Guerre France-ViêtNam

La France venait de déclarer la guerre au Viêt-Nam, et les attaques pouvaient dès à présent commencer car l'armée se préparait maintenant depuis plusieurs semaines contre ce pays avec son régime dictatorial et son dirigeant cinglé.

200 grands navires de guerre, ainsi qu''environ 300 sous-marins instauraient le blocus le long des côtes viêt-namiennes. De l'autre côté, sur les frontières terrestres, l'Indochine avait placé un nombre conséquent de barrage de gendarmerie.
Trois millions de soldats indochinois se préparaient à lancer l'assault sur le Viêt-Nam. Furent préparés :

-1 000 canons de 75 mm
-500 canons de 420 mm
-1 000 batteries antiaériennes
-2 000 Chars de grande taille
-300 grands véhicules blindés à roues, canon 90 mm
-1 000 grands bombardiers
-3 000 grands avions de chasse
-300 grands hélicoptères

La Chine était neutre, le Viêt-Nam était donc encerclé.

Le 26 février 1954 au matin, 15 navires de guerre commençaient à bombarder Rach Gia à l'Ouest du pays et 15 autres commençaient à bombarder Vinh au Nord. Les quais furent détruits, les murs tombaient dans l'eau, les bâtiments portuaires s'effondraient les uns après les autres...

Le Viêt-Nam, d'après les renseignements généraux français, venait de recruter des millions d'hommes supplémentaires dans son armée. Pour un pays qui voulait la paix bien entendu selon la Chine ce comportement était des plus suspects. Paris pour le moment décida de continuer se actions militaires en Asie. La France envoya avec 100 grands navires transporteurs de soldats 1 millions de soldats en Indochine pour renforcer les troupes. De même des baeaux transporteurs de matériel de guerre amenèrent 5000 chars supplémentaires. Les hommes étaient fiers de se battre sous les drapeaux français, au nom de l'Empereur et l'Impératrice.

Etaient maintenant prêts au combat 7 millions d'hommes. Le matériel fut révisé par les mécaniciens mais il y avait encore beaucoup de travail car beaucoup de moyens furent mobilisés lors de cette opération.

Le bombardement des villes portuaires de Rach Gia et Vinh s'était arrêté au court de la nuit. Les ports étaient complètement détruits. Ce ne fut pas difficile car le Gouvernement du pays ne tenta même pas de défendre son peuple. La France voulait éviter les pertes civiles. Elle se contenta de tirer sur les entrepôts mais quelques obus attérissèrent tout de même sur les habitations.

D'autres navires,, au nombre de 20, se dirigeaient maintenant vers Haiphong pour bombarder un des plus grands ports du Viêt-Nam. Ils devraient arriver en fin de journée. Les batailles étaient maritimes depuis le début des actions, mais l'infanterie allait commencer sa mission.

Les Français commençèrent l'invasion en traversant la frontière à lattitude de la ville de Tay Ninh. Les chars (1000) firent leur entrée dans le pays, bombardant toute opposition étrangère. Les soldats suivaient les chars. L’aviation bombardait les points stratégiques ennemis : ponts, routes, voies ferrées. Les villages menaçants étaient également bombardés. L’accès aux journalistes était strictement interdit. Les soldats étaient maintenus au secret de leurs actions.
Les soldats préparaient le matériel dans le but d’attaquer la ville de Tay Ning. Ce sera la première grande ville à tomber aux mains des Français.
Des batteries anti-aériennes furent installées pour protéger les camps d’artillerie et d’infanterie. Les chars faisaient des rondes constantes dans le secteur ainsi que des soldats dans des véhicules de guerre blindés. Les hélicoptères survolaient sans arrêt les lieux.

L'URSS entrait en guerre, il fallait accélérer les opérations. Tay Ninh fut bombardée toute la nuit par l'armée française qui au matin prit d'assault la ville. En quelques heures, l'infanterie contrôlait le secteur. Les drapeaux communistes furent arrachés et brûlés, pour être remplacés par des drapeaux français. La défens anti-aérienne prit place, ainsi que les chars et véhicules blindés qui s'occupaient de faire des rondes por maintenir l'ordre. La plupart des civils avaient fuit vers les campagnes mais ceux qui restaient là devaient être contrôlés. Les militaires français avaient pour ordre de fusiller toute personne suspecte ou prononçant des injures contre la France, pays des droits de l'Homme.

Des soldats investirent les bibliothèques. Les livres furent sortis et jeés au feu sur la place publique. Il n'y avait guère de choix en lecture : uniquement des livres communistes, cette pandémie qui pourrissait le monde à cause de personnes ne respectant pas ses vrais fondements.

Pour conclure, Tay Ninh était son contrôle français et l'armée viêt-namienne n'avait même pas réagi, quelle preuve de lâcheté pour son peuple !

L'Armée impériale avançait très vite au Viêt-Nam. Il n'y avait aucune résistance, ce qui était fort bien.

Cette carte fut publiée par l'Etat-Major pour montrer le territoire conquis par les Français :

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Pour l'instant il n'y avait pas de combats, donc pas de bombardements.

restaient à conquérir les parties Nord et Sud du pays.

Invité

Les Troupes Viet minhs , se regroupérent au nord de la ville de Minh.

Les troupes attaquèrent la ville de Minh faisant de lourd dégat du côté francais qui se mirent à reculer la ligne de front en dehors de la ville au sud.

Des soldats francais qui furent captures furent décapités et les autorités en place dans la ville de Vinh fuyant suite à l'vnacée du Viet minh furent captures. Ceux ci furent décapités également.

Rapport du narrateur :

La France perd 130 soldats et 200 sont blessés

Le Viêt-Nam perd 10 000 soldats et 15 000 sont blessés.

La différence est énorme car le Viêt-Nam ne possède strictement aucun matériel militaire, donc peut difficilement repousser les Français. Par conséquent ceux-ci n'ont pas reculé.

L'avancée des troupes français au Viêt-Nam continuait. Il fallait bien l'avouer : battre une armée sans Chef et sans moyen, il n'y avait rien de plus facile. Une nouvelle carte fut publiée. Les croix rouges représentaient les secteurs contrôlés par l'Armée française.

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Les soldats français avaient fait près d'un million de prisonniers ennemis et quelques centaines de morts.

L'assaut sur la capitale se préparait. Les soldats s'activaient à la tâche. Hanoi devra tomber, c'était impératif.

Au Sud du pays, les Français avaient préparé dans la plus grande discrétion l'attaque sur Ho Chi Minh Ville. 300 bombardiers décollèrent depuis les bases françaises et se dirigèrent sur la ville. Partirent également 200 avions de chasse ainsi que 3 millions de soldats français, qui par armée de 100 000 hommes, se rabattaient en un cercle autour de la ville.

Les bombardiers arrivèrent au dessus de la ville. L'on voyait les gens s'affoler et courir dans tous les sens, hurlant de peur. Les mères craignaient pour leurs enfants, les hommes pour leurs femmes, mais de toute façons les ordres de Paris étaient clairs : on ne devait pas bombarder les civils.
Des bombes furent largés sur les usines, les magasins et les centres de ravitaillement. Ils explosèrent et après quelques minutes, les grands incendies avaient déjà presque tout détruit.
Les avions de chasse fonçèrent sur les soldats ennemis qui n'avaient stirtctement rien pour se défendre.

Quelques heures après, les armées françaises se rabattèrent dans la ville. 500 grands chars entraient dans la ville. Furent fait prisonnier 1 700 000 hommes, qui s'étaient décidé à capituler, pensant qu'ils ne pouvaient faire face à un tel armement qu'avec des fusils.

Décidément les nouvelles étaient très bonnes pour la France, qui avançait à une vitesse folle.

Face à aucune résistance, l'avancée des troupes françaises continuait toujours et encore. C'est maintenant tout le Sud du pays qui était sous le contrôle de la France. Au total 6 millions de soldats viêt-namiens étaient emprisonnés dans d'immenses camps érigés par la France. Leurs armes (uniquements des fusils), furent confisquées et détruites. Cet armement était bien trop archaïque pour que les Français le récupère.
Les soldats étaient bien traités. De l'eau et du pain avec du blé et des pâtes cuites leur étaient distribués. Peut-être se rendaient-ils compte que les Français n'étaient pas si méchant que leur Chef leur disait.

Au Nord, la France n'attaquait pas avec l'infanterie, elle bombardait. 50 grands bombardiers et 100 avions de chasse se dirigèrent vers Hanoi pour détruire les zones industrielles. Les quartiers des affaires et de l'économie du pays furent également détruits. Les bâtiments s'écroulaient sous les bombes françaises.
3 heures après, une fois que tous les avions furent ravitaillés, il se divisèrent en 4 groupes de 20 bombardiers et 5 avions de chasse. Cela avait pour but d'attaquer différentes bases ennemies.
Les avions arrivèrent, et les soldats viêt-namiens furent bombardés. Le nombre de blessés était important. Les dépôts de carburant explosèrent brûlant tout aux alentours, les barbelés sautaient dans tous les sens, les murs s'effondraient, les casernes s'écrasaient sous le poids des bombes.

Les avions rentrèrent ensuite à la base.

Le nouvel ordre était de bombarder jusqu'à l'épuisement de l'ennemi.

L'Impératrice donna l'ordre de cesser les bombardements sur le capitale viêt-namienne.

Les soldats français se retranchèrent derrière la ligne de front, gardant le territoire conquis sous leur contrôle pour le moment.

Paris allait peut-être prendre contact avec le nouveau gouvernement du pays dans les heures qui suivent.

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