Visite officiel de sa Sainteté

-Ah oui cela m'était sorti de la tête. Donc aimeriez que Avigon soit replacé sous l'autorité du Vatican. C'est bien cela ?

- Oui, c'est bien cela.

-Je suis désolée mais ceci n'est pas possible.

- J'aimerai savoir les raisons de se refus. Car , je doute que vous fassiez du palais des papes une residence secondaire ? Nous ne voulons même pas la ville, seulement le palais.

-Ceci est simple. Ce Palais appartient au patrimoine français uniquemnt et il m'est impossible de le concéder au Vatican.
Mais pourquoi le vatican souhaite cette résidence ?

- Je vous l'ai déjà dis au téléphone, pour nous rapprocher des pays du nord.

-Ceci n'est pas une raison. Vous seriez enclavé dans le territoire français, voilà la seule chose que je vois.

L'Impératrice ne considérait pas cela comme un argument mais comme une excuse. Si le Vatican voudrait se rapprocher vraiment des pays du Nord, il choisirait un lieu en Belgique, aux Pays-Bas ou autre mais pas dans le sud de la France. Elle se doutait fortement que le but du Vatican était de retrouver sa puissance d'antant uniquement. Quoiqu'il en soit cela n'était qu'une supposition mais elle pensait ne pas se tromper de plus que son Premier Ministre avait eu la même idée.

- D'après vous, pourquoi Avignons et pas Maline ou Amsterdam ?

-Je sais bien que cet endroit est ancienne propriété du Vatican mais tout de même, que le Palais a accueilli les Papes fort longtemps mais tout de même il est possible de changer.

- Sa c'est vous qu'il le dit. Simplement, l'diée que le vatican soit sur voqs terre vous fait peur et vous tracasses.

-Me fait peur dîtes-vous ?! De quoi devrais-je avoir peur ? D'un morceau de terre de 1 000 mètres carré avec 1 000 personnes tout au plus ?

- Eh bien, voila, je ne vois pas pourquoi vous me refuser le palais d'avignon. Qui restera non seulement un chef d'oeuvre français. Mais qui pour le vatican, prouvera que nous sommes capable de nous ouvrir au monde.

-Je n'ai de cesse de déplorer le fait que le Vatican souhaite refaire un bon dans le temps pour revenir ou Moyen-Age où il contrôlait tout, c'est cette raison là qui me pousse tout particulièrement à refuser. Vous avez je trouve beaucoup d'exigences ces derniers temps.

- J'essaye simplement que le vatican fonctionne plus simplement. Et il ne s'agit pas de retourner dans le temps, mais d'avance vers l'avant plutot.

-Je ne crois pas, ceci montre plutôt que le Vatican retourne en arrière car cette politique est moyen-ageuse.

- vous continuer aussi a colonisez, pourquoi pas nous.

Mais quelle remarque de la part du Chef de l'Eglise. Comment pouvez t-il penser ainsi ? Il devrait être renvoyé pour cela si c'était possible. Elle répondit :

-Ainsi vous croyez que le Vatican a la possibilité de coloniser ? Cela ne correspond pas tellement avec la morale de l'Eglise. De plus, vous êtres loin d'en avoir les moyens car excusez moi mais sur cette planète le Vatican n'est rien mis à part une institution religieuse. Le Vatican n'a pas d'armée, il y a moins de 1000 vaticanais au total. Dans tous les cas, vous n'êtes pas fait pour cela.

Je crois que vous devriez revenir sur vos propos.

- qu\'elle propos ? Vous voyez, quand vous faite des affronds au vatican, je les prends avec le sourire. Quand c\'est vous, vous vous mettez en colère. Et pour un palais qui permettrai l\'ouverture sur le monde du vatican , vous êtes contre. Je vous comprend vraiment pas. Il y a vraiment pas question de puissance en dessous.

-Les propos que vous venez de tenir. Tout simplement.

Elle se leva et fit le tour de son son fauiteil puis posa les deux mains sur le dossier. Elle regarda son invité droit dans les yeux et lui dit :

-Je ne comprends pas comment que vous pouvez diriger le Saint-Siège, vous n'avez en rien la morale catholique.

Puis elle détourna son regard et s'écria :

-Gardes, veuilez raccompagner sa Sainteté jusqu'à sa voiture. Nous en avons fini.
Votre Sainteté, je vous souhaite un bon retour au Vatican. mes amitiés.

ajouta t-elle en lui faisant un petit sourire de coin.

- Majesté, il n'y aucune question de puissance l'a dessous, et je vais vous dire comme je l'ai dit au kaisers. Vous ne vous rendez pas compte de l'intérêt d'être un humain.

A l'approche des gardes, les gardes du corps du Saint père se levère et sorti leur pistolet en direction des gardes.

Le pape repondit :

Messieur, reprenons notre calme.

Il rengère leur pistolet et se rassire.

Et dire que j'avais prévu, l'inauguration du palais d'avignons avec vous. Car un joyaux de la france restera à la france, même si le vatican le reprend. Je suis prêt à faire un geste, que uniquement un primat français pourra être nommé comme camerlingue d'Avignon.

Il baissait visiblement d'un ton et ne devait guère appréçiait l'attitude de l'Impératrice. Mais elle faisait encore ce qu'elle voulait chez elle, Paris, dans sa capitale !

-Votre Sainteté, tout ce que je sais pour le moment, c'est que je ne peux me permettre d'être une personne ordinaire, car j'ai un pays à diriger. Je dois conduire le peuple français en haut de l'échelle, le rendre grand et puissant, me battre pour ses intérêts. Parfois nous devons oublier que nous sommes des hommes, ou des femmes, mais devons nous placer au dessus de cela. C'est une condition nécessaire à tout bon Chef d'Etat.

Enfin je crois que nous nous étions dit au revoir. Bon retour.

Elle quitta la pièce en traversant par la petite porte du fond. Les gardes ouvrirent la grande porte pour raccompagner le Pape.

Cette fois les gardes du corps se levère et netralisère les gardes et le pape se mit en colère :

Du calme je vous prie !

Ne savez vous pas respecter la diplomacie, bande de tête sans cervelle !

Puis se tourna vers l'Impératrice et dit :

Nous en sommes rester a : quelle sont vos condition Majesté, pour obtenir Avignon, ou un tout autre palais.

L'Impératrice était dans le bureau d'à côté, elle avait entendu parler le Pape mais ne revînt pas pour lui répondre. A vrai elle s'en moquait. Il avait éxagéré et maintenant il était trop tard pour revenir en arrière. Elle murmura quelques mots à un garde de la Garde Impériale qui était avec elle. Puis celui-ci se rendit dans la pièce où se trouvait le Pape et il dit :

-Par ordre de l'Impératrice, vous avez 5 minutes pour quitter le château.

Il fit signe à ses garde de se placer correctement autour de la porte...

- Majesté, sa ne restera pas sans mots.

Et le pape sorti, remonta dans sa voiture pour reprendre l'avion.

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