coup de téléphone du vatican

Le téléphone sonna dans le bureau du roi.

Quand l'appareil du secrétariat sonna, Constantin van Klerk prit le téléphone et répondit.

- Secretariat de Sa Majesté. Que puisse pour vous?

Le pape répondit :

- Bonjour, je suis sa Sainteté le Pape Pie XII, puis je parler à sa majesté.

Le secrétaire fort étonné d'avoir le Pape à l'appareil lui répondit.

- Je présume que c'est d'ordre diplomatique? Bien, je vous passe le Minsitre des Affaires étrangères.

Il passa donc la connexion vers le Ministère des Affaires externes en avertissant le Ministre que ce fut le Pape et donc qu'il avait à se tenir surtout que le premier fut réformé et connu pour ses propos anti-clérigaux. Duclak, ayant le Pape à l'appareil hésita de lui dire ce qu'il pensa de Vatican, mais ayant déjà été avertit par le Premier Ministre qu'à la prochaine bourde il serait ejecté du Gouvernement il fit son meilleur pour cacher l'hypocrisie qu'il allait devoir user.

- Monsieur Duclak à l'appareil, Ministre des Affaires extérieurs. Ah, votre Sainteté, quelle honneur le plus joyeux de pouvoir vous parler par téléphone. Il est rare d'avoir une aussi auguste personne à l'appareil.

Le pape répondit :

- Bonjour monsieur le ministre, j'aimerai parler au roi . Est ce possible ?

Duclak avait sincèrement envie d'envoyer le Pape se faire foutre mais voyant son secrétaire le fusillant du regard il se contrôla et dit.

- Si c'est pour une affaire privé, certainement. Par contre si c'est pour une affaire diplomatique c'est à moi de vous adresser bien sûr exception à cette règle sont les organisations et tenus de rencontre entre votre personne et Sa Majesté en tant que chefs d'états. Donc je vous écoute, Saint Père.

Il répondit :

- Il faut que je parle de tout urgence à sa majesté, c'est une affaire d'état qui dépendant de la survie de la Belgique.

Duclak agacé lui répondit.

- Si c'est une affaire aussi urgente, vous êtes avec la bonne personne, en tant que Ministre des Affaires extérieurs je pense d'être bien placé pour les relations de la survie de la Belgique. Donc dites et vite ce qui est aussi urgent ainsi le Gouvernement pourra immédiatement agir.

Il répondit :

- Qui est le chef de l'état c'est le roi, donc c'est au roi de prendre cette décision.

Duclak lui répondit, se rendant compte que le Pape devait ignorer le fonctionnement d'une démocratie.

- Oui et non, le Roi est le Chef d'État et donc il a le pouvoir de négocier au niveau diplomatique et de représenter notre pays à l'étranger et dans notre pays. Par contre le pouvoir de décision appartient au Parlement et par lui aussi au Gouvernement donc le plus rapide pour une urgence internationale c'est de me dire ce qui est entra de passer.

Le pape repondit :

- J'en sais assez sur vous que pour vouloir parler au roi. De ce fait je viendrai pour parler au roi.

Soudainement on entendit une porte s'ouvrir, c'était le Ministre de l'Intérieur qui cria.

- François! On vient d'annoncer que l'ONU vient de t'accuser d'avoir communs un génocide durant la révolte. Je ne sais pas ce qui se trame mais il y a un truc qui cloche. Faut que tu te casses pour éviter que les pourparlers soient sabotés par cette histoire!

Duclak laissa tomber le téléphone qui resta pendu et se leva en disant.

- Quoi?! C'est quoi cette histoire!

Soudainement jetant son regard sur le téléphone il comprit ce qui avait eu lieu. Il jura, sachant qui avait organisé cette mise en scène risquant de détruire tout un travail diplomatique.

- Sale fils de pute! Tu payera pour ça et même si je dois attendre dix ans pour te renverser de ton trône à Rome. Si à cause de toi la Belgique coulera, je te jure, que tu ira en enfers bien plus tôt que prévu!

Il courra donc hors de la pièce en compagnie de son vieux ami Charles, le Ministre de l'Intérieur, pour tenter de quitter le pays question de faire gagner du temps à la Belgique et éviter la mort de l'opération menée en secret. Ne pouvant pas risquer d'aller demander de l'aide au Roi, il espéra que celui-ci comprenne ce qui l'avait forcer de fuir, il trouva à peine le temps d'écrire une note pour y écrire "Pie XII" et la poser sur une table dans le couloir du Ministère dans l'espoir que Baudouin comprendra qu'il fut innocent et qui avait monter ce coup contre lui.

Le pape parti dans une colère folle :

- JE SAISSIS L ONU POUR ESSAYER D'EVITER UN CONFLIT. ET VOILA COMMENT ON ME REMERCIE. SA NE SE PASSERA PAS COMMME CA. JE TENTE DE SAUVER UN PEUPLE LIBRE QUE SONT LES BELGES.

Le cardinal tenta de calmer le pape :

- Très Saint Père voyons calmer vous !

Il poursuivit dans sa colère :

- NON, JE NE ME CALMERAI PAS. VON KREISS !!!!!!!!!!!!!! NOUS PARTONS POUR LA BELGIQUE TOUT DE SUITE ! JE VEUX DES EXPLICATIONS.

» Coup de téléphone du vatican
» Coup de téléphone du vatican
» Coup de téléphone du vatican
» Coup de téléphone du vatican
» coup de téléphone du roi de Scandinavie.