Guerre contre l'Espagne

Les Etats Unis avaient, avec l'Allemagne, décrèté l'état de guerre contre l'Espagne.

Dès lors, l'opération Iberian Freedom était lancée.
Cette opération devait débuter par un assaut maritime.

La flotte américaine arrrivait au large de la pointe nord ouest de l'Espagne en entrant dans les eaux territoriales.

Etaient présents 3 grands porte avions avec à chaque bord 35 petits chasseurs, 10 petits avions transporteurs et 15 petits bombardiers, 5 petits sous marins, 2 petits cuirassés, 2 petits frégates, 4 grands navires de transport de matériel chargés au maximum en canons, véhicules et chars, 15 grands navires de transport de troupes chargés au maximum en homme et 30 grandes frégates.

20 grandes frégates formaient la première ligne, les 10 autres formant une ligne de protection à l'arrière.
Les frégates de la première ligne chargèrent leurs obus et commençaient à pilonner les côtes ennemies entre Muros et Vigo.

Parallelement à ce pilonnage, les chasseurs et bombardiers avait pour mission de neutraliser les positions ennemies aux alentours de Vigo.
Combinées aux pilonnages, ces opérations permettaient un débarquement sans trop de risque pour l'infanterie américaine.

Les navires transporteurs débarquèrent au niveau de Vigo et les soldats investirent la ville et les alentours.

Quelques heures plus tard, Vigo et ses alentours, et sutout l'aéroport, étaent sous controle américain.
Les patrouilles aériennes de l'aéronavale permettaient de veilller aux mouvements de troupes espagnoles.

Cette position devait être gardée à tout prix mais déjà les avions transporteurs en provenance des Etats Unis ou d'Islande apportaient déjà ds hommes et du matériel supplémentaire.

Les Etats-Unis et l'Allemagne étaient alliés dans les opérations contre l'Espagne. La Marine allemande rriva près des côtes espagnoles, en même temps que la Marine américaine. Les Américains avaient ouvert le front, et l'Allemagne s'enfonçait dans les lignes américaines.

50 grands navires de guerre, 3 grands-portes avions (chargé de 90 moyens avions de chasse et de 90 moyens bombardiers) étaient présents. Le débarquement se fit juste après les Américains. 10 grands bateaux transporteurs de soldats devaient faire débarquer 100 000 soldats allemands. 5 grands bateaux transporteurs de matériel de guerre déchargèrent sur les côtes firent débarquer 600 canons de 420 mm et 600 batteries anti-aériennes, 350 chars de grande taille, 150 grands bombardiers et 150 grands avions de chasse.

Les avions ne pouvaient pour le moment pas servir, car il n'y avait encore pas de piste d'atterissage et de décollage mise au point. Mais dans les jours à venir, le problème devrait être réglé. De fait, c'était les avions en poste sur les porte-avions qui devaient assurer la sécurité des lignes alliées, en collaboration avec l'aviation américaine.

Au bout d'une journée, les troupes allemandes étaient déjà au nombre de 50 000 sur les positions.

Sur les positions déjà acquises, 600 batteries anti-aériennes furent placées pour se protéger d'une éventuelle attaque des Espagnols.

Avant de lancer toute nouvelle offensive, les Allemands attendaient l'avis des Américains.

Les troupes américaines défendaient les positions pendant l'installation du matériel allemand. Les américains mettaient également en place des canons de 420mm vers leurs positions pour pilonner les lignes de front.

Des batteries anti aériennes amenées par navire, au nombre de 50 furent installées autour de l'aéroport de Vigo qui était devenu en quelque sorte le QG de la force expéditionnaire américaine.

Depuis cet aéroport, des raids aériens de l'Air Force et de la Luftwaffe pourraient être lancés car les avions de l'aéronavale ne pouvaient tout faire.

150 grands avions de chasse en provenance d'Islande avaient atterrit sur l'aéroport de Vigo dans la journée, accompagnés de 50 grands bombardiers.

Ces avions avaient ordre de bombarder les lignes ennemies depuis Vigo jusqu'à la Corogne en passant par St Jacques de Compostelle.

Ces bombardements allaient ouvrir le passage aux infanteries américaines et allemandes.

Les 100 000 soldats allemands avaient débarqués et se trouvait à l'intérieur des positions américaines et allemandes. Les 150 grands bombardiers et 150 grands avions de chasse de la Luftwaffe se rangèrent sur les emplacements de l'aéroport de Vigo, aménagé par les Américains.

L'artillerie allemande se préparait à l'attaque, et l'aviation aussi. Les avions furent chargés au maximum de leurs capacités. Il en fut de même pour les véhicules qui transporteraient les obus jusqu'aux canons qui effectueraient les tirs sur l'ennemi. La journée fut un dur moment de travail pour les soldats.

Mais le soir les soldats eurent la permission de se distraire, excepté ceux qui effectuaient des rondes et s'occupaient de la surveillance. Mais ils seraient remplacés à tour de rôle. Les soldats allemands eurent l'occasion de se promener dans les bars des casernes, mais aussi ceux de la ville. Le commandement avait été clair : aucun égard à l'égard des civils car il sn'étaient pas responsables des mauvais agissements de leur Gouvernement.
Les Américains se joindraient sûrement aux Allemands cette nuit là....

Le lendemain, les troupes d'assaut se préparèrent. Elles devaient atteindre Orense, près de 100 km plus loin, avant la tombée de la nuit. Les Espagnols ne s'étaient pas encore organisés, il ne devrait pas y avoir de problème majeur.
Les 300 appareils de la Luftwaffe décollèrent et se dirigèrent vers Orense...

Après une soirée de détente pour les troupes, en compagnie des allemands, la suite promettait d'être rude. Certes les espagnols ne s'étaient pas organisés dans leur défense mais il y avait du travail.

Pendant la nuit, 150 grands avions de chasse et 50 bombardiers suplémentaires étaient arrivés et les navires transporteurs de soldats étaient repartis pour l'Islande pour ramener des hommes. Ils étaient sur le retour et allaient arriver le lendemain.

A l'aube, 50 bombardiers partirent avec l'aviation allemande vers la ville d'Orense à l'est de nos positions. Le but de cette manoeuvre était bien entendu de bombarder les centres industriels espagnols.

Pendant ce temps, 50 000 soldats américains se déployaient au nord. Après le pilonnement effectué par l'aviation la veille, is n'avaient aucune difficulté à avancer.
50 000 autres progressaient vers l'est pour gagner du terrain vers Orense.
La résistence espagnole étit minime, pour ne pas dire inexistante. La progression des troupes était donc des plus rapide.

Dans la matinée, les avions partis à l'aube arrivaient au niveau de la ville d'Orense. Avec l'aide des avions allemands, les bombardiers américains larguèrent leurs bombes sur les centres industriels d'Orelle et les positions stratégiques de la ville.

Invité

La République Socialiste Espagnole éparpilla autour de ses Centres industriels, port aéroports villes les civils allemands américains capturés par les forces policières espagnoles et seront exposées en cas d'attaques aériennes contre les point vitaux de l'Espagne.

Les bateaux allemands avaient maintenant apporté un total de 600 chars de grande taille sur le territoire espagnol. La Marine allemande avait aussi fait accoster 100 000 soldats supplémentaires. Maintenant, 200 000 soldats allemands foulaient le sol de l'Espagne de leurs bottes de cuir noires.

100 000 soldats marchaient, ordonnés (ce qui faisait la réputation de l'armée allemande) vers la ville d'Orense. A l'avant, 200 grands chars d'assaut roulaient à la vitesse de la marche des hommes. Dans les airs, volaient les 150 grands bombardiers et 150 grands avions de chasse.

Les troupes américaines et allemandes étaient arrivées près de la ville d'Orense. Et la Luftwaffe s'occupait de piloner la ville. Les avions larguèrent des tonnes de munition sur les deux centres industriels de la ville. L'Etat-Major avait bien dit qu'il fallait paralyser l'économie espagnole car elle était trop dynamique selon lui.

Après un long bombardements, qui avait épargné le centre ville, les troupes américaines et allemandes purent enfin pénétrer dans la ville. Les chars ouvraient la voie aux troupes alliées. Après 5 heures d'investissement, la ville d'Orense était aux mains des Allemands et des Américains. Les civils qui étaient restés avaient ordres de ne pas quitter leur domicile.

Invité

Le Gouvernement fit placarder cet ordre partout dans le pays

La República Socialista de España
Oficina de la Presidencia de la República

José Diaz Ramos, ordenamos que dedales el conocimiento de la destrucción de un centro industrial españoles 50 rehenes alemanes y 50 rehenes americanos sean fusilados.

Fait à Madrid le 10 janvier 1952

José Diaz Ramos

La République Socialiste d'Espagne
Bureau de la Présidence de la République[/center]

Nous José Diaz Ramos, ordonnons que dés la connaissance de la destruction d'un centre industriel espagnols 50 otages allemands et 50 otages américains soient passés par les armes.

fait à Madrid le 10 janvier 1952

José Diaz Ramos

Les autorités allemandes se fichaient guère que des civils allemands soient arrêtés. Qui serait le plus perdant dans cette affaire ? L'Espagne évidemment. Le Kaiser tout de même était fou de rage, mais il avait clairement explicité le fait que l'Espagne allait payer pour ses crimes. Les troupes allemandes avaient ordres de ne pas se venger sur les civils, car l'Allemagne n'était pas un bourreau contrairement au Président espagnol. L'Empereur avait dit que l'Espagne paierai 1 milliards de dollars pour chaque civil allemand exécuté. La facture allait être lourde. D'ailleurs le Kaiser sougeait aussi à ce qu'il pourrait bien de l'Espagne après la victoire. Peut être un territoire occupé comme la Grèce. Enfin cela était à voir avec les Américains.

Quoiqu'il en soit, le Kaiser avait ordonné l'envoie de 50 000 soldats sur le Portugal pour le libérer des Espagnols. Le contingent allemand en Espagne avait encore grossi de 100 000 hommes, soit un total de 300 000 soldats allemands.
A Vigo, les convois militaires furent organisés pour envoyer 200 chars et 50 000 soldats allemands dans tout le Portugal. Les locomotives furent équipées de mitrailleuses et de canons anti-aériens. 50 grands avions de chasse et 25 grands bombardiers suivaient les convois pour les protéger. Le 10 janvier 1952, la libération du Portugal commença.
Ce pays n'aimait pas tellement les Allemands car ils les avaient occupés il y a un an de cela pendant près de 4 mois. Mais par cette libération de l'oppression espagnole l'Allemagne allait peut être regagner en amitié parmi le peuple portugais.

Au Nord Ouest de l'Espagne, tous les territoires à l'Ouest des villes d'Orense et de Lugo étaient occupés par les troupes alliées. Il fallait relancer l'offensive vers l'intérieur des terres. L'infanterie et 300 chars d'assaut furent dépêchés sur les routes qui conduisaien vers la ville de Léon. La Luftwaffe devait préparer le terrain. 150 grands bombardiers et 150 grands avions de chasse partirent vers la ville...

Les 150 000 soldats américains partis d'Islande étaient enfin arrivés. Cela portait à 300 000 le nombre de militaires américains sur le sol espagnol.

Le Président était outré du fit que le dirigeant espagnol massacre des citoyens allemands et américains dans cette guerre plutot que de combattre loyalement.
De toute façon, il savait pertinamment que les chiffres du Gouvernmeent espagnol étaient faux car aucun militaire américain ne se trouvait sur le sol espagnol avant la guerre et que très peu de civils s'y trouvaient.
Ceci n'était qu'un prétexte de pure lacheté, n'osant pas combattre de peur de perdre.

La pointe nord ouest de l'Espagne était sous controle allié. Il fallait maintenant s'engoufrer dans les terres et 100 000 soldats avançaient au nord de l'Espagne, aidés sur la côte par la marine.
La Luftwaffe allait droit sur la ville de Leon pour paralyser l'économie locale.
L'aviation américaine était elle chargée de détruire les poches espagnoles sur le chemin de l'infanterie.

Au niveau du Portugal, des soldats américains accompagnaient également les troupes allemandes avec un appui aérien.

Pendant ce temps, des grandes frégates commençaient à arriver au large de Lisbonne et commençaient à piloner les points stratégiques pour laisser place aux 150 000 marines américains en cours de route à bord de navires de transport.

L'invasion allemande et américaine continuait, et l'Espagne ne changeait toujours pas de tactique. Quoi de mieux pour les Américains et les Allemands ? Ils pourraient ainsi avancer dans le pays sans difficulté grâce à la grande incompétence du Président qui ne savait rien à rien, surtout dans le domaine militaire.
D'ailleurs le Gouvernement américain avait révélé au Gouvernement allemand que les chiffres publiés par Madrid à propos de l'arrestation de civils étaient faux. Cela faisait une autre bonne nouvelle pour le camp allié.

La Luftwaffe était arrivée sur la ville de Léon. Les 2 centres industriels furent bombardés. Il ne restait plus qu'un amas de ruines fait de béton et de morceau d'acier, certainement d'anciennes poutres.
Le Gouvernement espagnol avait réparti de ses soldats autour des centres industriels. Les avions de chasse qui accompagnaient les bombardiers purent tirer sur les troupes, et quelques bombardiers larguèrent des obus sur les casernes espagnoles.

Les infanteries allemands et américaines étaient arrivées sur le ville le soir du premier jour de transport. Le deuxième jour, elles purent investir la ville. 200 grands chars allemands contournèrent la ville en même temps que les 150 000 soldats allemands pénétrèrent dans la ville. Un groupe de 60 000 soldats espagnols se rendit, baissant les armes. Eux qui devaient protéger les centres, qui désormais n'étaient plus, étaient devenus des prisonniers.

Plus au Nord, les troupes avaient avancé jusqu'à Gijon. Là aussi des soldats espagnols furent fait prisonniers : 30 000 hommes. Les Allemands seuls n'étaient pas assez nombreux pour faire autant de prisonniers mais avec les Américains, ils étaient .3 fois plus, ce qui ne posait donc pas de problème.
Les troupes alliées transportaient les soldats espagnols prisonniers dans un camp élaboré à Lugo. Les 90 000 prisonniers furent placés à l'intérieur.

Rapport du narrateur :

L'Espagne perd 4 centres industriels : 2 à Orense et 2 à Léon

L'Allemagne et les EUA ont fait 90 000 prisonniers espagnols

Les bombardements ont causé la mort de 1 200 soldats espagnols

L'invasion de l'Espagne progressait, toujours sans aucune réelle opposition des soldats espagnols. Eux devaient certainement vouloir se battre pour défendre la patrie mais encore une fois le problème venait d'en haut de la hiérarchie, avec ce Président aussi qu'une compétent un signe en commandement armée national. Le Kaiser ne fléchissait pas pour autant, et il avait même ordonné d'accélérer l'invasion de l'Espagne.

Les forces allemandes étaient maintenant au nombre de 600 000 soldats en Espagne.

Au bout de 3 jours de déplacement, 150 000 soldats allemands arrivèrent sur Valladolid. La Luftwaffe avait bombardé les casernes espagnoles ainsi que les deux centres industriels de la ville, provoquant ainsi de nombreux dégâts. La ville était encerclée, et le garnison espagnole n'avait plus aucune chance. 3 jours après l'arrivée des Allemands et des Américains, elle décida de se rendre. Les troupes alliées purent ainsi faire 100 000 prisonniers espagnols, qui furent envoyés à l'arrière.

Au Nord du pays, les troupes étaient arrivées sur Santander, et là les alliés firent 20 000 prisonniers espagnols. L'invasion progressait à merveille.

Au Portugal, les troupes allemandes et américaines avaient pu s'enfoncer jusqu'à l'extrême Sud du pays. 100 000 Espagnols furent faits prisonniers. De nombreux Portugais exprimaient encore des mauvais sentiments à l'égard des Allemands, et cela pouvait parfaitement se comprendre vu la précédente guerre. Mais le commandement allemand fit savoir qu'il retirerait ses troupes une fois le Portugal libéré. On vit alors les sentiments à l'égard de l'Allemagne changer. Quand les chars allemands entraient dans les ville, on les traitait en héro et on leur jeter des fleurs.
Mais il était incontestable que les Portugais préféraient bien plus les Américains. La population se jeter sur eux commer s'ils étaient les libérateurs du monde. Les femmes leur jetaient des fleurs, et les hommes ouvraient des bouteilles de champagnes, française certainement pour fêter l'occasion. Les enfants brandissaient les drapeaux américains dans tous les sens.
Les Etats-Unis avaient gagner en popularité...

Le Portugal était à présent sous controle allié et les troupes américaines faisaient preuve d'une attraction inégalée.

Des cérémonies militaires avaient été organisées avec des prises d'armes, de la musique militaire, des repas, ... afin de fêter la libération du Portugal.

Mais après cela il fallait passer à nouveau aux choses sérieuses !

Avec l'avancée alliée jusqu'à Leon, Toute la partie ouest de la péninsule était sous controle allié. il fallait maintenant progresser vers l'est.

Deux cibles étaient à présent prioritaire : Séville et Guadelajara.

L'avaition américaines, forte de 150 grands bombardiers et escortée par 150 grands chasseurs décolla et mit le cap sur Guadelajara. Les chasseurs nettoyaient le passage pour les chars, l'artillerie et l'infanterie alliée qui progressait sur les routes.

L'Air Force avait bombardé les centres industriels de la ville et les casernements espagnols. La ville fut rapidement encerclé puis investie par les alliés qui prirent position dans la ville. Cela ferait un excellent poste avancé pour l'assaut sur la capitale.

Au sud, le meme scénario se produit. L'Air Force ouvrait le bal en bombardant les centres industriels de Seville et le positions ennemies et l'infanterie avancait ensuite pour investir la ville.
Cette fois ci un débarquement se produisit au niveau du Golfe de Cadix pour soutenir l'infanterie.

La pointe sud de l'Espagne allait bientot être sous controle allié.

Rapport du narrateur :

L'Allemagne et les Etats-Unis font 220 000 prisonniers espagnols

Destruction de 2 centres industriels à Valladolid, 2 à Guadalajara, et 4 à Séville, soit un total de 8 centres.

Les bombardements ont fait 8 000 morts

Les bombardements ont fait 50 000 blessés.

Toujours l'inactivité des troupes espagnoles. Déjà lors de la dernière guerre il en avait été ainsi.

Les troupes allemandes, aux côtés des troupes américaines, progressaient toujours en territoire espagnol. Maintenant elles se situaient à de Andorre à Saragosse. Cette avancée se fit en plus de 10 jours, ce qui suivait un peu près le rythme de progression du début de la guerre.
La Luftwaffe bombarda les 4 centres industriels de Saragosse, ainsi que les casernements espagnols de toutes les villes. Avec cette avancée, les Allemands firent plus d'un million de prisonniers. Pourquoi donc autant ? Parce que les Espagnols étaient éparpillés en petits groupes, non organisés, ce qui facilitait leur capture. Et puis l'armée espagnole n'était pas équipée du tout, ce qui facilitait davantage l'avancée alliée. En effet l'Allemagne était le pays le plus équipé militairement et les Etats-Unis étaient le numéro mondial, derrière la France. Permettons une comparaison : même un chasseur était plus équipée que l'armée espagnole.

Carte de l'avancée alliée :

Guerre contre l'Espagne Carte210

Rapport du narrateur :

L'Espagne perd 4 centres industriels

L'Allemagne et les Etats-Unis ont fait un total de 1 050 000 prisonniers.

Les bombardement ont fait 1 500 morts et 15 000 blessés.

Roi d'Espagne Nombre de messages : 103 Age : 32 Date d'inscription : 03/04/2007

A Madrid, l'armée révolutionnaire avait envahi les rues, profitant de l'état de guerre du pays pour renverser le régime socialiste. Tout le monde y était opposé : en quelques semaines, l'Espagne avait perdu d'énormes sommes d'argent, et s'était retrouvée en guerre contre 2 des 4 plus grandes puissances du monde. Le palais de la présidence fut investi par l'armée et José Diaz arrêté. Quelques heures après, il fut jeté en prison car condamné à perpétuité.

La Monarchie constitutionnelle, dans le continuum du pays, fut proclamée. Une femme, héritière de la famille royale, monta sur le trône sous le titre de règne de Isabelle III d'Espagne. Les symboles du socialisme furent détruits, et le drapeau réel de l'Espagne était de retour.

La première résiliation de la règne fut de contacter les autorités allemandes et américaines en poste sur son territoire pour mettre fin à cette guerre absurde qui ne conduisait qu'à la perte de l'Espagne.

Citation :: Cabinet royal de Madrid, Chambre de poste de la Reine

Lettre adressée aux autorités allemandes et américaines en poste en Espagne

Messieurs les officiers,

Je suis la nouvelle femme gouvernante de l'Espagne, la Reine d'Espagne. Le Gouvernement de José Diaz a été renversé. Son autorité n'est plus.

Je juge cette guerre absurde pour l'Espagne, et le responsable en est le Président socialiste Diaz. Je demande la fin des hostilités.

La présente tient lieu d'armistice de la part de l'Espagne.

Salutations, la Reine d'Espagne

La Reine devait user de toutes les possibilités pour stopper la guerre.

Les forces alliées continuaient leur progression vers l'est mais l'Etat Major reçut un lettre du gouvernement espagnol, qui venait de renverser le régime socialiste.

L'Etat Major contacta le Commandan en Chef ainsi que l'Etat Major allemand puis renvoya une lettre :

Citation :: Major General Ben Fuller
USMC
Corps des Marines des Etats Unis
Commandant le corps expéditionnaire américain en Espagne

A l'attention de SAR la Reine d'Espagne

Nous prenons acte de votre requête et la comprenons.

Cependant, nous demandons plusieurs conditions :
- L'extradition de M. Diaz vers les Etats Unis afin qu'il soit jugé par un tribunal militaire américain.
- Un remboursement des frais de guerre de 10% pour l'Allemagne et les Etats Unis.

Après cele, nous signerons un traité de paix et les troupes alliées seront retirées du territoire espagnol.

Cordialement,

Major General Ben Fuller.

Roi d'Espagne Nombre de messages : 103 Age : 32 Date d'inscription : 03/04/2007

Citation :: Secretariat de Son Altesse Royale
________________________________________________________
SON ALTESSE ROYALE ISABEL III d'ESPAÑA

Palacio Real
Secrétariat
Le 13 février de l'année 1952

LETTRE

A l'attention des Etats-Majors allemand et américain

Messieurs les officiers de l'Etat-Major,

Après étude de vos conditions de paix, nous vous faisons part de notre acceptation.

Je propose à ce qu'une réunion ait lieu le 14 février à Madrid au Palais royal pour que la paix soit signée et officialisée. Veuillez me confirmer votre présence.

Cordialement, la Reine Isabelle III d'Espagne.

L'Etat Major américain reçut la seconde lettre espagnole et se réjouit de l'approbation espagnole.

L'Etat Major fit renvoyer une lettre d'approbation.

Les soldats américains avaient ordre de cesser le combat et de maintenir leurs positions.

Un convoi se préparait à conduire le Major Général Fuller au Palais Royal espagnol pour signer un traité de paix.

Les troupes allemandes commençaient à se retirer des territoires espagnols. Le retrait était progressif. L'ensemble des troupes allait être renvoyé en Allemagne, exceptés quelques canons qui seraient envoyés au Costa Rica, colonie allemande. Avec les proches communistes, il fallait que le pays soit protéger, l'Allemagne en avait fait le serment devant le peuple du Costa Rica.

A Vigo, et dans les autres camps de prisonniers, les soldats espagnols détenus commençaient à être libérés. Des sandwich leur étaient distribués à la sortie, car les Allemands et Américains avaient peut être fait la guerre, mais ils n'en étaient pas moins des hommes avec un coeur, et ils savaient que la guerre était la plus triste invention de l'homme. Les soldats espagnols devaient certainement avoir la haine envers eux, mais cela n'était pas important, ils étaient quand même nourris, et cette haine pouvait être totalement justifiée.

Les troupes américaines commençaient à se retirer, soit vers les Etats Unis, soit en transit vers les bases en Europe.

Les prisonnniers espagnols furent libérés et tout le matériel rapatrié par voie aérienne ou maritime.

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