Le nouveau Premier Ministre de Belgique, Antoine van Heck, avait eu l'intention de tenir un discours à la Nation sur le sujet des conflits qui ne cessaient point de s'étendre et qui avaient prit proportion d'une guerre mondiale. Une grande partie des médias belges craignaient que le nombre incroyable de fronts allaient perdre l'Entente et surtout menacée d'affaiblir l'Alliance à tel point que l'Allemagne prendrait l'occasion pour tenter de vaincre la France. C'est pour calmer les gens inquiétés que le Premier Ministre entama donc son discours.
"Chères citoyennes, chers citoyens,
Depuis bientôt plusieurs semaines notre pays à prit les armes avec notre ami français contre le Communisme et l’Invasion étrangère. Ceci est un combat dur et coûteux mais ceci est le prix de notre indépendance et aussi de notre survie pour les prochaines générations car dans un monde dirigé par les grands un pays comme le notre doit s’allier ou trépasser au nom des ambitions des grands pays qui nous entourent. Ceci n’est au fond pas notre combat, mais il l’est devenu par le fait que si le Communisme ne se voit pas remit à l’ordre aujourd’hui, il défiera et vaincra les pays libres de notre Monde.
Pour le Brésil, le combat que nous menons est vrai car ce pays est la menace la plus dangereuse pour notre nation qui puisse être. Par la colonisation du Portugal, le Brésil compte une base en Europe de grande importance et ceci est inadmissible et dangereux. Il n’est pas tolérable que des pays non-européens envahissent notre cher continent, car si nous tolérons ceci, c’est la fin sur long terme de notre indépendance. La Belgique doit donc à tout prix combattre le Brésil, il doit le faire avec tous les moyens qui lui sont offert pour assurer la sécurité de ses citoyens et il doit chasser dans cette même année les brésiliens d’Europe. Aucune paix ne pourra être possible tant que le Brésil possède des terres en Europe et donc la Belgique doit se battre. C’est la raison pour laquelle la Belgique à fait valoir ses droits sur ses terres car le mariage conclut en 1835 nous offre cette réclamation et est juste et légale. Si le Portugal serait un pays souverain, jamais la Belgique aurait réclamée ce trône qui aurait été à la famille en place mais le Portugal ne l’est point et donc la Belgique déclare ses droits et exige donc ses terres comme jamais il a exigé quelque chose auparavant. Le Portugal ne peut point resté en main non-européenne et surtout en mains d’un pays qui est axé dans une forêt lointaine et sans aucun rapport avec notre continent. C’est pour ceci que la Belgique fera tout ce qui est dans ses moyens pour que sa dynastie prenne possession de cette terre qui doit pour le bien de tous restée européenne et être dirigée par des européens jusqu’à la fin de tous les temps et si possible par une dynastie qui a démontré sa volonté dans la construction d’une Europe vivant en paix et harmonie."