Libération du Pacifique

C’est enfin que les dix transporteurs taïwanais arrivèrent au large des côtes du Vietnam. C’est depuis ces côtes que devait avoir lieu la libération de l’Indochine du joug portugais après un plan bien précis et soigneusement établit. Chaque transporteur devait conduire ces dix milles hommes vers une autre section des côtes vietnamienne et ainsi permettre aux troupes de débarquer sur les plages indéfendus du Vietnam. De là, les troupes devaient marcher vers les prochaines agglomérations pour chasser les gouverneurs et les garnisons portugaise pour permettre au mouvement local de reprendre les reines de l’administration. Ainsi de suite, ils devaient passer de ville en ville pour les libérés une après l’autre.

Le plan fut simple, libérer chaque ville majeur du Vietnam des occupants portugais pour permettre que des autorités indigènes furent mit en place. La capitale, Hanoï devait après sa libération permettre d’abriter le nouveau gouvernement que la résistance vietnamienne avait formé pour donner à ce pays un nouveau régime démocratie, libre et aussi permettant d’assurer la souveraineté. L’action du Taïwan n’était rien d’autre que de libérer le chemin au mouvement de résistance et de chasser les portugais. Après la libération du Vietnam, il suffisez de passer à la libération du prochain pays dans ce cas le Laos.

Les troupes du Taïwan devaient rencontrer presque aucune résistance sur le chemin de la libération vu que seul deux milles cinq cent soldats portugais furent stationnés dans toute l’Indochine. Mais quand même, il était préférable de prendre les portugais au sérieux.

C’est ainsi donc que les troupes débarquèrent sur les palges pour libérer le Vietnam du Joug portugais à jamais en suivant les mouvements prévus par l’Etat-major taïwanais*. Le Taïwan souhaita de pouvoir compter sur la précieuse collaboration du Japon qui avait déjà entamer la marche de libération et aussi sur celui du mouvement de rébellion local.

Entre temps, l’Etat-major avait ordonner à la flotte aérienne de Rabat de continuer de faire des bombardements chaque six heures sur les villes de Lisbonne et de Porte en visant comme jusqu’à maintenant que les usines d’armement et casernes militaires. C’est ainsi que la dernière usine d’armement, le chantier naval sombra sous les bombes du Taïwan. Certes, le Taïwan n’avait aucune envie de prolonger ces bombardements qui mettaient en péril la population civile mais si c’était la seule manière de forcer le Portugal à la capitulation en détruisant systématiquement toute tentative de construction d’une usine militaire et toutes les casernes du pays alors il fallait le faire. Yun savait que les bombardements détruisaient aussi des bâtiments environs mais c’était le prix à payer pour la libération de cinquante millions de personne d’un jour insupportable.

Info//

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Rapport du narrateur :

Le Portugal perd ses 3 usines d'armement.

Le Portugal perd un centre économique.

Les deux autres centres économiques sont endommagés. Les sommes demandant leur réparation seront à verser à la fin de la guerre.

Will Yun qui fut assit dans le Quartier Général buvait tranquillement un thé en écoutant ce que le petit chiwauwa portugais avait encore une fois à déclaré. Comme toujours, il disait la même chose, en répétant les mêmes idioties d’exigences. Franchement, Yun trouva qu’il fut temps de tourner le cou à ce coq car ses chants commençait à agacer. Quelle chance que les portugais dans leur stupidités avaient attirés la colère de l’Allemagne. Vu que maintenant le Reich s’en chargea des petits portugais, le Taïwan pouvait entièrement se concentrer sur l’Asie pour botter les portugais hors de la zone. Certes, ils furent point les pires colonisateurs et avait apporté un sens de démocratie dans la région mais à quoi servait la démocratie si on pouvait pas élire son gouvernement et que tout fut décidé par un gouvernement étranger. Non, pour que la démocratie fasse son entrée dans les pays de l’Indochine il fallait leur offrir une indépendance et souveraineté totale ce que le Portugal ne fut pas prêt à concédé.

Les déclarations du Portugal démontrait que ce pays ne connaissez rien à l’Asie et n’avait aucune idée des peuples qu’il affronté. Car par l’ironie du sort, le Taïwan posséda une constitution appliquant une démocratie extrêmement avancée, le Portugal pour son compte fut tombé dans une vaste démagogie. La vrai démocratie, elle. fut dans le Nouveau Monde et l’Asie.

C’est ainsi que Yun rejoignait la réunion au Etat-major.

C’est là qu’il fut informé que les troupes du Taïwan avait réussit à libérés toutes les grandes villes du Vietnam. La capitale fut également libre et les vietnamiens avait reçu les troupes du Taïwan en triomphe. Une victoire complète. Le Vietnam fut enfin libéré du Portugal et pouvait donc marcher vers une indépendance claire pour pouvoir finalement demander la protection de l’ONU jusqu’à qu’un gouvernement fort soit élu.

Yun fut très heureux de ces nouvelles. Mais ceci fut que le début, il restait encore des nombreuses nations sous le joug portugais à libérés avant de pouvoir enfin penser à finir avec toutes ces guerres. Mais Yun avait confiance, même s’il s’avérait maintenant plus sage d’accélérer tous les mouvements pour libéré au plus vite les autres nations.

Les prochaines destinations furent les nations du Laos, du Cambodge et de la Thaïlande. Pour le Laos et le Cambodge il suffirez de faire passer les troupes depuis le Viêt-Nam donc rien de compliqué. Pour la Thaïlande il serez plus judicieux de faire débarquer encore vingt-milles soldats depuis le Taïwan ce qui permettrez ainsi aussi de pouvoir assurer le région en cas de contre-attaque imprévue.

Les ordres envoyés, les troupes se mettaient en marche. C’est ainsi que cent milles soldats franchirent les frontières du Laos et du Cambodge depuis le Viêt-Nam dans le désir de chasser les portugais de ces deux pays en se dirigeant vers les grandes agglomérations les plus proches.

Dix transporteurs marins apportèrent quatre-vingt milles soldats d'avantage au Viêt-Nam pour protéger les arrières. Deux transporteurs des dix apportèrent vingt milles soldats au Sud de la Thaïlande pour commencer la libération de ce pays par le Sud. En tout deux-cent milles soldats du Taïwan se battait en Indochine.

En même temps, à Rabat en Afrique du Nord, les escadrons stationnés furent appelés de cesser les bombardements sur les villes portugaises de Porto et Lisbonne pour entamer le chemin de retour avec comme destination finale la ville de Hanoi, capitale du Viêt-Nam. L’intervention de l’Allemagne ne rendait plus nécessaire la présence des bombardiers et chasseurs aux portes de l’Europe.

Info//

Avec l'avancée inimaginable de Taïwan, Hirohito avait ordonné le retour des troupes au Japon. Tous les soldats rentrèrent au pays ainsi que tout le matériel de guerre qui avait été déployé.

Il y avait aussi une autre raison du retrait des troupes japonaises de ces régions du globe. En tant qu'allié de la France, les confidences allaient bon train et donc il était plus que préférable au Japon de se retirer.