Visite d'urgence.....

C'est dans la soirée, que l'avion transportant le Pape se posa à l'aéroport international de Hanoi. Couvert d'une cape rouge, chapeau rouge sur la tête, il descendit de l'appareil et salua les quelques personnes ici présentes. Il arriva en bas des marches de la passerelle...

Le pape était déjà depuis une heure sur l'aéroport du Vatican, il se retourna sur son secrétaire particulier Monseigneur Andrew Valériane. Et dit :

- Vous voyez mon chère Valériane, ces chefs d'état son tellement lâche qu'il sont incapable de regarder leur idée en face, il ne sont pas câble non plus de respecter le protocole. Et sa veux se prendre pour un tout puissant, c'est vraiment lamentable. Mais bon, nous attendrons encore 15 minutes puis nous irons de nos propre moyens.

Puis le pape fit signe au capitaine de la garde suisse de se préparer.

Le pape voyant qu'il arrivait pas demanda au capitaine :

- Ma voiture est prête capitaine ?

Il répondit :

- Oui, très Saint Père

Le pape repris par :

- Prenez avec vous deux des trois détachement de la garde suisse, aller arrêter le gouvernement du Vietnam et conduisez le dans l'avion.

Il répondit :

- Bien très Saint - Père.

Monseigneur Valériane assez choquer par l'action du pape répondit :

- Saint - Père, vous n'allez pas à votre tour vous transformer en barbare.

Le pape le rassura:

- Non, on va simplement étuliser leur méthodes, on va voir se que sa va donner.
S'il e régisse pas on va les emprisonner dans le château d'Avignon. Si toujours pas de réaction on passera à une étape supérieur.

Le capitaine parti donc en direction des différents ministère a compagner de Jippe et de véhicule réquisitionner.

Le pape quand à lui partie en direction du palais présidentiel sous bonne escorte.

Invité

Un troupe de 20 000 hommes arrivèrent sur l'aeroport entourant l'avion d'ou le Pape venait de descendre et braquant leurs armes sur les gardes suisses et les prelats.

Un ordre retentit et des coups de feu retentirent.Les gardes suisses s'écroulèrent tous mort.

Un officier apparut:

- au nom de la République Socialiste du Vietnam vous êtes désormais notre prisonnier veuillez nous suivre de grée ou de force

Les radars françaient avaient bel et bien détectés des mouvements importants de troupes vers l'aéroport de la capitale viêt-namienne. Il fallait à tout prix que le Pape soit sorti de cette embuscade. La capitale n'était pas encore sous contrôle, il fallait faire vite.
Des hélicoptères et avions de chasse arrivèrent au dessus de l'aéroport et tirèrent sur les soldats viêt-namiens qui se dispersèrent rapidement, car dans ce genre de situation l'homme avait pour nature de protéger sa vie. Une trentaine d'hommes descendirent des hélicoptères en lançant des gaz lacrymogènes. On attrapa vivement le Pape et les mécanismes de remontée des hélicoptères s'activèrent pour remonter les personnes à bord.
Quelques hélicoptères porteurs d'engins tiraient des balles sur l'aéroport pendant que les hélicoptères transporteurs de troupes remorquaient les personnes et s'achappaient.
Après cela, tous les hélicoptères partirent le Saint-Père à bord. 3 bombardiers français arrivèrent et détruisirent complètement l'aéroport.

Les hélicoptères étaient maintenant hors de portée. Un sergent, le plus gradé du convoi, dit au Pape :

-Je ne suis pas catholique Monsieur le pape donc je ne saurai comment vous appeler. En tout cas vous avez eu de la chance ce coup ci.

Quelques temps après, les hélicoptèrent atterirent sur une base. Un général vînt accueillir le Pape :

-Comment allez-vous Saint-Père ?

Le pape qui avait été secouer parce qui venait de ce passer répondit :

- Je me remets tout doucement de mes émotions, général. Je ne les pensais pas à ce points la sauvage. C'est vraiment décevant.

Puis le pape poursuivit :

- de tout façon, nous avons un avantage sur eux, juste avant que l'armée Vietnamien intervient, le capitaine de la garde avait arrêter tout les membres du gouvernement vietnamien. Ils ont maintenant en route pour Avignon, ou il seront retenu prisonnier. Je dois me résoudre à agir comme eux.

Le Général répondit au Pape :

-Je comprends parfaitement Saint-Père. Je pense que Sa Majesté ne va pas tarder à arriver.

Le Général se rappelle que lorsqu'il avait prévenu l'Impératrice de la situation dans laquelle le Pape se trouvait, elle s'était énervé car elle avait poyrtant prévenu le Pape. Mais le principal était qu'il soit désormais Saint et Sauf.

-Avec ce type de personne nous sommes obligés de toute évidence d'utiliser des moyens immoraux. S'il agit de la sorte avec vous, imaginez ce qu'il en est avec son peuple...

Il vit un avion arriver au loin :

-C'est sûrement l'Impératrice. Sa Majesté voulait à tout prix venir.

Les soldats sur la base s'activèrent pour l'arrivée de la Souveraine. L'avion se posa et la porte s'ouvrit. L'échelle fut amenée, le tapis rouge déroulée. L'Impératrice se tenait bien droite, avec sa grande robe et sa cape de couleur bordeaux, toujours un chignon dans les cheveux.

-Sa Majesté l'Impératrice !

Elle descendit les marches, et salua les hommes qui l'attendaient au bas des marches. Elle dit en souriant :

-Messieurs, oublions le exceptionnellement le protocole. Vous venez d'accomplir une lourdre mission, et je vous félicité. Sachez que vous serez récompensés. Vous pouvez, si vous le désirez, rejoindre la France. Le documents officiels sont d'ores et déjà prêts, je les ai signé moi même.

Un secrétaire accompagnant l'Impératrice remit aux soldats leur autorisation de retour en France métropolitaine.
L'Impératrice se dirigea vers le Pape :

-Très Saint-Père, vous savez que j'ai été inquiète. J'espère que cette histoire ne vous a pas trop perturbé. Le principal est que vous soyez en bonne santé.

Il regarda l'impératrice et dit :

- Vous aviez raison, j'aurai du vous écouter. Mais je suis toujours persuader que l'on peut arriver par la parole. C'est un homme qui se croit plus puissant que le tout puissant, mais quand on se cogne au plafond on retombe rapidement. De tout façon, j'ai quand même réussi une chose, c'est de capturer le gouvernement vietnamien, qui sera retenu prisonnier au château d'Avignon. Je pense que c'est un point non négligeable. J'ai eu vent que nous avions arrêter aussi des officiers d'états majors vietnamien.

-En effet Très Saint-Père c'est un point non négligeable, mais retenez les bien ! Ces hommes sont prêts à tout pour arriver à leurs fins, il faut faire preuve de la plus grande vigilance avec eux !

Sinon oui nous avons déjà arrêté des membres de l'Etat-Major viât-namien. Ils seront envoyés à Bangkok où ils seront retenus prisonniers. Le Gouverneur d'Indochine ne chargera de leur cas, je lui fais totalement confiance. L'Armée français a fait déjà plus de 2 millions de prisonniers dans ce pays, et cela va continuer, soyez-en sûr. Nous allons bientôt attaquer Hanoi et ainsi nous mettrons la main sur le pays.

- Si vous voyez le château d'Avignon, il un peut dure de s'en évader. Donc si vous vouliez envoyer d'autre prisonnier de marque chez nous, faite. Ma prison est à votre disposition.

-Je vous remercie Très Saint-Père, notre collaboration est toujours aussi fructueuse à ce que je vois.
Enfin, nous n'allons pas rester ici, je vous propose de vous emmener dîner dans une petit restaurant français près de la frontière, au Laos. Nous ne sommes qu'à quelques kilomètres. Nous pourrions discuter un peu, car j'aimerai m'entretenir sérieusement avec vous.
Vous acceptez ?

Il répondit :

- Bien sur, je vous suis.

Il se retourna sur son secrétaire :

- Monseigneur Valériane, venez avec nous.

Il répondit :

- Bien très Saint - Père.

[Suite dans la partie Indochine]

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