L'Impératrice de France se trouvait en compagnie de ses secrétaires, de quelques gardes ainsi que du Premier Ministre au Palais Royal de Paris, attendant l'arrivée du nouveau chef d'Etat du Viët-Nam pour signer les accords de paix.
La France avait préparé quelque chose de simple, en ayant tenu compte du fait que le Viët-Nam a changé de régime politique et de chef d'Etat. Le communisme venait de perdre un pays, une nation, de 80 millions d'habitants. L'idéologie renonçannt à toute forme de capitalisme venait de reculer.