Le monde du Vingtième
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 Apparition de l'Empereur

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AuteurMessage
Wilhelm von Hohenzollern
Deutscher Kaiser
Wilhelm von Hohenzollern


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MessageSujet: Apparition de l'Empereur   Apparition de l'Empereur Icon_minitimeSam 29 Déc 2007 - 18:53

Dans la plus grande caserne militaire de Berlin, qui était aussi la plus grande de toute l'Allemagne, l'Empereur arriva en Mercédes de couleur noire. La voiture avait traversé toute la capitale depuis le Château de Charlottenburg pour le conduire ici. Il avait dit à son chauffeur de rouler rapidement car ils étaient partie en retard. Dans la ville, la police faisait signe aux passants de s'écarter pour que puisse passer le véhicule de l'Empereur.
A la caserne, le commandant de base vînt lui ouvrir la porte.


-Votre Altesse, c'est un plaisir pour moi de vous voir ici parmi nous.

Le Kaiser fit un sourire à cette phrase et n'ajouta rien. Le militaire lui fit le salut militaire auquel il répondit par le même geste.
L'Empereur comme toujours était en uniforme, bottes noires et gants noires. Sur sa tête il avait sa casquette d'uniforme : sur le devant était posé l'aigle impérial allemand fabriqué en or qui étincellait au soleil.
On l'accompagna jusqu'à une grande salle dans laquelle il devait dire quelques mots. A son entrée, tous les militaires présents se mirent au garde à vous. Il traversa la salle, marchant toujours avec la même démarche c'est à dire aussi droit qu'un piquet et un air de méchanceté sur son visage. Mais ses hommes l'aimaient car ils savaient que c'était un exellent chef.
Il fit le tour de la scène et y monta par les quelques marches. Se plaçant devant le micro il prit la parole.


-Messieurs, repos.

Les soldats s'éxécutèrent sur le champ dans un calme total.

-Je reviens de New York où les négociations avec l'Autriche ont échoué, j'en suis fort déçu. Le Chancelier a refusé de s'excuser. Nous ne pouvions laisser passer cela ! Personne n'insulte l'Allemagne, ce pays où il fait si bon vivre et où chacun a droit à la santé, à l'éducation, à manger correctement, de se loger. Je ne pense pas que toutes les nations de ce monde puissent en dire autant. Le pays refuse de s'excuser car selon lui, c'est à nous de le faire, et cet avis est soutenu par l'Australie. Ces pays sont des ingrâts, à qui il faut montrer comment on doit se tenir dans ce monde. Les amis de nos ennemis sont nos ennemis ! Ainsi soit-il. L'Australie tout de même a fait des efforts en retirant ses troupes de Croatie mais cela n'est pas une raison. Il serait trop facile de se donner bonne conscience ainsi.
Moi qui suis pour la paix, pour un monde meilleur, tous ces hommes réduisent mes projets à néants. Si nous nous battons, ce n'est pas pour la guerre mais pour la paix !


Les soldats l'applaudirent aussi fort qu'ils pouvaient. Surtout que le Kaiser y mettait tout son coeur. En effet, à ces dernières paroles, il avait placé sa main droite sur son coeur. D'ailleurs quand il faisait un discours il se servait beaucoup de ses mains. Le calme revînt et il reprit :

-Pourquoi certaines personnes s'opposent-elles à moi alors que tout le monde devrait vouloir vivre en paix ? Je ne possède pas la réponse à cette question, à mon plus grand désespoir.
L'Allemagne est le pays du coeur, qui est des plus dévoués à ses alliés mais surtout amis. Oui car le Reich n'a pas des alliés mais des amis de coeur. Je le dis : trop de bonté tue la bonté, surtout quand on s'est fait trahir par notre plus proche qu'était l'Autriche. Les larmes parfois m'en viennent aux yeux mais par chance je suis une personne forte et au lieu de me lamenter sur mon sort je réfléchis et cherche à faire de nouveau de l'Autriche un de nos alliés. Malheur de Dieu certains sont résolus à ne pas nous entendre. Ces gens, pour le bien de tous, doivent disparaître. C'est mon intime conviction.


Il se fit de nouveau applaudir et le commandant de la base, après que l'Empereur ait remercié ses soldats pour leur écoute, leur demanda de quitter les lieux.
L'Empereur but une tasse de café avec l'homme et ensuite se rendit au Reichstag.
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