Reunion secrète

Adolf Schwarzenbach, général suisse, arriva à Berlin après avoir dit à son gouvernement d'être entra de faire un voyage au Danemark.

Il prit logement dans un hôtel de Berlin et écrit au secrétariat du Maréchal de l'Allemagne la suivante lettre:

Citation :

Cher Maréchal de l'Allemagne,

Je voudrais vous demander dans cette lettre une reunion secrète dnas un endroit sûr et non espionné.

Je voudrais parler avec vous sur un sujet donc aucun de nos deux gouvernement devrait avoir connaisance mais qui pourra s'averer très important pour nos deux nations en cas de guerre.

Cordialement, Général Schwarzenbach

Le Field Marshall reçut une lettre qu'il s'empressa d'ouvrir. Il la lut et discrètement la placa dans son manteau.
Il en réecrivit une :

Citation :

Cher Maréchal de la Suisse,

J'accepte votre proposition. Nos Gouvernements ne seront pas au courant de cette réunion.

Indiquez moi pourrions-nous nous rencontrer. Un hôtel serait le meilleur endroit.

J'attends votre réponse.

Il envoya la lettre.

Le Marécha Suisse répondit donc avec une nouvelle lettre.

Citation :

Cher Field Marshall ,

Je vous propose de nous reunir dans l'hôtel à côté du palais près de la place centrale, la nous seront hors de portée.

Cordialement, Maréchal Schwarzenbach

Le Field Marshall répondit aussi discrètement que la dernière fois.

Citation :

Cher Maréchal de Suisse,

Je serai au lieu convenu dans quelques heures.

Cordialement.

Le Maréchal ne pouvait pas partir tout de suite donc il attendit envrion 45 minutes et se rendit sur les lieux une demi-heure plus tard.
Il entra dans la bâtiment, ne savant pas tellement où aller. L'hôtel était assez grand...

Schwarzenabch qui était la depuis quince minutes vu immediatement Von Hindenburg et marcha vers lui. Il lui salua avec le salut militaire suisse et en lui disant.

- Merci d'être venu Monsieur Von Hindenburg , suivez moi, nous nous asseyeront auprès du café.

Ainsi les deux hommes s'asseyaient sur les chaises devannt le café et Schwarzenbach lui dit.

- Bien, je vous remerci encore pour être venu, je voudrais vous parler maintenant sur les relations suisses et allemandes

Le Field Marshall vit le Maréchal Suisse arriver. Il avança également vers lui et fit le salut militaire Allemand.

-Ce n'est rien Monsieur Schwarzenbach.

Ils prirent place auprès du café qui était juste là. Il lui répondit :

-Je m'en doutais fortement Monsieur. Quelle est la raison précise de votre présence ?

Le Maréchal lui répondit donc en faisant preuve de discretion.

-L'Affaire est ainsi, la Suisse est actuellement dans une situation délicate, d'un part le conseil fédéral prône une Suisse fermée et neutre, d'autre part des groupes demande l'instauration d'un gouvernement centralisé et fort.

C'est ainsi que moi et la majorité des autres généraux sont venu à la conclusion que le conseil fédéral est une charge et surtout le président une ménace à une Suisse forte et intenationale. Nous projetons de nous liberer du conseil fédéral ainsi que son président par la force, mais nous avons pour ça besoin du soutien de l'Allemagne pour pas être attaquer par l'exterieur quand cette changement politique aura lieu.

Le Field Marshall écouta attentivement ce que disait le Maréchal de Suisse. Après réflexion, il répondit :

-Oui je vois. Vous..

Elle se fit très discret...

-souhaitez vous débarasser du Conseil Fédéral. Mais votre Etat basculerait dans quel régime : un régime mené par l'Armée ? L'Allemagne peut oui éviter que vous soyez attaqué !

Le Maréchal répondit à ceci.

- Nous pensons à un règime plus centralisé et controllé en gardant la souverainité des cantons. Nous pensons de remplacer le conseil fédéral par un seul homme pour éviter ces éternelles discussions. Un homme fort.

Le Field Marshall répondit de nouveau :

-Très bien.

Il attendit quelques secondes, donnat l'air de réfléchir, puis dit :

-Monsieur le Maréchal de Suisse, je ne peux rien vous garantir. En Allemagne, l'Empereur est le Chef des Armées, moi je ne suis qu'un éxécutant. Cependant j'insisterai auprès de lui pour éviter une guerre contre la Suisse. Mais je conseille de cesser ces provacations face au Reich car le Kaiser n'hésitera pas à déclarer la guerre car maintenant le Reich a un allié de taille : les Etats-Unis.

Le Maréchal dit :

- Soyez assuré, nous mettrons un terme à ces provocations, je suis persuadé que notre règime sera bien plus favorable à l'Allemagne.

Le Maréchal sourit à l’homme pour finir avec cette phrase :

-Je l’espère Monsieur le Maréchal de Suisse. Je vous souhaite bonne chance. Si vous souhaitez quelque chose, n’hésitez pas !

Le Field Marshall partit aussi discrètement qu’il était venu.