Rencontre sino-japonaise

Sujet: Rencontre sino-japonaise Jeu 31 Jan 2008 - 15:18

Dans la matinée du 5 mars, quelques heures après que la reunion avec le Premier Ministre britanique ait été conclu arriva Will Yun dans la ville de Tokyo, grande métropole et capitale du Japon. Will espéra grande chose de cette reunion qui pour lui s'avéra comme cruxiale pour ouvrir les communications avec l'OTAN, organisation dont Will espéra pouvoir récevoir le soutien en cas que les discussions à l'ONU sur la décolonisation de l'Asie de l'Est échouerait et que la guerre sera la seule solution pour chasser les australiens et portugais de l'Asie.

C'est de ceci qu'il fut conduit auprès du Palais Impérial pour la réncontre avec le souverain nippon, souverain qui s'avéra comme un allié parfait pour les intérêts taïwanaise vu de la procheté géographique et culturelle.

Sujet: Re: Rencontre sino-japonaise Jeu 31 Jan 2008 - 16:17

Dès son arrivée au Palais impérial, le Dictateur du Taîwan fut acueilli par une jeune secrétaire.

-Bonjour Monsieur Yun, je suis secrétaire de Sa Majesté l'Empereur, je vous prie de me suivre. Je vais vous conduire à son bureau.

La secrétaire conduisit l'homme à travers quelques couloirs et arriva face à la porte du bureau de l'Empereur. Elle frappa. Après l'approbation de celui-ci à entrer, elle ouvrit les portes et pria Monsieur Yun d'entrer dans le bureau.
Hirohito était assis devant son bureau. Il se leva, en fit le tour, et alla salua le Dictateur.

-Bienvenue à Tokyo Monsieur Yun. Je suis heureux de vous recevoir.

Ils se firent une ferme poignée de main puis il lui demanda de s'installer au bureau et lui recommanda diverses boissons.

Yun très surpris par cette poignée de main, une habitude occidentale complètement inconcevable pour un asiatique et surtout entre eux, cacha sa surprise au souverain nippon qui peut être avait prit cette habitude en raison du contact avec les occidentaux sous forme d’un geste mécanique. Passant de ceci il prit place et après les salutations de la part du monarque il lui dit.

« Votre Majesté, c’est pour moi un grand honneur d’être reçu par votre personne et de représenter le peuple taïwanais dans cette réunion dans laquelle nous portons des grands espoirs. Nous vous renvoyant donc vos salutations avec la même ferveur.»

Il ajouta à ceci pour débuter la discussion.

«Il semble ainsi, que votre personne aurez désirer une rencontre entre nos deux peuples, je pense donc de vous laissez en premier la parole pour la conduire après vos projets.»

L'Empereur du Japon se laissait aller à nombres de manières occidentales. Cela est certainement dû au fait qu'il a y encore peu de temps, une délégation américaine était présente à Tokyo auprès de l'Empereur à cause de la défaite du Japon à la fin de la Seconde Guerre mondiale. Les Japonais aussi s'étaient laissés aller à une forte occidentalisation des modes de vie mais tout de même, la culture nationale restait assez présente dans les esprits et les moeurs.

-Excellence, je vous remercie de votre bon état d'esprit. Je vois au moins que l'île est dirigée par quelqu'un de distingué, cela nous manquait. Notre dignité est égale à nos personnes.

Le Dictateur du Taïwan était, on le voyait bien, un homme très ambicieux pour le nation qu'il dirigeait et aussi pour la liberté accordée par l'Occident aux peuples d'Asie. Il était courteois, au premier abord, et n'évoquait pas la haine qu'avaient les dirigeants passés envers le Japon, bien que cela puisse araître normal compte tenu du passé en autre avec les invasions nippones de toute la région.
Il pria son hôte de prendre place face à lui puis ils entamèrent la discusion...

-Notre rapprochement géographique ne peut nous laisser indifférent l'un à l'autre, et je pense que même sans nous engager sur la voie du commerce, nous pouvons trouver des accords militaires. Je tiens à ce que vous sachiez tout de suite que le Japon ne souhaite pas mener une politique commerciale internationale car je préfère que le pays se base sur l'autarcie. Je réduis mes cercle des fournisseurs à mes alliés de l'OTAN, surtout l'Allemagne qui nous livre en pétrole.
Enfin, pour l'établissement d'un accord militaire, qu'en pensez-vous Monsieur Yun ?

Yun fut très content de retrouver la clarté de propos de la part de l’Empereur car un de ses désir dans cette rencontre était t’établir une sincère amitié avec le Japon permettant de finir avec le passé chargé que l’Asie avait connu. Yun était convaincu que si les peuples asiatiques voulaient résister face aux nations occidentales comme le Portugal et l’Australie que seul l’union pouvait être possible et le premier pas était d’éliminer la haine qui rongea tous à cause de la Seconde Guerre Mondiale. Certes, le Japon avait point été honorable pendant cette période et les horreurs et crimes étaient nombreux mais ceci est du passé vu des dangers venant de l’Australie et du Portugal qui envahissaient l’Asie de l’Est par le Sud.

Yun qui se trouva ainsi en face su souverain lui répondit.

« Sachez que nous sommes honorés d’enfin pouvoir parler pas en tant qu’ennemies mais comme amis. Il s’avère que nos deux peuples ont tant d’intérêts communs que le Taïwan désire par-dessus tout qu’une amitié sincère et de longue durée s’installent entre nos deux peuples. Nous sommes également heureux de voir que le Japon est dirigé par quelqu’un de sage et honorable protégeant la voie des ancêtres.»

Concernant les accords commerciaux il dit.

« Ceci me blesse point au contraire, les accords commerciaux sont pour le moment quelque chose de secondaire vu du dangers extérieurs qui planent sur toute l’Asie encore libre. Par contre nous pensons que nos deux pays devraient mettre sur pied un accord d’amitié, de reconnaissance et d’aide mutuel face à l’adversité.»

Le Dictateur était vraiment un homme sage, car visiblement il savait pardonner. En effet, Hirohito, ou connu sous le nom de règne d'Empereur Shōwa, était Empereur du Japon depuis maintenant 1926. Il avait participé à la Seconde Guerre mondiale. Mais il était assez effacé jusqu'au jour où le Japon ne pouvait plus continuer et il ordonna la capitulation à ses généraux.
Mais aujourd'hui, avec le temps, il avait changé, il était devenu un homme plus sage avec l'expérience de la guerre dans le Pacifique et surtout autour du Japon.
Il devait maintenant renforcé ses liens avec les nations voisines, c'était indispensable car vivre dans une sphère de paix est déjà un excellent point pour le bonheur du peuple. Et quand un peuple est heureux, le pouvoir en fait ce qu'il en veut. Les différents exemples de l'histoire l'avaient montré.

-Je suis aussi satisfait que la haine envers l'ex-envahisseur japonais ait disparue, tout du monde dans les hautes sphères de l'Etat du Taïwan. Car je me doute fort bien que votre peuple doit certainement garder une certaine part de mépris envers le Japon, tout comme les Chinois.

Puis en venant à leur coopération il répondit à son hôte :

-Je ne m'attendais pas à cette réaction de votre part, mais quoi de plus parfait si vous pensez cela. Au moins nous avons cela en commun. Je suis fort favorable à un accord d'aide militaire. Ce qui me dérange le plus actuellement sur notre continent est la présence portugaise qui n'a rien à faire ici il me semble sachant que ce pays, raison de plus, n'a aucun passé commun avec les peuples colonisés. Partagez-vous le même avis, Monsieur Yun ?

L’Empereur ayant énoncé le point sur les portugais avait viser dans le mile car nul autre peuple Yun détesta plus au Monde que les lusitaniens qui osaient se proclamer maitres sur des peuples bien plus anciens qu’eux. Sachant que l’Organisation des Nations-Unis avait peu de chance de faire passer une résolution pacifique Yun avait déjà établit un plan militaire parfaitement coordonné, il fallait juste encore quelques détails et aussi le soutien de l’OTAN. Voyant la réaction de l’Empereur face aux portugais, Yun constata qu’il avait enfin trouvé l’allié parfait pour débuter le combat contre les portugais s’ils refuseraient de libérer les colonies. Certes, le peuple du Taïwan avait encore des rancœurs contre le Japon mais si le Japon s’unissez eu Taïwan contre le Portugal l’opinion publique pouvait rapidement changé en faveur de l’Empire nippon permettant ainsi de travailler pour réunir l’Asie sous une même idée. C’est de ceci que Yun répondit au sovuerain.

« Votre Majesté. Sachez que la présence du Portugal dans l’Asie de l’Est est une profonde insulte pour notre nation, nous considérons l’esclavage de nos frères et sœurs de culture comme un affront impardonnable et de ceci nous avons pour notre part décidé de mettre une fin aux présences non-asiatiques dans l’Asie de l’Est par la plume et si nécessaire l’épée. Nous sommes heureux que vous êtes également de l’opinion que cette présence est un affront et que le Portugal n’a aucun lien avec ces peuples qui demandent que d’être dirigé par les leurs. Nous pensons donc que nos deux peuples devraient peut être envisagés une alliance temporaire contre le Portugal et unir nos forces militaire pour chasser les lusitaniens de l’Asie.»

L'Empereur Hirohito écouta son homologue taïwanais. Il n'avait rien à ajouter car Yun avait tout, dit, absolument tout sur l'attitude du Portugal. Ce pays n'avait aucune raison profonde pour l'établissement des colonies. Il était simplement jaloux des immenses empires des puissances voisines et surtout celui de la France qui d'après les dernières statistiques était le plus grand du monde, dépassant même le territoire de toute l'URSS. De plus, le Portugal accusait sans fin toutes les nations ne suivant pas sa doctrine de tous les maux, et cette attitude était inadmissible pour une nation qui se proclame si "bonne" et "détentrice" de la foi chrétienne. Ainsi l'Empereur ajouta pou répondre à l'homme :

-Je partage votre avis sur tous les points Excellence. Il est inadmissible que le Portugal pratique l'ingérence sur notre continent. Il faut mettre un terme à cela, et la plume comme vous l'avez si bien dit serait le meilleur des moyens. Cependant je n'y compte pas tellement, je crains fort que l'ONU soit bloquée par une décison ou une autre, ou dans une autre perspective il est fort probable que le Portugal refuse de se retirer de ces territoires.
Mais vous savez, je crois que nous avons un bon point de notre côté. La France et l'Allemagne sont alliées du Japon et sont confrontées à beaucoup de heurts diplomatiques avec le Portugal. Ces deux pays accepteront certainement de nous aider. Les Etats-Unis, également alliés de notre nation par le traité de l'OTAN, je ne sais pas ce qu'il en adviendra. Peut-être nous aideront-ils mais l'aide allemande nous sera suffisante je pense. Ou alors ce sera la flotte du pacifique américaine qui viendra nous porter son aide du fait de son rapprochement géographique.
Enfin, je me répète, régler cette affaire diplomatiquement vaudrait mieux. Mais avant commençons par notre union militaire. Avez-vous un texte à me proposer Monsieur Yun sur lequel nous pourrions nous mettre d'accord ?

Yun aussi convaincu qu’une guerre contre le Portugal serait bien vu par la France et l’Allemagne pensa que finalement le Portugal avait creusé sa probe tombe. Les généraux taïwanais avait longtemps étudié comment vaincre le Portugal et un des facteurs essentiels fut l’aide de l’Allemagne surtout pour livrer les fonds et le matériel de guerre encore manquant. Si l’Allemagne aidait, la victoire sur le Portugal était atteignable. C’est surtout pour ceci que Yun avait tant insisté sur des bonnes relations avec le Japon car ce pays ouvrait au Taïwan le chemin vers l’Empire Allemand et donc à ses précieuses aides. Yun répondit ainsi à l’Empereur nippon.

«Votre Majesté, vous voyez juste et sage. Ils peut que les occidentaux puisse nous être une aide mais je pense que pour le moment seul l’aide de l’Allemagne pour nous livrer des importants fonds et matériel de guerre est nécessaire. Nos généraux ont déjà établit un plan pour vaincre le Portugal et donc je pense qu’il ne sera point nécessaire de faire appel à tous vos nombreux alliés.»

Venant au traité Yun sortit un feuille de son porte-document et lui tendit au souverain.

«Voici donc le traité que nous songeons comme adéquat pour unir nos forces contre le Portugal.»

Citation :: Traité d’Union Militaire entre l’Etat du Taiwan et l’Empire du Japon

Dans le désir mutuel de combattre les peuples tentant d’asservir les nations asiatiques à été établit cette union militaire. Ainsi soit que toute nation non-asiatique colonisant l’Asie de l’Est sera considérés comme ennemie des signataires de ce traité.

Les signataires se promettent ainsi unité et amitié dans le combat contre les nations étrangères faisant ingérence dans l’Asie. De se soutenir complètement et d’unir toutes leurs forces contre l’ennemie commun. Les signataires pour ceci accordent à chacun le libre passage de troupes et de communications sans aucun compensation demandée.

Les signataires promettent qu’en cas de victoire d’être juste et de pas oublier le but principal de leur combat, celui de la libéralisation de l’Asie des nations étrangères. Les signataires en cas de victoire s’accorderont de mettre les territoires libérés sous leur protectorat jusqu’à qu’un gouvernement capable soit établit dans les nations sous protectorat. Ils s’accordent de pas procédé à une colonisation de ces mêmes territoires et de toujours respecté leur souveraineté au nom de la fraternité raciale.

Fait a Tokyo,

L'Empereur du Japon prit le document dans ses mains et l'examina avec la plus vive attention. Les raisons de leur union étaient clairement explicitées, le but, et l'état des territoires de l'après-combat étaient énoncés. Hirohito n'avait donc rien à ajouter. Commencer la coopération de cette manière ouvrait la voix à une coopération future encore plus forte, pour faire de ces deux pays de vrais alliés unis dans la diversité.

-Il est vrai qu'un seul des alliés de l'OTAN suffiront étant donné qu'ils sont tous si puissants chacuns. Vous avez choisi l'Allemagne, encore faut-il qu'elle accepte car son aide est sous réserve mais à mon avis, son aide est certaine connaissant la diplomatie actuelle entre elle et le Portugal.

Quant au document porteur des crits du traité il répondit :

-Je pense que vous avez là énoncé tous les points nécessaires à notre collaboration Monsieur Yun. J'admire la manière dont vous porter à coeur ce projet. Les peuples asiatiques vont vous considérer comme un frère après leur libération.
Le Japon est prêt à signer cet accord.

Chose dite, chose faîte. Il déposa sa signature sur le document qu'il tendit ensuite vers le Dictateur du Taïwan.

-A votre tour excellente. Placez la dernière vis de notre union.

Il faisait allusion à sa signature qui rendrait valable le traité, mais Yun devait certainement avoir compris. Il était un hmme intelligent.

Yun très satisfait que l’Empereur trouva plaisance à ce texte, comprenait les réflexions du monarque concernant le choix de l’allié dans l’OTAN. Certes, les Etats-Unis était aussi un allié potentiel mais après Yun il était préférable de se baser sur un allié qui n’avait pas une réputation à perdre et surtout qui connaissez bien l’art de la guerre, car il était bien connu que nul autre peuple que les allemands savait manier l’épée avec autant de grâce et d’audace.

Yun pensa que pour libérer l’Asie le mieux fut de faire par étapes donc de négocier en premier comme amis avec les Etats-Unis, d’également de négocier avec les Australiens mais avec la main à l’épée en cas ou et pour le Portugal de sortir l’épée immédiatement sans perdre du temps inutile avec un gouvernement sans honneur et sans respect. Pour le moment le plus important fut de réunir les puissances asiatiques dans un front donc de signer ce traité. Yun dit donc au souverain quand celle-ci fut entra de signer.

«Votre Majesté, vu des relations économiques avec l’Allemagne assez intimes et aussi de leur déclaration de soutien pour notre projet il y a trois semaines dans une lettre, je pense que l’Empire allemand est un allié de taille, de confiance et aussi de bon choix. J’ai donc guère de soucis pour que l’Empire accepte de nous aider surtout qu’il devra que nous aider d’un point de vue matériel donc ne sera pas directement impliqué, ce qui permettra qu’il se lave facilement les mains devant les autres nations.»

L’Empereur ayant signé, Yun fut assez charmé par le compliment que le monarque le fit même s’il savait que ce projet pouvait qu’être réalisé avec l’aide de tous et donc qu’en fin de compte toutes les nations ayant participés auront droit au remerciement des peuples libérés. Il prit la plume et apposa sa signature avec un sourire. La phrase poétique de l’Empereur le plaisait beaucoup et fut parfaite pour une telle occasion ou un important traité entre deux peuples asiatiques fut signé. Il dit donc, l’œuvre accomplit.

«Nous voici donc unis un à l’autre, deux vises serrant un projet de liberté et d’espoir.»

Taïwan était parti sur l'idée que l'Allemagne n'interviendrait pas directement. Peut être le Dictateur pensait que l'Empire d'Allemagne prêterait du matériel militaire à la République du Taïwan dans ce but de libéralisation. Hirohito ne partait pas sur la même idée. Il pensait plutôt que seule la marine allemande devrait aider mais ce serait l'armée de terre du Taïwan qui libérerait les territoires avec l'aide japonaise. Car oui l'Allemagne aiderait certainement mais le Kaiser n'avait pas tellement un esprit prêteur. Il préfèrerait directement intervenir avec l'aide de sa Marine Impériale pour bien montrer à la communauté internationale qu'il ce serait opposé au Portugal, ce pays qui lui fait hérisser les cheveux depuis un certain temps.
Pour résumer, Hirohito avait penser que l'Allemagne chargerait les troupes sur ses navires depuis Taïwan. De là embarqueraient également les troupes japonaises qui seraient arrivées sur l'île au préalable. Puis la Marine allemande se dirigerait vers les côtes des colonies portugaises et ouvrirait le feu. Enfin, après les bombardements, les soldats taïwanais et japonais pourraient débarquer.
Souhaitant un éclaircicement, l'Empereur demanda à son homologue :

-Monsieur Yun, pensait-vous donc que l'Empire d'Allemagne prête du matériel à Taïwan ? Car ma pensée était que la Marine allemande nous conduise vers les territoires à libérer. Enfin, je vous laisse voir à cela Excellence.

En effet le Dictateur du Taïwan pouvait décider seul des plans pour le moments, de la manière de procéder etc... Enfin il est bon de le rappeler : régler cette affaire par la plume vaudrait mieux car la guerre apportait la tristesse au peuple concerné, excepté dans une certaine mesure ses dirigeants qui souvent ne pensaient qu'à leurs intérêts. De plus, la guerre coûte chere et ceci est un point important.
Pour en revenir à Hirohito, lui aimait son peuple et ne voulait pas lui apporter trop de tristesse étant donné que pour une première et importante raison il a déjà assez souffert lors de la guerre précédente. Quant au Dictateur du Taïwan, il semblait aussi vouloir le bien pour son peuple.

Yun savait que pour attaquer le Portugal il faudrait avoir les transporteurs marins et à l’heure actuelle seul l’Allemagne avait assez de transporteurs digne de ce nom pour pouvoir faire un tel mouvement de troupes. C’est ainsi que les réflexions de l’Empereur avait également fait leur passage dans la tête de Yun qui conclut quelque chose de très similaire. La proposition du souverain fit identique jusqu’à un point qui fut assez flou aux idées de Yun. Ceci démontra bien qu’il n’avait pas trente-six solutions pour attaquer le Portugal.

Concernant les effets de la guerre, Yun savait que ceci allait de toute manière perturber l’économique du Taïwan mais la cause valait la peine et comme on dit « Magna causa, magna sacrificum necessitat », une grande cause demande des grands sacrifices. La guerre qui sera menés après Yun sera tellement justifié auprès du peuple japonais et taïwanais qu’ils tôleront avec ferveur cette guerre qui a comme but de rendre l’Asie libre et souveraine.

Yun dit donc.

« Votre Majesté, concernant l’Allemagne j’avais penser que l’Empire nous prêterait le matériel nécessaire comme les navires de transport . Mais bon, ceci sont au fond que des détails si l’Empire nous le prêt ou s’engage à faire le transport car le résultat final sera le même. Nous enverrons une demande à l’Empereur des allemands pour régler ceci mais si ce point devait être un problème il aura une solution très rapide et munis de concordance. Donc ne craignez rien, nous pensons que nous pourrons régler tous les détails dérangeants très rapidement avec l’Empereur.»

L'Empereur écoutait le chef de l'Etat de Taïwan parler. Sa politique était respectable, et appréçiable. A cela il répondit :

-Oui je le pense bien. Cela pourra être réglé avec l'Empereur d'Allemahne. Ce n'est pas le point le plus important pour le moment mais tout ce qui compte est la libération de nos frères des nations voisines.

Il était maintenant temps pour l'Empereur Hirohito de quitter les lieux. Ce n'était pas qu'il ne se sentait pas bien ou pour une autre raison de ce genre mais simplement le temps pressait et ils ne pouvaient se permettre de perdre du temps inutilement. Hirohito devait rentrer au Japon et mettre les plans sur table pour mener leur combat de libéralisation. Et le Dictateur du Taïwan devait sûrement avoir à faire également. Ainsi il ajouta :

-Excellence, je pense que tout deux avons à faire et qu'il est venu le temps de nous quitter. J'ai ici passé un moment agréable qui a ressouder en partie la cassure entre nos deux nations. Je pense que nous ne tarderons pas à nous revoir.

Yun sentant que l'Empereur fut pressé lui dit.

"Très bien. Je vous laisse donc vaguer à vos occupations et pour ma part je retournerais vers le Taiwan."

L'Empereur salua son hôte qu'il raccompagne ensuite jusqu'à la sortie.

-Le ciel se couvre à l'horizon. Je vous souhaite bon courage et surtout bonne chance dans les temps à venir Monsieur Yun.

L'Empereur lui fit le salut militaire et observa son convoi quitta le Palais.

La réunion avait aboutie à un bon accord qui allait apporter la gloire aux deux pays.

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