Lettre du Royaume-Uni

Citation :

Monsieur,

Son Altesse le Roi et moi même avons conscience de ce que représente le danger nucléaire pour la paix mais surtout pour l'humanité.

De fait, nous vous annonçons par la présente que le Royaume-Uni ratifie le Traite de non prolifération nucléaire en ce jour du 30 janvier 1951.

Nous espérons advenir à un monde meilleur, voilà la raison de notre ratification.

Sincères salutations.
Winston Churchill, Premier Ministre britannique.

Citation :

Monsieur,

Recevez toutes les salutations de l'Empire britannique par Son Altesse le Roi Georges VI.

Nous espérons en effet qu'une telle signature maintiendra la paix internationale sur la question nucléaire.

Sincères salutations.
Winston Churchill, Premier Ministre britannique

Citation :

Monsieur le Président,

J'ai pris connaissance de votre précédente lettre. Sachez que je suis touché à quel point vous oeuvrez pour un monde de paix. Il est vrai que auparavant je participai à cette tâche, mais les circonstances ont fait qu'à l'heure actuelle il en est autrement.

Je crois bel et bien qu'il y a un léger malentendu entre nous, Monsieur Stauffen. En effet vous considérez mon pays, le Royaume-Uni, comme membre de l'Organisation du Traité de l'Atlantique Nord. Il n'en est rien. A ce que je sache, nous n'avons jamais rien signé quoi que ce soit de la sorte, et croyez m'en désolé.

Vous êtes un homme de bon sens, c'est uné évidence, mais je ne crois pas que vous soyez là pour me parler d'union par la plume. De toute évidence nous pouvons parfaitement illustrer l'expression : "Faites comme je dis et non comme je fais". Car il me semble que les Etats-Unis se sont bel et bien engagés dans des guerres d'expansion. Le Royaume-Uni pratique le même système, d'un point de vue général bien entendu car dans le fond il en est autrement. L'Australie appartient au Royaume-Uni, et cela fait un an qu'elle a déclaré son indépendance et nous voyons bien la regression. Ce pays a été oublié sur la scène internationale. Nous nous battons donc pour que l'Australie retrouve son statut, même si certains de ses citoyens ont des difficultés à le concevoir.

Pour vous je ne dirai qu'une chose : rompaient vos accords avec l'Australie, et il n'y aura aucune guerre. Car si celle-ci venait à se déclarer, Londres en serait peut être responsable, mais vous également, car c'est en protégeant une nation que vous en aurez attirés des dizaines d'autres dans la foudre des combats. Réfléchissez-y bien, Monsieur le Président.

Sincères salutations
Winston Churchill, Premier Ministre britannique