Rebellions en Moyen Orient

Les citoyens saoudiens venaient tou juste de réussir à obtenir leur indépendance de l'Empire allemand.

Ils venaient tout juste de mettre en place un Gouvernement et voilà que le Royaume Uni voulait les coloniser à nouveau.

Les rebelles étaient majoritaires dans la population car qu'y a t il de mieux à offrir à une population que son indépendance ?

Certains manifestaient simplement devant les convois apportant du matériel brittanique mais d'autres faisaient comprendre leur mécontentement plus sévèrement aux britanniques en faisant exploser des ponts ou des lignes de chemin de fer pour retarder tous les convois britanniques.

Si jamais les anglais ouvraient le feu, ils ripostaient car l'armée avait fourni des armes à la population tant qu'elle pouvait pour se défendre.

Un message fut envoyé à un responsable britannique par le chef du Gouvernement saoudien :

Citation :: Retirez vous de nos terres ou nous engagerons le combat.
Nous appelons également nos peuples frères d'Irak, d'Iran, de Syrie et du Liban à contester l'occupant anglais et à s'unir pour former une ligue arabe puissante.

Dans les jours qui suivaient, des mouvements semblables éclatèrent en Irak, Iran, Liban et Syrie.

Le Royaume Uni perdait là un soutien populaire dans ces pays, soutien populaire néessaire à une certaine stabilité ...

Invité

Les Soldat Britannique vinrent de toute les possésion bordant l'Arabie Saoudite. Et entrérent en territoire Saoudien. Le Combat furent apres, mais la supériorité d'organisation et de technique des britannique sur les groupes résistant eurent raison de ces dérnier. Après être arrivé dans la capital saoudienne après trois jour de mouvement et de combat le Royaume-Uni déclara l'Arabie Saoudite Protéctorat, se qui voulais dire que l'Arabie Saoudite résté indépendante, mais qu'en matière de défence, le Royaume-Uni s'occuperais de la mise en place de corps armé et de l'organisation et de l'équipement des troupes. Le Gouvernement Saoudien garderais les force de police et autre ainsi que les affaires étrangères sous son controle.

Ensuite les troupe vinrent d'Arabie et d'Egypte et annéxèrent rapidement la Palésitne, la Jordanie, la Syrie et le Liban qui furent réorganiser comme l'Arabie Saoudite. La route vers l'Iran fut plus dur les britannique bien qu'avantagé en nombres et en équipement pérdirent beaucoup d'Homme dans les petite vallée iranienne, le passage en irak fut facile en comparent celui de l'iran. Mais finalement bien qu'ayant essuier beaucoup de perte les Britannique instaure comme En Arabie et dans les autre pays du moyen-orient un protéctorat sur ces deux pays.

Invité

L'Iran s'était libérée seule de l'occupant britannique. Après quelques heurts diplomatiques, Londres avait fini par retirer tous ses soldats et l'Iran retrouvait son indépendance. Elle s'engageait sur la voie de la puissante. Téhéran se disait qu'il fallait que la nation iranienne remplisse son devoir, celui de libérer les pays voisins, frères, de l'oppression anglaise. L'Armée iranienne au complet fut mobilisée, c'est à dire 2 millions de soldats. Les effectifs étaient parfaitement en mesure de s'opposer à la garnison britannique présente dans la région. Même le Royaume-Uni pouvait lever jusqu'à 8 millions de soldats, il n'allait certainement pas envoyer toute son armée en Iran. Et puis dans ce cas, l'Etat iranien recruterait davantage de soldats, mais s'il devait avoir recours à l'endettement abusif et destabilisateur de l'économie. Cet endettement entièrement dû aux Anglais, que le Président avait bien envie de leur faire payer.

500 000 hommes se placèrent le long des frontières du Pakistan : une garnison de 100 000 hommes autour de la ville de Zahedan, une garnison de 200 000 hommes près de la frontière pakistanaise le long de l'océan, et une autre garnison de 200 000 hommes au point partageant la frontière irano-pakistanaise en deux parties égales.
De l'autre côté de l'Iran, à l'Ouest, 1 million d'hommes furent mobilisés. A la latitude de la ville irakienne de Bassorah 300 000 hommes attendaient, il y avait une garnison de 200 000 hommes à la latitude de la ville irakienne de Al-Amarah, une autre garnison de 300 000 hommes à la latitude de la ville irakienne de Bagdad, capitale du pays, une autre garnison de 200 000 hommes attendaient à latitude de la ville irakienne de Khanaqin, une autre de 300 000 hommes attendaient à latitude de la ville irakienne de As-Sulaymaniyah, et une dernière de 200 000 hommes à latitude de la ville irakienne de Erbil.

L'Armée attendait l'ordre du Gouvernement pour attaquer...

Invité

Après trois semaines de repos, l'armée iranienne pouvait enfin prendre des mesures et attaquer l'ennemi anglais. L'Etat-Major avait décidé qu'il fallait procéder par étape, car s'attaquer à toutes les garnisons anglaises en même temps n'était peut être pas prudent. La première cible était alors l'Irak. Les Iraniens attaqueraient de l'autre côté pour une seule raison, mais qui n'était pas dévoilée, bien que facile à découvrir.

L'armée franchit donc les frontières de l'Irak, violant de fait la souveraineté anglaise sur ce territoire. Les garnisons iraniennes étaient réparties de la manière suivante : à la latitude de la ville irakienne de Bassorah 300 000 hommes attendaient, il y avait une garnison de 200 000 hommes à la latitude de la ville irakienne de Al-Amarah, une autre garnison de 300 000 hommes à la latitude de la ville irakienne de Bagdad, capitale du pays, une autre garnison de 200 000 hommes attendaient à latitude de la ville irakienne de Khanaqin, une autre de 300 000 hommes attendaient à latitude de la ville irakienne de As-Sulaymaniyah, et une dernière de 200 000 hommes à latitude de la ville irakienne de Erbil.
Toutes les garnisons se placèrent derrière la frontière iranienne, sur le territoire irakien/anglais. La seule garnison qui poursuivit son chemin était celle qui avait en charge de libérer Bagdad, qui comptait 300 000 hommes. Elle était protéger par 100 avions de chasse de petite taille et 100 petits bombardiers. D'ailleurs toutes les garnisons étaient protégées par autant de matériel que celle-ci. Chacune était aussi équipée de 50 chars de grande taille, de 100 canons de 75 mm et de 50 batteries antiaériennes.
La garnison de Bagdad s'était déjà enfoncée de 10 km à l'intérieur des terres...

Invité

Les quelques 500'000 hommes britannique avait établit le long du tigre une ligne de défense composée de tranchées, de poste de mitrailleuse et d'artillerie, quelque 200 chars attandais egalement et aussi 500 petit chasseur et un nombres egal de petit bombardier, le nombre inferieur des britanniques était flagrant mais la superiorité technique pouvais rivaliser avec l'iran.

Invité

L'armée irakienne occupait maintenant tous les territoires situés à l'Est du Tigre. C'était une bonne avancée, mais qui pouvait encore être meilleure. Pour cela, il fallait engager les combats contre les Britanniques qui s'étaient retranchés derrière le fleuve. Le long du fleuve, 500 chars furent dépêchés, ainsi que 1 200 petits chasseurs et 1 200 petits bombardiers. Le but était de chasser l'occupant.

La garnison de Al-Amarah, composée de 200 000 hommes, commença l'attaque sur la ville. Au même moment, Bagdad fut attaquée. 800 canons de 75 mm étaient positionnés sur chacune des deux villes précédemment citées. Les bombardements commencèrent sur les troupes britannqiues.
Chaque garnison fut au même moment protégée par 200 batteries anti-aériennes.
Les quartiers anglais de Bagdad et d'Al-Amarah étaient sous le feu de l'artillerie iranienne. Les avions décollèrent et se dirigèrent vers les villes...

Invité

Le commandement militaire britannique avait placé 500 000 dans ces territoires qu'ils disaient "De l'Est". Or ces 500 000 soldats se trouvaient tous en Irak, à s'opposer aux troupes itaniennes. Le Pakistan était alors sans aucune protection, mis à part les quelques forces de police bien évidemment, mais loin d'être suffisante pour arrêter ou même ralentir une armée étrangère. Les garnisons iraniennes situées le long de la frontière pakistanaise avaient franchi il y a 6 de cela les limites anglaises. En 9 jours, le Pakistan fut totalement envahi par les troupes iraniennes, appelés les troupes de la libération. Le gouvernement iranien après de longues discutions avec le gouvernement pakistan, firent aboutir un projet. Au départ ils étaient déjà d'accord sur un point : il fallait s'unir pour combattre le puissant colonisateur britannique.

Il était évident que le Roi n'avait pas commandé correctement son armée pour la défense des territoires du Pakistan. Maintenant il était perdu et se retrouvait aux mains de l'Iran, qui déjà s'était empressée de constituer une union supranationale.
Le Premier Ministre britannique allait donc reprendre les choses en main, et affirmer sa puissance. Que l'Iran et le Pakistan soient perdus, certes, mais certainement pas les territoires à partir de l'Irak, où le Royaume-Uni devait garder sa pleine souveraineté.

Les villes de Bagdad et d'Al-Amarah furent protégées chacune par des batteries anti-aériennes : une cinquantaine par ville.
Les alarmes se mirent à sonner, le bruit retentissait dans toute la ville. L'Iran attaquait, les Anglais devaient défendre. 100 moyens avions de chasse décolèrent de Bagdad, et 100 autre à Al-Amarah, et se dirigèrent vers la flotte aérienne ennemi. Les Iraniens prêchaient peut-être la bonne fois en affirmant qu'ils voulaient délivrer leurs frères, mais bombarder leurs villes était-il vraiment la meilleure des solutions ? Non loin de là, car ils apportaient encore plus de misère. De fait, le Royaume-Uni pourrait ainsi renforcer son prestige sur ces populations qui verraient en lui le protecteur de la destruction étrangère.
Les avions de chasse britanniques arrivèrent sur les avions ennemis et le combats s'engagea pour une bonne demi-heure...

Rapport du narrateur :

Le Royaume-Uni et l'UFIA perdent chacun 20 avions de chasse dans les combats aériens : 20 moyens avions de chasse pour le Royaume-Uni et 20 petits avions de chasse pour l'UFIA.

L'UFIA perd 5 petits bombardiers avec la défense de l'armée de l'air britannique.

L'UFIA perd 6 petits chasseurs et 7 petits bombardiers avec la défense anti-aérienne britannique.

42 soldats britannique perdent la vie dans les bombardements et 450 sont blessés déjà blessés.

Invité

Avec les combats aériens, ils étaient évident que la progression des troupes de l'Union fut stoppée. La guerre, semblait-il, allait être bien plus longue que ce que le Gouvernement et notamment le Président avaient prévu. D'après l'étude des plans et conditions du Royaume-Uni dans le domaine militaire, l'Iran aurait dû vite prendre l'avantage sur l'ennemi anglais. Mais Churchill semblait meilleur stratège que le Roi, et faisait tourner l'industrie britannique au maximum, réduisant les chances de l'Iran de surpasser le Royaume-Uni, pour ne pas dire les anéantir.
L'Iran ne pouvait plus attaquer les Anglais pour le moment. Même si il y avait plus d'hommes, il y avait beaucoup moins de matériel. Mais déjà les territoires à l'Est du fleuv Tigre était sous contrôle de l'UFIA, ce qui représentait une bonne partie du pays.
Les troupes s'organisaient en position défense, et non plus offensive, tant que le Gouvernement prenne de nouvelles mesures, qui peuvent allait de l'annexion des territoires contrôlés jusqu'à la signature de la paix avec Londres. Ce qui était sûr, c'est que Téhéran n'était pas pour la dernière mesure citée, donc pour le moment on s'en tiendrait à une armée d'occupation.
Du renfort matériel fut ammené de l'arrière. L'emploi rayonnait dans le pays avec l'industrie militaire. L'armée iranienne juissait d'un grand prestige au sein de la population nationale pour la libération de la patrie mais aussi au Pakistan qui fut libéré des Anglais et qui put former l'Union avec l'Iran. L'Iran perdait certes de son autonomie avec le Gouvernement fédéral mais avec le Pakistan elle pouvait acquérir un rang international.