Visite de guerre

Le gouvernement suisse ayant marre des insultes de l'Allemagne et de ses ménaces envoya cette fois, le président en personne. C'est ainsi que Christoph Blocher arriva à Berlin de mauvaise humeur. Il demanda donc d'être recu par l'Empereur et attendit ainsi dans la salle d'attente.

L'Empereur était actuellement en voyage officiel aux Etats-Unis, il ne pouvait donc pas recevoir le Président Suisse.
Une secrétaire informa qu'une homme était entré dans le Ministère et le Chancelier décidit alors de son bureau. Il reconnut l'homme et alla vers lui.

-Bonjour Monsieur Blocher, que puis-je pour vous ?

Le Gouvernement Allemand n'avait reçu aucune lettre annonçant l'arrivée de l'homme donc on se demandait pourquoi il était là.

Le président lui dit.

- Je viens faire la visite diplomatique que notre ambassadeur aurez du faire à ma place si on ne l'aurez pas faire attendre sept heures sans aucune reaction de la part de votre gouvernement.

Le Chancelier ne souriait pas du tout, se demandant pour qui cet homme se prenait :

-Nous sommes très occupé en ce moment. Sans doutes que n'avons pas eu le temps de traiter votre demande.

Il croisa ses doigts :

-Mais enfin, quelle est la raison précise de votre présence ?

Le président lui répondit donc.

-Bien voila, je viens ici pour négocier deux choses qui me semble capitale pour finir avec cette situation ridicule qui à trop durer et qui provoque la rise en l'Europe. Premierement la Suisse voudrait savoir si un accord commercial ainsi qu'une ouverture des frontières entre la Suisse et l'Allemagne est possible pour le transport de marchandises et d'humains

Le Chancelier fit un sourire puis dit à l'homme :

-Suivez-moi je vous prie.

Et ils prirent la marche dans le Ministère en commençant par monter au premier étage. Ils longèrent un couloir pour arriver devant deux grandes portes. Le Chancelier en ouvrit une.

-Entrez !

Ils s'intallèrent au bureau du Chancelier; une femme ammena des boissons. Il fit signe à son invité d'en prendre une.

-Pourquoi pas me direz-vous!? Mais Son Altesse a été claire avec moi : pas de négociations avec la Suisse tant que nous ne connaissons pas les vrais motifs de votre militarisation forcée !

Le Président le regarda et pensa à quelle point cette homme été aveuglé par les vrais faits. Il soupira et lui posa donc la question donc on n’avait guère l’habitude d’entendre avec un ton absolument neutre.

-Vous voulez me dire Monsieur der Harteman, que un pays avec même pas cinq millions d’âmes menace une nation de trente millions? Je sais pas ou vous avez étudier mais la suisse est neutre depuis bientôt un siècle et je doute que croire que la Suisse va entamer de invasion soit une croyance moderne. Doit je vous signaler que la République Helvétique en huit siècle d’existence n’a n’y une fois envahit une autre nation, et je doute que ceci sera le cas pour les prochains huit.

Attristé par l'ignorance de cette homme qui ne semblez même pas savoir ou étés la Suisse et encore moins de la constitution de ce pays, il lattednit.

Le Chancelier se redressa sur sa chaise puis dit :

-Monsieur, la Suisse peut très bien changer. J'en suis désolé. regardez les Etats-Unis qui ont basculé dans un Empire. Ceci est la preuve que tout peut changer.

Il n'aimait pas cette homme qui se croyait au dessus de l'Homme selon lui.

-De toute manière Monsieur, votre réponse n'est pas celle à ma question : pourquoi engagez-vous tant d'effectifs ?

Blocher lui répondit donc.

- Pourquoi est-ce que votre nation engage tant de troupes? Pourquoi est-ce que l'Allemagne forme des alliances militaires et qu'elle s'arme?

- Ces questions sont la cause de notre armement!

Le Chancelier se passa la main sur le menton, lui donnant l'air de s'interroger :

-Le Kaiser ne fait pas confiance à ses voisins. Voilà la raison pure et simple. Il ne craint que des alliances secrètes soient formées pour envahir l'Allemagne. Il veut donc être prêt à se défendre !

Le Chancelier avait confiance en ces arguments car il était, sur ce point, du même avis que l'Empereur.

Blocher lui répondit donc à cette affirmation qui venait de la bouche du Chancelier.

- C'est exactement ce que le conseil fédéral pense aussi.

Le Chancelier laissa sortir sa joie :

-Je suis heureux que nous ayons trouvé le pourquoi de ce phénomène. Dans les circonstances actuelles, il nous est donc possible d'établir des accords entre nos deux nations.

Le Chancelier but d'un coup sec sa tasse de thé, cette discution l'avait épuisé.

Le Président ne fit pas de signe de relaxation et s'assit sur une siège qui avait été abandonner dans la salle.

- Bien donc, alors ou nous étions, ah oui! Voila, la Suisse voudrait avoir avec l'Allemagne un accord commercial concernant le transport de marchandises et humains.

Le Chancelier pensait à ce que lui avait dit l'Empereur avant cette réunion puis continua :

-Cela me semble être une très bonne idée. Je vous propose que l'on parle tout d'abord du trasport humain : il faudrait qu'un système de permis soit mis en place car j'ai bien peur que des Suisses ne viennent s'installer en Allemagne pour le niveau de vie et les salaires plus élevés dans certains secteurs, et réciproquement. Qu'en dites-vous ?

Le Président lui répondit.

- Nous venons de faire une étude, et je peux vous assurer qu'un problème d'immigration et hors de compte. Etant que la Suisse à une industrie florissante, pas de chômage et un secteur tertiaire et secondaire en explosion.

-En plus les réformees sociales mênés il y a quelques années surtout sur l'assurance et l'assurance de vieillesse on fait de la Suisse un paix ou la vie mérite d'être vécu. Nous posedons en plus casi pas de criminalité.

- Le seuls gens qui pourrez poser un problème pourornt être les criminels qui essayeront de fuir la justice suisse.

- En plus je ne vois pas comment des Allemands pourrez vivre dnas un pays démocratique.

Le Chancelier lui répondit alors :

-Oui je pense que, à part des criminels, il n'y aura pas de problème. De toute manière, notre police les reconduira à la frontière où ils seront arrêtés.

Il s'appuya sur le bureau...

-Vous dites que les Allemands ne peuvent pas vivre dans un pays démocratique. Et pourquoi cela ? Je tiens à vous informer que notre peuple jouie de libertés fondamentales. Nous pouvons donc assimiler l'Allemagne à une démocratie.

Le président se leva et lui dit.

- Les Allemands auront bien des peine à s'adapter à la Suisse. Les Alemands ne parlent aucune langue locale de la Suisse, ne connaissent rien au système économique suisse, et non jamais vécu sous une confédération et une démocratie. En plus la liberté de presse totale face au gouvernement rendra encore plus difficile leur integration. En plus il est connu que les Allemands on des très grands difficultés d'intergation dans une societé non-allemande.

Le Chancelier n'aimait pas du tout la conduite du Président du Conseil Fédéral Suisse :

-Monsieur, vous êtes ici dans mon bureau. Votre conduite n'est pas digne de votre rang. En arrivant, vous étiez déjà de mauvaise humeur et ici vous tentez de m'intimider en vous levant dans mon propre bureau !

Il se leva à son tour :

-Oubliez tout accord entre la Grande Allemagne et votre morceau de terre. Au revoir.

Il appuya sur une petite sonnette et un domestique ouvrit la porte.

Le président s'assit et lui dit.

- Monsieur, je doute que votre comportement soit sage. Vous insulter notre nation et vous ne supporter pas l'idée que les Allemands et le suisses ne puisse pas vivre en collaboration. Mais comment voulez vous que nos deux peuples se rapproche si vous traiter la Suisse comme un état vassal. Je vous conseille de renvoyer vos domestiques car j'ai un accord économique bien plus interressant à vous proposer. Mais si vous tenez tant à perdre un futur allie...

Le Field Marschal avait reçu un coup de téléphone de l'Empereur. Le Kaiser lui avait donné des instructions très claires.
Monsieur Von Hindenburg monta dans sa voiture pour se rendre au bureau du Chancelier depuis la Caserne Militaire.
Il arriva et sa voiture se gara à l'avant du bâtiment. Un soldat posté à l'entrée lui ouvrit la porte. Il descendit de sa voiture et entra dans l'édifice puis parla à la secrétaire :

-Madame, s'il vous plaît, où sont le Chancelier et Monsieur Blocher ?
-Ils sont dans son bureau Field Marshal.
-Oui, merci, j'ai reçu des instructions de Son Altesse, ne vous inquiétez pas.

Le Field Marshal monta à l'étage et aperçu la porte du bureau du Chancelier ouverte. Il entra dans la pièce en rapidité et s'avança vers le Chancelier auquel il donna une lettre. Puis il se tourna vers le Président Suisse :

-Field Marshal Von Hindenburg. Au nom du Kaiser, vous avez 24 heures pour quitter le Reich. Veuillez-me suivre je vous prie.