Libération du Pacifique

Des nombreux jours furent écoulés et les soldats du Taïwan avancèrent toujours dans le territoire portugais. L’invasion du Laos et du Cambodge furent une réussite totale. La population soutenant les troupes alliés, les maigres troupes du Portugal avaient point de chance et les villes furent libérés dans un temps record. L’Indochine toute entière sembla respirer à nouveau l’air de la liberté ou au moins croire le sentir car pas tous les pays furent encore libérés. Les troupes du Taïwan entrèrent en triomphe dans les capitales des deux pays. Vientiane et Phnom Penh devenait les lieux ou le soutien des peuples se démontrèrent d’une manière
fulgurante. Bientôt, ainsi l’Etat-major du Taïwan, l’Indochine serait libre et l’Organisation des Nations Unis aura le devoir de s’en charger jusqu’à que la formation d’un gouvernement légitime puisse avoir lieu.

Entre temps, les quatre-vingt milles soldats de l’arrière-garde prenaient position dans les pays libérés pour prévoir l’attaque d’un tiers. L’armée principale continua son chemin pour cette fois libérer la Thaïlande et la Birmanie. L’opération devait comporter trois mouvements, chacun une avancé dans le territoire occupé. Ceci devait permettre une libération organisé et surtout prêt à battre en retraite en cas de problème. La Guerre du Pacifique s’approchait chaque fois plus sa fin tant que rien de nouveau apparaissent.

Concernant le trahison du Japon, l’Etat-major concluait qu’avoir confiance dans le Japon fut à nouveau prouvé d’être insensé. Maintenant il fallait voir car probablement qu’il avait un risque que l’Empire français attaque pour rendre en esclavage l’Indochine vu que cette empire désirait d’étendre son influence sur tous les peuples pour créer un Monde français ou les peuples n’auront aucun droit à leur entité locale.
Le Gouvernement du Taïwan avait également eu ces informations et ainsi il avait les bruits qui courraient que le Gouvernement planifiait de faire une vote pour l’adhésion à l’OTAN, une organisation qui permettrait au Taïwan d’avoir la paix et des alliés de confiance.

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L’heure de gloire avait sonné. Les troupes du Taïwan avaient libérés la Thaïlande et la Birmanie dans un temps record. Maintenant les troupes furent aux frontières avec l’Inde anglaise. Quel grand exploit pour une aussi petite île. L’Indochine toute entière soufflait le vent de la liberté et d’une souveraineté proche. Seul les Philippines furent encore sous le joug portugais mais ceux-ci n’intéressait pas le Taïwan pour le moment.

Les deux cent mille soldats taïwanais prenaient donc post dans les grandes villes de l’Indochine pour atteindre que la paix soit signée et aussi que l’Organisation des Nations Unis s’en charge de la protection de ces terres jusqu’à qu’un gouvernement soit formé.

Maintenant l’heure fut venu de tourner le cou au coq portugais. Le Dictateur étant à Rome, il fallait organiser vite le transport des troupes depuis le Taïwan vers l’Europe pour finir cette guerre une fois pour toute en enfonçant la dague dans le cœur de la bête. Le chef d’état avait émis son désir de participer à la dernière marche, celle sur Lisbonne et donc il devait rejoindre l’armée à partir de Rome.

C’est ainsi que les dix transporteurs furent chargés avec cent milles hommes pour voyager en passant par Singapour vers l’Europe en contournant l’Afrique vu que le Canal de Suez fut en main ennemie. Le plan fut de débarquer au Sud du Portugal, en premier lieu en soutien pour l’Allemagne et en second pour exiger la paix après que l’Allemagne ait retirés ses troupes en marchant sur Lisbonne. Le Taïwan voulait terminer cette guerre mais pour ça il fallait avoir la main sur le Chancelier et la Reine car autrement il n’avait aucune solution.

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