Défilé militaire

Défilé du 22 décembre 1950 :

La journée était grande. En effet, elle était le troisième anniversaire de la constitution du Reich. Une grand défilé avait été organisé en l'honneur du Kaiser et de la patrie à Berlin. Le défilé commençait à la porte de Brandebourg et devait continuer le long de l'avenue. Il y avait 100 000 soldats en l'honneur dont les membres de la Garde Impériale. En premier marchaient 10 000 hommes de la Lutwaffe, et derrière elle circulait la Garde Impériale avec l'Empereur au milieu. Ensuite venaient 10 000 soldats de la Kaiserliche Marine et enfin 70 000 hommes de la Reischwehr. Tous les soldats étaient à pied mis à part la Garde Impériale et évidemment l'Empereur. Les Berlinois et bien d'autres Allemands étaient sur les trottoirs pour applaudir le Kaiser qui les saluait de la main. Le défilé avait commencé à 10 heures pour se terminer une heure plus tard. Les rues étaient plaines de drapeaux, de portraits de l'Empereur, et de guirlandes qui en plus devaient célébrer la fête de Noël.
Au bout de l'avenue, à un sens giratoire, les troupes se séparèrent et l'Empereur monta sur l'estrade installée pour l'évènement pour dire quelques mots.

-Voilà maintenant 3 ans que la Grande Allemagne a été recréée, que notre pays est de retour sur la scène internationale. Je me réjuis des résultats de la patrie qui fonctionne à grande vitesse grâce à ses fidèles sujets. Nous avons aujourd'hui retrouvé les premiers rangs mondiaux. Grâce à moi certains disent. Oui, certes, mais aussi grâce à vous !

La population applaudissa puis il reprit...

-Bien malheureusement aujourd'hui nous sommes exposés à de graves dangers de la part de nombreux pays. Commençons par l'Autriche qui a rompu tous les liens alors que nous étions sont premier allié. Viens ensuite le Royaume-Uni qui s'arme de nucléaire puis l'Australie qui amène 100 000 soldats en Europe, soit disant en ayant aucune intention contre l'Allemagne. Mais je n'y crois rien. Fort heureusement, de grandes nations nous soutiennent comme la France ou tout du moins ne nous mettent pas de bâtons dans les roues, comme les Etats-Unis d'Amérique. Il est triste que notre monde en soit venu à de telles tensions mais l'Allemagne n'y est pour rien ! Je vais dans les jours qui viennent prendre des mesures qui peut être pourront redessiner les cartes de l'Europe et modifier l'ordre mondial. Que chacun interprête cela comme il le veut, nous sommes conscients de ce que nous faisons.

Et une musique surgit des haut-parleurs, c'était l'hymne national allemand chanté par toutes les personnes ici présentes, et notamment par le Kaiser. Après ce moment de musique, il continua :

-L'Allemagne est grande, l'Allemagne est forte, et l'Allemagne vaincra les opposants !

Et la foule l'acclama encore plus fort que tout à l'heure, puis elle se retira et l'Empereur retourna à Charlottenburg à cheval suivit de la Garde Impériale.

Sujet: Re: Défilé militaire Jeu 31 Jan 2008 - 10:48

Cérémonie : le 5 mars 1951 sur la place du Gendarmenmarkt

Dans les rues de Berlin, la foula s'agitait. Le Kaiser avait ordonné l'organisation d'une cérmonie sur la place du Gendarmenmarkt. L'armée était présente, ainsi qu'un grand orchestre philarmonique. Celui était placé sur les escaliers du bâtiment centre et comptait près de 120 musiciens et une vingtaine de choristes.

Le Kaiser sevait être placé à l'Est de la place, sur une grande estrade, surplombée par le trône. Il avait autour du trône deux sièges pour deux invités : sa soeur la Mère du Roi de Grèce Sophie de Prusse à sa droite et sa gauche le Kronprinz (prince héritier). La voiture de l'Empereur les amena et quelques soldats de la garde impériale les placèrent sur les sièges.

Quelques minutes plus tard, un détachement de 10 000 soldats de la Reichswehr arriva sur la place et commençait le défilé. La cérémonie commençait. S'en suivi des marins puis des aviateurs. Ils étaient tous en uniformes d'apparat, très beaux. Au passage des troupes devant le Kaiser, celui s'était levé et s'était rapproché de la bordure, faisant le salut militaire auquel ses soldats répondait. L'Empereur lui aussi était habillé pour l'occasion. Il avait son uniforme blanc, muni des décorations en tissu couleur jaune or. Il portait aussi quelques médailles. Le plus impressionant était son casque, qui attirait souvent les convoities étrangères. Il était noir et dessus était soudé l'aigle impérial de l'Allemagne. Le casque était lourd mais pour l'occasion il fallait le mettre. Le Kaiser avait à ses pieds ses grandes bottes noires de cuir, qui avaient été cirées le matin même par les domestiques au château.
En tout 25 000 soldats défilèrent sur la place. Les effectifs étaient réduits à vrai dire par rapport aux autres défilés.
Les soldatss se rangèrent en ordre sur la place, au garde à vous. Le Kaiser allait prononcer un discours.

-Chers citoyens du Reich, car il avait un nombre important de civils, chers armée de l'Empire, je tiens aujourd'hui à vous félicité. Grâce à votre acharnement, le pays se porte bien, l'Allemagne est redevenue grande. Mais aujourd'hui ce n'est pas le thème que je souhaite aborder. Le plus important est que les Allemands aient retrouvés la joie de vivre après les souffrances attroces de la seconde Guerre mondiale. Notre pays est totalement reconstruit, les richesses se sont accumulées ce qui vous permet de vivre décemment. Et de cela j'en suis heureux pour vous. En tant qu'Empereur, il est normal que je me soucie de votre bien être. Je me réjuis quand je vois des enfants jouer dans la rue, quand je vois des personnes qui entretiennent une discution à la sortie d'un bureau de presse. Cela avait disparu avec la guerre mais notre fois en l'avenir est su faire rennaitre notre amour en la vie et la joie de l'existence.
Je veux que vous sachiez que je compte faire de l'Allemagne un petit vu positivement aux yeux de tout le monde car il ne faut pas nous bander les yeux, notre histoire fait que nous sommes considérés comme des bourreaux. Cela devrait changer avec les années à venir.

La populations applaudissa son Empereur puis il énonça un autre point :

-La semaine dernière, le Gouvernement et moi-même avons décidé que le pays adopterait un nouvel hymne qui représenterait sa grandeur partout dans le monde : l'Hymne à la joie de notre célèbre compositeur Ludwig van Beethoven.

Il fit de nouveau le salut militaire, car c'est ce qu'il était, et retourna s'asseoir auprès de sa soeur et du Kronprinz. L'orchestre commença la musique.

Première partie jouée

Seconde partie jouée

Quand l'orchestre et les choristes eurent finis, tout le monde se mit à applaudir, y compris les soldats présents.
Le Kaiser se leva, et demanda la main à sa soeur pour qu'elle l'accompagne inspecter les troupes. Elle le suivit et ils passèrent en revue les troupes présentes. Après un vingtaine de minutes, le Kaiser et sa soeur se replacèrent au devant de l'estrade et les troupes défilèrent de nouveau et se dissipèrent dans les rues avoisinantes pour regagner les casernes.
Le Kaiser se dirigea vers l'orchestre pour le féléciter et il le nomma orchestre officiel de la cour impériale.
Lui, sa soeur, et le Kronprinz remontèrent dans la voiture qui devait les ramenrer au château. Dans le véhicule il dit à sa soeur:

-Je sais que vous pensez à votre fils, mais ne vous en faîtes pas. Il ne craind rien, je vous le promets.

Cela était fait mais il fallait bien la réconforter. Le Kaiser avait envoyé en Grèce avec le Roi des soldats qui devaient veiller sur lui et la ramener à Berlin en cas de problème. Mais la mission réussirait-elle ? Normalement oui.
Et puis s'il le fallait vraiment, l'Allemagne pourrait aider le pays à rétablir l'ordre au Royaume de Grèce...

Dans un champ, autour de Berlin, près de 200 000 soldats furent rassemblés. Ils faisaienr partie des garnisons de Berlin. Ce jour, le Kaiser devait passer un revue les troupes.

Sur la colline au loin, on voyait les soldats alignés tels des poteaux de parc, un drapeau du pays par ici et par là. Le Kaiser arriva à cheval devant ses hommes. L'animal était de couleur noire, resplendissant de beauté, et se tenait si bien qu'il paraissait aussi fier que le Kaiser. Le Kaiser portait sa couronne surmontée de l'Aigle Impérial, qui était très impressionante. Il avançait devant les soldats, les regardant les uns après les autres. Ils avaient tous un ton neutre, car le moindre doute de dévotion par le Kaiser pouvait les conduire à la mort. Néanmoins, le Kaiser aimait et respectait ses troupes, car après tout il se serait pas là si elles n'étaient pas là.

Se plaçant au milieu face aux militaires, il cria d'une voix distincte :

-Soldats, c'est pour le Reich que vous vous battez, vous protéger vos mères, vos pères, vos enfants de tous ces ennemis qui veulent la fin de la Grande Allemagne. Il est de votre devoir de protéger le sol de la patrie, soyez-en conscients.

Et le Kaiser reprit sa marche d'inspection. Au passage, il offrit des médailles à quelques soldats qui s'étaient faits remarqués par leur mérite lors des précédentes missions...
La foule se dispersa et les soldats rentrèrent dans leur caserne.

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