La France, ce grand Empire...

Sujet: La France, ce grand Empire... Sam 24 Nov 2007 - 13:35

Il était 22 heures, il faisait nuit noire, et l'Impératrice se trouvait dans son bureau avec le Ministre de la défense et le Maréchal de France qui était le chef des armées. Ils avaient longuement discuté et la décision fut prise : la France allait s'engager dans la conquête de territoire. Mais à la différence des autres pays impérialistes comme l'Allemagne et les Etats-Unis, la France allait d'abord s'accaper de territoires très proches, plus précisément frontaliers. Le premier objectif était fixé : la Belgique sera annexée à la France. A 22 heures et 45 minutes environ, le Maréchal avait averti l'armée de terre et l'armée de l'air.

Le lendemain matin matin, à 8 heures précise, les troupes françaises franchirent la frontière belge. Le gouvernement belge avait préparé son armée le long des frontières de l'Empire mais l'armée de ce pays était ridicule en taille. La France avait mobilisé 10 fois plus de soldats ! 100 000 soldats français se trouvaient en territoire belge, l'armée ennemie reculait à une vitesse phénoménale, laissant tout derrière elle : armes, nourritures, et même les populations civiles. Mais les ordres de l'Impératrice avaient été clairs ! En aucun un Français ne devait s'attaquer à un civil belge. Deux jours après, à 8 heures du soir, les troupes françaises étaient aux portes de la capitale. On entendait la sirène retentir à des kilomètres à la ronde. L'armée française autour de la ville comptait 80 000 hommes, le reste avait été éparpillé sur le territoire pour maintenir ke contrôle.

Un coup de canon annonça le début de bataille puis l'infanterie s'élança. Les Français avançaient dans les rues de la ville, les quelques milliers de soldats belges encore debout défendaient héroïquement leur capitale mais les Français étaient bien plus nombreux. Au bout de 2 heures, le Roi des Belges, voyant ce désastre, signa la capitulation de la Belgique. La Belgique était annexée à l'Empire de France.

Une brigade de 25 000 hommes fut détachée des régiments présent en la région belge, province de la France. Elle marchait vers le Luxembourg, tout près. L'Impératrice ne prit même pas le temps de présenter ses intentions dans les règles de l'art au Grand-Duc du Luxembourg, le pays étant si petit à ses yeux.
Les troupes françaises entrèrent dans le territoire du Grand-Duché : elles étaient conduites sur des chars, des camions, des voitures qui avaient été confiquées en Belgique, ils utilisaient aussi, comme les Allemands l'avaient fait, les transports ferrovières. Ainsi, en à peine une dizaine d'heures, le Luxembourg était entièrement contrôlé par la France. Le Grand-Duc s'était enfui avec toute sa famille dans les souterrains de la capitale mais il ne fallut que très peu de temps pour leur mettre la main dessus. Ils furent emprisonnés et conduits au rattachement préfectorale de Bruxelles, maintenant deuxième ville de l'Empire derrière Paris.

Le Luxembourg était maintenant annexé à la France au même titre que son voisin belge.

Les Pays-Bas furent la nouvelle cible de la France. En quelques heures 120 000 soldats français déferlairent sur le pays et l'annexairent : telle était la volonté de l'Impératrice.

Aux mêmes moments, Monaco et la principauté d'Andorre furent annexé à la France.

Invité

La France souhaitait continuer sa politique de grandeur. Ainsi, elle devait selon elle dans un premier temps étendre son autorité sur des territoires extra-européens. De toutes évidence en Europe elle n'vait plus trop de choix car toutes les Etats voisins étaient des puissances et la France ne voualit pas être coupée de ses territoires de l'Europe de l'Est. Ainsi, le Maréchal proposa à l'Impératrice de reformer l'Empire d'autrefois en commençant par l'Afrique. Le premier objectif était l'Algérie.
De Marseilles, grande villeportuaire française, décollèrent 5 grands transporteurs de matériel de guerre sur lesquels étaient chargés 150 chars ainsi que 5 porte-avions sur les quels il y avait 50 bombardiers et 50 avions de chasse. Le reste de la place disponible se voyait occupé par des munitions et les hommes. En tout, les bateaux conduisaient vers l'Algérie 30 000 soldats. Les 20 navires de guerre qui devaient se mettre en poste le long des côtes avaient eux aussi embarqué un peu de soldats car il manquait légèrement de place dans les autres bateaux.
L'armée française débarqua sur le sol algérien et dans des combats quidurèrent 10 jours, l'Alégérie avait été conquise et placée sous autorité de la France.

L'Impératrice en avait décidé ainsi : le Maroc et la Tunisie devaient faire partie des colonies françaises. Ainsi, l'armée fut préparée mais il y eut un léger changement : grâce aux embassadeurs, la Tunisie et le Maroc avaient signé aux-même leur rattachement à l'Empire de France.

Ainsi, la Tunise et le Maroc passaient sous autorité française, la Maghreb devenait complètement français.

La France avait déployé en tout 50 navires de guerres qui se chargèrent d'ammener en tout 150 000 soldats en Afrique par le biais de l'Algérie, récente colonie. La France était prête et les conquêtes coloniales repartaient.

L'armée de terre franchit en même les frontières su Sahara Occidental, de la Mauritanie et du Mali. La France, grâce en autre au manque de moyen des pays qu'elle conquérissait, n'avait déployé que 20 chars sur le Mali, 20 autres sur la Mauritanie et 10 derniers sur le Sahara Occidental. Les effectifs en présence étaient répartis de la manière suivante : 60 000 hommes pour la Mauritanie, 70 000 hommes pour le Mali et les 20 000 derniers sur le Sahara Occidental.
En quelques jours, les forces françaises avaent complètement conquis ces territoires. La France les inrégra dans l'Empire français, nommant un Gouverneur pour chaque contrée.

Les navires français avaient atteit un niveau de circulation jamais égalisé en mer Méditérranée. Les liaisons s'effectuaient entre les ports militaires de la métropole et ceux de l'Algérie. Les bateaux avaient amené au total depuis l'arrivée en Afrique 200 chars de grande taille ainsi que 200 000 soldats français.

L'Etat-Major avait préparé un grand projet pour étendre l'Empire français sur l'Afrique. Le plan devait se mettre à éxécution. Les opérations commencèrent le samedi 22 décembre à 5 heures du matin. Les chars français franchissèrent la frontière de la Lybie avec 70 000 soldats. Les ennemis étaient exécutés sur place. La grandeur du projet ne permettait pas de faire beaucoup de prisonniers. seules les personnes importantes étaient emprisonnées. Le samedi à 11 heures 30, la Lybie tombait sous contrôle français. L'armée se dirigea ensuite à tout allure avec les minces voies ferrées vers le Niger et le Tchad. Les combats furent dûrs mais finalement l'ennemi plia face à la France. Le dimanche 23 décembre 1950 à 15 heures et 30 minutes et l'autre une demi-heure plus tard, ces deux pays devenaient français.

Les Français devaient continuer à vive allure vers les autres pays de l'Ouest de l'Afrique mais finalement la diplomatie l'avait emportée sur la guerre, un peu comme le Royaume-Uni lors de la reformation de son Empire. Ainsi, le Sénégal, la Guinée Bissau, la Guinée, le Nigeria, le Liberia, la Côte-d'ivoire, le Burkina, le Togo et le Bénin se placèrent de leur plein grès sous l'autorité de la France, celle-ci ayant promis en échange une forte aide économique.

Invité

Le Gouverneur de l'Afrique occidentale française avait reçu des ordres précis de Sa Majesté Impériale de France : les territoires de l'AOF devaient s'agrandir.
200 000 soldats furent mobilisés pour l'évènement : la première étape comprenait 5 Etats : la République centraficaine, le Cameroun, la Guinée Equatoriale, le Gabon et le Congo.

En quelques heures, les pays étaient pratiquement tombés sous contrôle français, et les pertes étaient très faibles, tant mieux.

Les 5 Etats furent rattachés à l'AOF aussitôt après être placés sous autorité française.

Mais l'envie expensioniste de la France, et ici de l'AOF, ne s'arrêtait pas là. Mais les armées se stabilisèrent tout de même le long des frontières car pour le reste le Maréchal de France avait promis du matériel qui devait arriver dès le lendemain.

Depuis les ports de la ville de Marseille, au Sud de la France, de grands bateaux militaires chargeaient de l'armement qui devait partir pour l'Afrique. Il y avait dans les navires 500 chars de grande taille.

Le Maréchal de Gaulle avait promis ces 500 véhicules au Gouverneur de l'AOF pour maintenir l'ordre et étendre le territoire. Mais la France ne pouvait en envoyer plus car les finances étaient dans les temps qui courent pas très en forme, l'Etat étant déjà endetté à pratiquement 3 milliards de dollars. Mais après tout 500 véhicules étaient déjà tout de même pas mal car nombre de pays ne les possédaient pas !

Les navires partirent le soir du 26 décembre et furent arrivés dans la nuit du 26, enfin du 27 vers un peu moins d'une heure du matin.

La cargaison fut déchargées et placées sur des trains car les chemins de fer permettraient d'acheminer le matériel assez rapidement.

L'arrivée du matérielle aux frontières du Congo était prévue pour environ 18 heures dans la journée du 27 décembre. Les trains étaient partis à trois heures du matin.

Invité

Le Gouverneur avait reçu une bonne et une mauvaise nouvelle. La bonne était que la métropole lui avait envoyé 500 chars d'assaut, ce qui allait permettre de progresser rapidement sur les terres. Mais la mauvaise était que un nombre important de pays d'Afrique s'étaient ralliés à l'Australie. Mais ces pays finiraient tôt ou tard à devenir Français, par n'importe quel moyen.

L'invasion commenca et en quelques heures, les Gouvernements de la République démocratique du Congo et de l'Angola signèrent la capitulation.

De nouveau il y avait très peu de morts à déplorer.

Les 2 Etats furent rattachés au commandement de l'AOF.

300 000 soldats se positionnèrent le long des frontières de la Zambie. Les blindés français n'étaient qu'à quelques mètres des postes de douane. L'Impératrice avait envoyé un ordre au Gouvernement. Le passage à la frontière était strictement interdit : une personne surprise serait fusillée sans préavis, peu importe sa nationalié.
Des barbelés furent installés côté français sur les routes sous les yeux des douaniers étrangers.

Sujet: Re: La France, ce grand Empire... Mer 2 Jan 2008 - 17:43

Après d'âpres conversations dans les bureaux de la diplomatie française en Guyanne, Haïti et la république dominicaine sont rattachés à l'Empire de France avec le statut de colonie.

Est créée la l'ACF, Amérique centrale française, qui regroupe ces deux Etats.

Un gouveneur sera nommé très prochaînement.

Sujet: Re: La France, ce grand Empire... Dim 6 Jan 2008 - 23:53

Durant la guerre d'Autriche, un détachement de 300 000 soldats avait envahi la Suisse. Après quelques combats et l'entrée dans Genève des armées françaises, la Suisse capitulait et fut placée sous commandement français.

Le nouveau gouvernement formé il y a quelques semaines depuis l'indépendance de l'Allemagne était trop dangereux selon l'Impératrice qui ordonna de les fusiller. Leurs corps furent enterrés ensemble au cimetère de la ville.

La Suisse devenait française, l'Allemagne n'y avait vu aucun inconvénient.

Invité

Depuis quelques jours, les soldats de l'armée française de l'AOF investissaient les nouveaux territoires d'Afrique qui avait été légués à la France par l'Australie. L'AOF s'était amplement agrandie apportant d'autant plus de richesses à la France. Mais un territoire trop grand était plus difficile à défendre. Le Gouverneur allait discuter avec l'Impératrice pour étuder l'envoi de 500 000 soldats supplémentaires en AOF.

Madagascar avait été investi par les soldats grâce à la Marine Nationale française qui avec quelques uns de ses nombreux navires avait transporté des troupes sur l'île.

Dans tous les villages, des mairies furent édifiés avec pour chacun un meire, dont le rôle était rempli par un habitant du village. Des écoles étaient en cours d'ouverture pour éduquer la population.

Au moi d'Avril, le Royaume-Uni avait reçu la charge de la Thaïlande par l'ONU car ce pays venait d'être libéré de l'oppression portugaise et il fallait le mettre sous tutelle. Mais jamais un Britannique ne mit un pied sur ce territoire. L'Impératrice de France prit donc l'initiative et ordonna l'invasion de la Thaïlande.

C'est ainsi que 200 000 soldats française franchirent les frontières de l'Indochine et en deux semaines à peine, ce pays était entièrement français.

La Thaïlande fut rattachée administrativement à l'Indochine française.

Invité

Paris, centre de l'Empire français, présent sur tous les continents, fit la demande au Gouvernement du Nigeria, Dominion française, de s'occuper de l'occupation des trois nouveaux pays de l'Empire : la Syrie, le Liban, et Israël, qui avaient été cédés par le Royaume-Uni.

A l'aide de la Marine française, les troupes nigerianes débarquèrent sur ces territoires. D'abord les soldats prenaient position sur les plages, avant de s'enfoncer dans les terres. Ce n'était pas une conquête à proprement parler, cer ces territoires sont d'ores et déjà théoriquement sous juridiction française.

Les drapeaux français furent implantés un peu partout sur les bâtiments officiels. Les Gouvernements furent maintenus car la France décida de faire des 3 pays des protectorats.

Les troupes britanniques s'étaient donc retirées entièrement des territoires palestiniens, israëliens, syriens et libanais pour laisser place à l'Armée française. Les attributs de la royauté britannique furent retirés. Le matériel militaire et les soldats furent placés dans les pays voisins.

Le Royaume-Uni se débérassait de ces territoires, mais pour se concentrer sur un autre...

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