Ouverture de débat

Invité

Face à la déclaration de l'Espagne, le CAEM devait prendre conseil pour discuter de sa décision. En effet, l'Etat espagnol réclamait la somme de 40 milliards de dollars, qui avait été versée il y a quelques mois de cela par l'Etat socialiste sur les comptes du CAEM. Il fallait donc voir si cette somme devait être restituée ou non.

-Mes amis, Camarades, vous avez certainement entendu la déclaration de l'Espagne. Quel est l'avis de chacun des pays ?

Invité

Le representant du Gouvernement Vietnamien se leva :

Camarades, il est clair que l'Espagne tient à profiter de l'aide de cette banque, et ce procédé est honteux et malhonnète. Enfin je tiens à dire que Monsieur Diaz à fait ce don sachant que ce "trésor" allait tomber dans des mains sales et corrompues, donc par conséquent ce geste n'est pas innocent le Président Diaz savait ce qu'il faisait.

Par conséquent je suis contre le remboursement de cette somme.

Invité

A Son tour, le representant nord-Coréen se leva

Camarades,

je ne puis qu'approuver les dires du Camarade Hô, il est vrai que le Président Diaz à fait ce don juste au moment ou son pays rentre en guerre, il est évident que ce don a été fait pour que la capital espagnol ne tombe entre de mauvaises mains, N'oublions pas Camarade que le Président Diaz s'est déclaré pro socialiste, et qu'aujourd'hui il dort dans une geole américaine.

Par conséquent la Corée du Nord estime que la Banque d'investissemnt ne doit pas rembourser l'Espagne.

le representant s'assit et attendit l'avis du representant cubain

Invité

Le Representant cubain se leva

Chers Camarades,

Nous ne voyons rien à rajouter à tout celà sauf que nous sommes également contre le remboursement

Le représentant soviétique ajouta à son tour :

-Si nous devions rembourser tous les prêts à chaque fois que dans l'histoire un pays a subi un changement de régime, nous n'en finirions pas. La position de l'Union soviétique est claire : aucun remboursement n'aura lieu. L'Espagne a elle aussi sombré dans la mer du capitalisme, et bien qu'elle y reste, mais que son Gouvernement ne vienne pas nous implaurer par la suite. Camarade, je compatie pour le peuple espagnol qui d'ores et déjà doit regretter le régime socialiste, malgrè quelques heures erreurs de Monsieur Diaz.

Invité

Après avoir écouté les réponses de tous les représentants, le Secrétaire général répondit :

-Très bien, je vous remercie Camarade. J'enverrai une lettre à l'Espagne lui explicant les raisons de notre refus de rembousement.

Merci et bonne journée.

Il se retira.

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