Réunion sous l'égide de la France

Invité

Humbert III, Empereur d'Italie, était arrivé à Paris la veille de sa rencontre avec l'Impératrice. Elle devait jeter les bases de leur alliance.

Il avait dormi dans un hôtel des Champs Elyzées, avant d'être conduit à Versailles, lieu du pouvoir impérial français.

Il espérait beaucoup dans cette rencontre. Elle allait notamment être le moyen de rapprocher les deux pays, qui depuis l'époque de la fin de la guerre, s'étaient bien gardés d'entretenir des relations diplomatiques. Désormais celles-ci étaient possibles par le changement de régime, bien évidemment.

Arrivant devant le château en voiture officielle, le chauffeur lui ouvrit la portière et il put descendre.

Roi d'Espagne Nombre de messages : 103 Age : 32 Date d'inscription : 03/04/2007

La Reine d'Espagne se rendit en France, à Paris, dans le but d'y rencontrer l'Impératrice, qui y avait organisé une réunion entre son pays, l'Espagne, l'Italie et le Vatican.
Paris était vraiment une ville merveilleuse, que toutes les capitales du monde pouvaient envier. Ses musées, ses jardins, monuments, églises, tout était à envier. Mais il ne fallait pas oublier la Tour Eiffel, symbole de la France.

Elle arriva au château de Versailles en voiture officielle. Son chauffeur lui ouvrit la porte et elle descendit du véhicule...

Le pape arriva par le train impérial vers 9h30, il venait directement d'Avignon. Il était curieux de savoir ou voulait en venir l'impératrice, car lors de leur dernière entrevue, elle ne l'avait pas éclairer sur la question. Le pape était accompagner de son secrétaire d'état le Cardinal Viktor von Kreiss, un homme en qui il avait une grand confiance.

Le pape monta dans la voiture qui l'attendait à la gare et qui devait le conduire à Versailles. Le pape logera durant tout la durer du sommet à l'a nonciature apostolique.

ll arriva au château de Versailles en voiture officielle. Un valet lui ouvrit la porte et les deux hommes descendire du véhicule...

Versailles avait été redécoré pour l'occasion aux étendarts non seulement de la France mais aussi des pays invités.

L'Impératrice accueillit les trois personnalités qu'elle salua à tour de rôle.

-Vos Altesses, Très Saint-Père, je vous remercie d'avoir accepté mon invitation. Veuillez me suivre.

Elle les conduisit dans l'un des nombreux salons du château de Versailles. Celui-ci ne se trouvait pas loin de chambre, était de couleurs or et bordeaux, et d'une taille respectable.

-Je vous en prie, prenez place.

Elle les fit s'installer. Elle ajouta :

-Que puissions-nous donc vous offrir à boire, avant de passer aux choses sérieuses ?

Roi d'Espagne Nombre de messages : 103 Age : 32 Date d'inscription : 03/04/2007

-Je vous en prie votre Majesté. Vu ce que vous faites pour nous, il est tout à fait normal que nous ayons accepté votre invitation.

Puis elle suivit l'impératrice de France à l'Intérieur du château. Il était vraiment magnifique. D'ailleurs elle était venu le visiter juste avant la Seconde Guerre mondiale avec ses parents, car le régime républicain avait ouvert le château aux visiteurs, mais bien sûr depuis que la France était repassé sous l'Empire le château était devenu lieu de résidence donc interdit.
Après s'être installé dans le salon, magnifiquement décoré, elle ajouta :

-Et bien Votre Majesté puisque c'est demandé si gentiment je prendrai un verre de vin blanc, du français naturellement.

Invité

L'Empereur d'Italie suivit également l'Impératrice dans le salon où ils étaient tous invités. Il n'était jamais venu à Versailles de sa vie, mais connaissait la beauté du château pour sa réputation à travers le monde.
Après s'être installé il répondit à la souveraine :

-Quant à moi votre Majesté je prendrai également un verre de vin blanc, de la même provenance que la Reine d'Espagne.

Il fit un sourire à la souveraine espagnole.

Le pape répondit avec un grand sourire :

- Pour ma part , je prendrai un thé. Et vous von Kreiss ?

Le cardinal qui était plongé dans les dossiers, sorti de sa torpeur et dit :

- Heu, moi je prendrai bien un cognac. Très Saint - Père.

Et le cardinal se replongea dans les dossiers.

-Très bien Messieurs-Dames.

Elle souria et appela un domestique qui se trouvait non loin derrière elle sur le côté de la porte d'entrée principale.

-Veuillez servir je vous prie ce que nos chers invités désireraient boire. Quant à moi, je prendrai également un thé.

Le domestique s'exécuta et ramena quelques minutes après les boissons sur un plateau qu'il servit à chacun.
Il était maintenant tant de commencer à parler politique.

-Bien mes amis, je vous ai convié ici dans la but de vous étaler un projet d'alliance entre nos quatre Etats. Je vous remercie de nouveau d'avoir accepté mon invitation. Nous le savons tous, nos nations ont un point commun qu'est la religion catholique. Cette alliance porterait le nom d'alliance catholique méditerranéenne. Elle fera de la France, de l'Espagne, et de l'Italie trois nations alliées. Le Vatican, quant à lui, serait le point de base e notre diplomatie commune. En cas de désaccord entre nous, car il est évident que nous ne pouvons être d'accord tout le temps et sur tout, le Vatican serait notre médiateur. De plus, en cas de rencontre au nom de l'Union avec l'extérieur, le Vatican, après avoir pris connaissance de nos désirs et pensées respectives, pour assurer cette rencontre.
Cette union permettrait également au Vatican de constituer une armée pontificale plus forte, en agrandissant les effectifs de la Garde suisse, dont la France se chargerait car elle contrôle actuellement la Suisse. Cette armée pourrait plafonner à 100 000 hommes qui auraient un but différent des armées traditionnelles : ils assureraient la protection des terres pontificales au Moyen-Orient.
Pour en revenir à la France, l'Espagne et l'Italie, serait constituée une union économique, si jamais l'une des trois nations aurait besoin d'aide, une union politique bien évidemment mais aussi également une union militaire. La France pourrait étendre son bouclier nucléaire aux pays de l'Union. L'Armée française, qui peut réunir avec les colonies jusqu'à 40 millions de soldats, apporteraient sa protection jusqu'à l'Espagne et l'Italie se redressement et forment à leur tour une forte armée capable e rivaliser avec les grands de ce monde.

Bien, qu'en pensez-vous ?

Roi d'Espagne Nombre de messages : 103 Age : 32 Date d'inscription : 03/04/2007

La Reine voyait là une excellente proposition de l'Impératrice de France à laquelle elle répondit par :

-Votre Majesté, c'est un remarquable projet que vous avez constitué là et sachez que je suis pleinement d'accord avec vous. Une telle alliance permettrait un point d'assise certain de la religion catholique et bien évidemment permettrait à l'Espagne de retrouver une place internationale, que nous avons perdu depuis bien longtemps, pour ne pas dire depuis le début du XIXème siècle où nous avions perdu toutes nos colonies.
Vous savez, chers homologues, Très Saint-Père, l'Espagne est actuellement à l'étude pour se reconstituer un vaste espace coloniale. Bien évidement colonie ne serait qu'un titre provisoire car nous placerions ces pays sous protectorat espagnol, avec beaucoup de libertés d'action. Nous leur apporterions prospérité économique et matérielle, ce qui renforcerait également la place de l'Espagne dans l'économie mondiale, actuellement dominée par les deux géants que sont la France et les Etats-Unis.

En effet la Reine avait pour projet de reconquérir l'Amérique du Sud, car aujourd'hui celle-ci était placée sous juridiction argentine, mais qui était trop faible pour maintenir la stabilité.

Invité

L'Empereur d'Italie répondit à son tour à l'Impératrice de France :

-Noble Dame, sachez que vous avez toute mon approbation à ce projet. Il est évident qu'en procédant ainsi l'Italie, au même titre que l'Espagne, pourrat retrouver un statut internationale fort, car il faut se rendre à l'évidence, à l'heure actuelle les diplomaties espagnoles et italiennes n'ont que peu de poids dans le monde à côté de grands comme la France.

En effet l'Italie avait perdu de son prestige et de son influence dans le monde, et l'Etat peinait à rétablir cette prospérité italienne. Mais depuis que les contatcs avaient vivement repris avec la France, la situation était bien meilleure. Unis par un tel traité, la coopération serait d'autant plus forte donc la situation s'améliorerait davantage.

-Et vous Très Saint-Père, que pensez-vous de ce projet de la France ?

Le pape avait écouter tout les débats n'était gère convaincu par l'idée de l'impératrice, il était temps que le Vatican ne soit plus passif, mais actif. Sur ce, il répondit :

- Je suis pas d'accord sur le fait que le vatican sert que au moment ou on en a besoin. Le vatican doit être un membre a part entière.

L'Impératrice, quelque peu étonnée de ce que le Pape venait d'ajouter, reprit par :

-Très Saint-Père, il n'y aura pas de différence de traitement entre les pays membres. Le Vatican aura même un rôle de plus, celui de médiateur, car son statut de Siège de la Chrétienté lui donne une vocation bonne et juste. Sur le plan politique, tous les Etats seraient donc égaux.
Maintenant venons-en au plan économique : il est évident que le Vatican ne possède pas d'industrie, et donc nous ne pouvons pas traiter avec lui de politique économique commune. Mais bien sûr il disposerait de versements de la part des pays membres, qu'il pourrait ensuite gérer comme bon lui semble.
Maintenant sur le plan militaire, là nous plus nous ne pouvons traiter d'égal à égal, car il faut bien admettre que la puissance militaire du Vatican n'a rien de comparable avec celle des autres pays. Mais le Vatican, dans le fond, est traité d'égal à égal, car la France s'engage à lui forunir un gros contingent suisse, ce qui ferait du Vatican un allié militaire. Mais nous ne pouvons constituer un allié militaire à proprement parlé, car si nous prenons l'exemple des colonies françaises, il est inconcevable que le Vatican aide à maintenir l'ordre, car c'est bien entendu contraire à ses principes d'égalité entre les êtres humains, et le terme "colonie" établit automatiquement un rapport dominant et dominé.

Alors votre Sainteté ?

Il se pencha vers son secrétaire d'état, discuta en sourdine avec celui ci pendant un petit moment, puis il dit :

- Nous acceptons , et émettons des propositions, qui sont celle ci :

Premièrement, nous proposons d'ouvrir un compte pour l'organisation au vatican, qui servirai exclusivement pour l'organisation naturellement.

Deuxièmement, nous nommerons un cardinal qui sera charger de gèrer l'organisation.

Qu'en pensez vous ?

L'Impératrice, sans avoir besoin de réfléchir, répondit :

-Tout naturellement votre Sainteté. Et puis, ce compte, étant donné qu'il serait de la propriété du Vatican, serait donc gérer à la guise du pouvoir pontificale, c'est une évidence.
Quant au Cardinal que vous nommerez, nous acceptons également, cela permettra plus de clairvoyance. Mais, Très Saint-Père, il serait bien de faire en sorte que chaque Cardinal qui gère l'organisation soit de nationalité différente à chaque fois, et que la gestion se relègue tous les 5 ans. Qu'en pensez-vous ?

Il était évident que chaque nouveau Cardinal devait avoir une autre nationalité d'origine à chaque nouvelle présidence, sinon il pourrait y avoir de nombreuses dérives, surtout quand l'on sait qu'un grand nombre de Cardinaux sont Italiens.

Roi d'Espagne Nombre de messages : 103 Age : 32 Date d'inscription : 03/04/2007

La Reine d'Espagne ajouta au débat :

-Parfaitement Madame de Beauharnais, nous soutenons votre mesure.

Puis se trounant vers le Pape elle ajouta très aimablement :

-Très Saint-Père, je crois que la proposition de l'Impératrice de France est tout à fait honorable et respectable, et il me semble qu'elle soit la plus juste qui puisse être. Par conséquent nous vous demandons d'y réfléchir.

Elle fit un sourire au Pape. Elle savait que c'était un homme de bon sens, et c'est pour cela qu'elle l'appréçiait, même si elle n'avait jamais encore eu vraiment affaire avec lui.

L'Impératrice fit distribuer par l'un de ses secrétaires un dossier contenant le traité proposé par la France :

-Mes amis, Très Saint-Père, voilà donc ce que je vous propose.

Citation :: Accords unionistes de Paris : l'Union catholique

Traité militaire et diplomatique entre la France, l'Italie, l'Espagne, et le Vatican, proposé à l'initiative de la France

Vu le désir commun de s'unir,

Vu des cultures similaires,

Vu leur histoire commune,

La France, l'Italie, l'Espagne et le Vatican s'unissent par le présent accord.

Article numéro 1 :

Les parties s'engagent, à régler par des moyens pacifiques tous différends internationaux dans lesquels elles pourraient être impliquées, de telle manière que la paix et la sécurité internationale, ainsi que la justice, ne soient pas mises en danger.

Article numéro 2 :

Les parties s'efforceront d'éliminer toute opposition dans leurs politiques économiques internationales et encourageront la collaboration économique entre chacune d'entre elles ou entre toutes.

Article numéro 3 :

Les États signataires de ce traité reconnaissent, par le présent document, l’existence mutuelle de leurs territoires. Ils s’engagent à respecter l’intégrité de ce territoire, à ne pas le violer et à ne pas commettre d’ingérences sur ce territoire.
Les États signataires reconnaissent la légitimité de leurs Gouvernements et des régimes politiques au pouvoir. Ils s’engagent à respecter ces Gouvernements et à ne rien intenter qui puisse nuire à leur stabilité.

Article numéro 4 :

Les différentes parties pourront établir une force militaire de coalition, si la majorité des parties estime que c’est nécessaire pour respecter les buts du présent Traité.

Article numéro 5 :

Les États signataires conviennent de placer la non-agression mutuelle au centre de leur intérêt commun. Toute attitude d'agression de nature commerciale, militaire ou culturelle d'un État signataire à l'égard d’un autre sera considérée comme une menace à l'intégrité de la paix reposant entre eux.

Article numéro 6 :

Les parties conviennent qu'une attaque armée contre l'une ou plusieurs d'entre elles sera considérée comme une attaque dirigée contre toutes les parties, et en conséquence elles conviennent que, si une telle attaque se produit, chacune d'elles, dans l'exercice du droit de légitime défense, individuelle ou collective, assistera la partie ou les parties ainsi attaquées en prenant aussitôt, individuellement et d'accord avec les autres parties, telle action qu'elle jugera nécessaire, y compris l'emploi de la force armée, pour rétablir et assurer la sécurité.

Ces mesures prendront fin quand les parties auront pris les mesures nécessaires pour rétablir et maintenir la paix et la sécurité internationales.

Article numéro 7 :

En cas de conflit extérieur d'un État signataire avec une tierce partie, le cosignataire est forcé d'adopter une position clairement définie sur cet aspect du conflit. Il devra aider l'Etat signataire en conflit. Il pourra cependant apporter le soutien de la façon qui lui semble la plus appropriée.

Dans le cas où le cosignataire disposerait d’accords semblables le liant à la tierce partie, il sera dès lors contraint de définir une position claire et précise. Ceci pourrait mettre en cause le présent traité avec le cosignataire concerné.

Article numéro 8 :

Est considérée comme une attaque armée contre une ou plusieurs des parties, une attaque armée :
contre le territoire de l'une d'elles, contre le territoire colonisé de l’une d’elles ou contre les îles ou territoires placés sous la juridiction de l'une des parties.
contre les forces, navires ou aéronefs de l'une des parties.

Article numéro 9 :

Dans un but de préservation de la paix mondiale et de supprimer tout risque de guerre nucléaire, tout Etat membre du Traité devra obtenir l'accord unanime des autres Etats membres du Traité pour lancer des recherches sur le nucléaire, que ce soit au niveau civil ou militaire.

Article numéro 10 :

Les États signataires déclarent par le présent traité leur volonté d’établir sur le territoire tiers une mission diplomatique permanente, sous la forme d’une ambassade. Un ambassadeur pourra être nommé pour chaque État signataire et aura la charge de représenter son gouvernement auprès des États signataires.

Article numéro 11 :

Les parties s'engagent à avertir les autres parties de tout fait, affaire ou événement marquant de leur vie publique, politique et internationale.

Article numéro 12 :

La langue officielle et de travail de l'Union sera le Français : il est choisi par son statut de langue internationale, parce que le Français est la langue la plus parlée dans l'Union, et parce que la langue diplomatique du Vatican est le Français, et le Saint-Siège a pour tâche la diplomatie de l'Union.

Organisation :

Dans le but de faciliter le fonctionnement des clauses du présent Traité, est créé un secrétariat général de l'Union. Cela-ci sera dirigé par le Haut-Clergé du Vatican. Un Cardinal, ayant des compétences politiques, sera nommé par le Vatican à la tête du Secrétariat. Il devra être d'origine des pays membres de l'Union suivant cet ordre : Français, Espagnol, et Italie. Chaque mandat durera jusqu'à 3 ans.

Le financement de l'organisation se fera comme suivant : sera attribué un budget de 100 millions de dollars par mois, financé à 50 % par la France, 20 % par l'Italie, 20 % par l'Espagne, et 10 % par le Vatican. Celui-ci sera révisé en temps et en heure en fonction de l'évolution des revenus des pays membres.

La religion :

La religion officielle de l'Union et la religion chrétienne catholique. Les pays membres s'efforceront de diffuser les valeurs et pratiquent de leurs croyances par le biais de moyens pacifiques.

Le Vatican :

La France, ayant en charge l'administration de la Suisse, formera une armée composée de 150 000 gardes suisses, placés sous l'aurité directe du Vatican. Leur mission sera d'assurer la sécurité des Etats pontificaux et/ou de venir en aide aux armées de l'Union dans le but d'accompagner les populations civiles.
La France, l'Italie, et l'Espagne effectueront des donations au Vatican pour financer sa politique.

Fait à Paris, le 2 mars 1952, par :

l'Impératrice Joséphine de France
le Très Siant-Père
l'Empereur Humbert III d'Italie
la Reine Isabelle III d'Espagne

Le pape répondit :

Le vatican n'a pas besoin d'argent pour fonctionner, il en a même de trop. La banque du vatican déborde justement. Non, ce que je propose c'est de créer un compte pour financer l'organisation et non le vatican.

L'Impératrice de France ajouta :

-Votre Sainteté, je crains fort que le Vatican ait besoin de cet argent pour financer la Garde Suisse. Il vous faudra disposer d'au moins 200 millions de dollars par mois pour financer cet armée, et où trouverez-vous l'argent ? Pour ce qui est du financement de l'organisation, nous pourrons attribuer un budget de 100 millions de dollars par mois, financé à 50 % par la France, 20 % par l'Italie, 20 % par l'Espagne, et 10 % par le Vatican.

Invité

L'Empereur d'Italie répondit à l'Impératrice de France :

-Majesté, j'ai bien lu tout ce que vous nous proposez. Je n'ai rien à dire excepté que c'est parfait et que cela correspont parfaitement aux attentes de l'Italie, qui rêvait et espérait depuis plusieurs années une telle union avec la France. Nous trouverons en les Français l'âme de vaillants et courageux soldats, la bonté de véritables amis, ce qui auparavant était difficile. Il est imparable que nos nations sont reliées par des liens catholiques très forts, cette union devenait alors obligatoire et nécessaire. Je signe, votre Majesté.

L'Empereur prit son stylo et signa le document.

Roi d'Espagne Nombre de messages : 103 Age : 32 Date d'inscription : 03/04/2007

La Reine d'Espagne répondit à son tour :

-Madame, Votre Majesté, je suis du même avis que notre ami italien.

A ce moment elle regarda l'Empereur d'Italie et lui adressa un léger sourire.

-Je crois que ce traité cèlera enfin l'amitié entre nos nations qui nécessitaient nos cultures respectives.

Elle prit son stylo et signa également.

Le pape répondit :

- Bon, puisque vous y tenez , j'accepte le financement pour la garde de suisse. Mais comment l'organisation sera t'elle financer ?

L'Impératrice ajouta :

-Comme je l'ai dit, pour ce qui est du financement de l'organisation, nous pourrons attribuer un budget de 100 millions de dollars par mois, financé à 50 % par la France, 20 % par l'Italie, 20 % par l'Espagne, et 10 % par le Vatican. Celui-ci serait révisé en fonction de la progression des PIB des Etats de l'UNion.

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