Herat, il fallait donc que l'Allemagne prenne les mesures nécessaires.

Dans les jours qui avaient précédés, 2 millions de soldats furent placés en arrière de la ville. 500 canons de 420 mm avaient été préparés à 20 km de la ville ainsi que 100 grands bombardiers.

le 24 septembre à 8 heures, les combats commencèrent. Les 500 canons se mirent à tirer en même et les 500 premiers obus tombèrent sur la ville tenue par les Russes. 5 minutes après arrivèrent les bombardiers. Ils lachèrent des tonnes de munitions sur les Russes. Des pans entiers d'immeubles s'écroulaient, la ville tremblait de tous les côtés, et de nombreux incendies s'étaient déclarés...

Les troupes soviétiques avaient été surprises par l'attaque allemande mais ce n'est pas pour autant qu'elles allaient reculer. Le Camarade comissaire Zytsef fit passer un message aux troupes de l'armée rouge :
-Soldats de l'Armée Rouge, vous vous battez pour le Camarade Staline qui depuis Moscou veille sur nous et empatit les douleurs de la guerre. Vous défendez le sol de la mère patrie, le sang de vos proches, face au capitalisme qui si il met la main mise sur vous, vous transformera en esclave. Défendez l'Union Soviétique avec tout votre courage ! Repoussez les Allemands jusqu'à Berlin et éradiquez le capitalisme qui enchaîne tous les peuples prisonniers de l'Allemagne !

Vive Staline !

Pour le 27 septembre avait été organisée la riposte sur les lignes allemandes. 500 canons de 420 mm furent préparés et les troupes soviétiques amenèrent au total 3 millions d'hommes, dont 1 million se trouvait dans la ville. En arrière 600 grands chars étaient prêts à attaquer les Allemands.
A la même heure que l'ennemi, soit 8 heures, les canons de l'Armée rouge se mirent en batterie et pillonèrent les positions allemandes sans arrêt. En même temps, 50 grands avions de chasse ainsi que 50 grands bombardiers prirent leur envol et se dirigèrent sur les troupes allemandes. Durant ce temps aussi, 50 batteries anti-aériennes furent placées dans les rues de Herat pour se défendre de l'aviation allemande.

L'alerte se mit à sonner chez les Allemands à l'arrivée des avions soviétiques. Les 100 batteries anti-aériennes qui devaient assurer la défense des lignes se mirent en route et tentèrent de tirer sur les avions enemis. L'attaque russe devait absolumment être repoussée.

En arrière, 800 chars de grande taille furent positionnés en 4 divisions de 200 chars, pour préparé un plan de l'Etat-Major.

Les troupes du MOA fournirent un contingent de 2 millions d'hommes, ce qui faisait que les Allemands pouvaient aligner 4 millions de soldats sur ce front.

Pour riposter à l'attaque soviétique, les avions allemands décolèrent de leur base pour de nouveau aller bombarder les positions ennemies. Il y avait 50 grands avions de chasse et 50 grands bombardiers.

En arrière, les camions s'efforçaient d'amener les munitions sur le front car on ne pouvait se permettre d'en être à court, sinon les Soviétiques en profiteraient et portraient peut être un coup fatal à l'Allemagne.

Les 500 canons de 420 mm qui avaient été déployés se mirent de nouveau à tirer sur les lignes soviétiques.

A Berlin, le Kaiser tâchait de ne pas montrer ses états d'âmes vis à vis de la situation en Afghanistan, car bien qu'il n'ait pas à être déçu, il n'y avait pas de raison non plus de s'en réjuir.

Les troupes soviétiques ne pouvaient plus supporter de tels combats. Après une semainne de combats, de nombreuses pertes étaient à déplorer, et il fallait donc que des mesures soient prises.

Le Parti comptait donc sur la dévotion absolue de ses soldats en vertu de la défense de la patrie. Il fallait mener l'assaut, et donc se jeter sur les positions allemandes qui fléchiraient et l'ennemi quitterait les lieux.

75 000 soldats soviétiques furent donc préparés à se lancer sur les Allemands avec devant eux une division de 100 grands chars blindés. Les soldats arrivèrent sur les positions allemandes et se jetèrent sur les soldats ennemis pour les tuer. Tuer était obligatoire si on ne voulait pas être tué nous-même. Les 100 chars se mirent à tirer sur les positions allemandes, qu'ils avaient à porter de tir.
L'artillerie en arriève avait cessé les combats pour éviter de tirer sur ses propres soldats.

L'Allemagne dever repousser avec tous les moyens possibles l'assaut des troupes russes. 12 grands bombardiers et 12 grands avions de chasse décollèrent et se lancèrent sur les troupes russes pour les pillonner. Les hommes tombaient les uns après les autres. De même, 20 autres grands bombardiers s'efforcèrent de tirer sur les chars de l'ennemi pendant 2 bonnes heures.
Bien sûr les bombes n'arrêtaient pas tous les hommes, et s'est ainsi que 100 000 soldats allemands furent mis en position face aux lignes russes. Les soldats, cachés derrière des rochers, des bouts de murs, des véhicules détruits ou autres, tirèrent tant bien que mal sur les Soviétiques.
150 chars allemands vinrent en renfort pour appuyer les troupes au sol. Des torpilles étaient lancés sur les Soviétiques, mais aussi sur leurs chars qui restaient en position malgré le passage de l'aviation.

Le commandement régional avait décidé qu'il fallait profiter de cet instant pour frapper à nouveau les Russes. 100 grands bombardiers décollèrent des aérodromes en partance pour la ville d'Herat. Ils avaient pour mission de bombarder l'artillerie ennemie. 30 grands bombardiers se chargèrent de cela. Les 70 autres pillonnaient toujours et encore la ville pour faire écrouler les murs sur l'ennemi mais aussi réduire ses possibilités de se cacher.

-Rapport du narrateur :

L'URSS a perdu 60 000 soldats.

L'Allemagne a perdu 10 000 soldats.

L'URSS perd 41 chars de grande taille ainsi que 125 canons de 420 mm.

L'Allemagne perd 25 canons de 420 mm et 9 chars de grande taille.

Validé par l'admin William F. Hasley

Suite à l'entente avec l'Allemagne, les troupes soviétiques reçurent l'ordre de se retirer de l'Afghanistan. Elles emmenèrent avec elle tout le matériel hors des frontières afghanes.

Les drapeaux rouges furent retirés de tous les bâtiments, pas forcément en joie, mais par obligation comme il avait été conclu avec les Allemands.
Les soldats marchaient au pas, dans le calme, mais la rage dans le ventre. Ils souhaitaient pour une revanche sur l'Allemagne. Beaucoup ne comprenaient pas la décision du Camarde Staline, allant même jusqu'à dire que l'Allemagne l'avait manipulé, renforcant ainsi leur haine envers l'Empire allemand.