Rendez-vous avec le Premier-Ministre Britannique

Invité

Le Jeune souverain, Richard IV, avait convoqué le Premier-Ministre à une réunion, ce dernier tardais à venir mais Richard attendais.

Puis le voyant entrer il se leva serra la main de son Premier-Ministre et l'invita à s'asseoir.

Churchill arriva le plus vite qu'il put au bureau de son Altesse le Roi. Ces temps-ci il était très occupé : entre les réformes économiques et sociales, la signature d'accords avec les colonies, les affaires internes et la guerre contre l'UFIA, cela lui faisait beaucoup de dossiers à régler.

-Votre Altesse, mes respects.

Puis il se mit assis face au Roi. Il ajouta :

-Votre Majesté, quelle est donc la raison de cette réunion ?

Invité

Je vous ai appler ici monsieur le Premier-Ministre pour trouver ue sollution au problème du Moyen-Orient. Nous devons y penser serieusement car la guerre avec l'Iran, les revendications Francaise et Papal devienne serieusement emmerdante.

Le Roi avait à peine 20 ans mais il semblais résolut à résoudre les problème les plus graves pour l'Empire d'abord.

Le Premier Ministre souria puis répondit au Roi :

-Il est vrai Votre Altesse que cela fait beaucoup de choses à gérer, et il serait bien d'y trouver une solution. Pour ce qui est de la guerre contre l'Iran, le pays refuse la paix tant que notre troupes ne quittent pas le Moyen-Orient. J'ai déjà tenter de discuter mais il s'avère que le régine iranien est très hostile au Royaume-Uni. Pour la France, ce n'est pas parce que c'est la première puissance mondiale qu'il faut que l'on cède. Mais actuellement les discutions avancent bien à l'ONU, et le problème est en voie de résolution. Enfin pour le Pape il n'y a pas lieu de tenir comptes des revendications, cet accord dont il parle a été signé entre le Saint-Siège et l'Allemagne, et non avec nous. S'il aurait voulu, ça aurait été à lui de le renouveller, et non à nous d'en faire la proposition.
Mais parlons déjà de la guerre avec l'Iran : avez-vous une quelconque proposition à me faire Sir ?

Invité

Déjà il nous faudrait pouvoir les repousser chez puis les prendre a revers par le Pakistant. Mais es possible ?

Le Premier Ministre réfléchissa un court instant puis répondit au Roi :

-Je ne crois que nous pouvons nous appuyer sur le Pakistan. Malheureusement le défunt Roi avait fait une erreur de jugement et avait placé toutes les garnisons de la région en Irak, et l'Iran a pris possession du Pakistan. A l'heure actuelle le seul moyen pour y pénétrer est de passer par l'Inde ou par la mer. Nous sommes allié militaire de l'Inde, il faudrait demander son appuis. Car passer par la mer n'est pas concevable dans cette région, nous subirions de trop lourdes pertes.
Les repousser n'est pas chose simple, car notre niveau d'équipement est pratiquement égal, et eux peuvent tout mobiliser, alors que nous notre armée est répartie dans de nombreux pays. Il est également inconcevable qu enous fassions usage de l'armée nucléaire, et cela serait contraire à toute morale, dont je me bats depuis si longtemps. Dans un premier temps il nous faudrait les empêcher de traverser le fleuve Tigre qui les maintient sur le rive droite. Nous devons protéger au maximum cette frontière, même si nous perdons une parie de l'Irak. Il vaut mieux perdre une part que le gateau en entier.

Invité

Je suis d'accord avec la solution de l'Inde ainsi qu'a celle pour maintenir les Iraniens du coté droit du Tigre, mais pensez vous qu'après cela, après la reconquête du Pakistan, pourrions nous marcher depuis le Pakistan jusqu'en Irak pour finalement les prendre en tenaille ?

-Après la reconquête du Pakistan dites-vous ! Je crois que ce n'est pas chose gagnée votre Altesse, sauf évidemment si nous avons le soutien indien. Mais les hommes devront être armés très correctement et se battre en grand nombre contre l'Iran, car les troupes de ce pays peuvent être nombreuses. Et puis aussi une forte garnison, de près d'un million d'hommes, occupe le Pakistan à l'heure actuelle. Il faut se méfier. Je ne crois pas que l'on puisse venir totalement à bout de l'Iran, mais tout du moins l'épuiser. Nos soldats devront se battre avec courage. Mais voyez-vous, il y a quellque chose que je crains fortement : c'est que l'Iran reçoive l'appui d'une grande puissance, et cela deviendrait dangereux pour nous.

Invité

Je comprend votre inquietude, mais quel grande puissance pourasi bien vouloir aidé l'Iran.

-Pour être franc, je vois bien là encore un coup de fourbe, excusez-moi de l'expression, de la part de la France. L'Empire français possède quelque chose en grand nombre, qui fait flaichir tous les gens sur terre : de l'argent : le PIB français, le dernier que nous connaissons, fut de 1 100 milliards de dollars, le nombre tombant tout de suite à 200 milliards. Paris serait bien capable de corrompre l'Iran tout entier en lui promettant une forte somme, dans le but de nous affaiblir. C'est malheureux, mais c'est pourtant bien vrai, il faut se rendre à l'évidence.

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