Je vais vous dire, chère assemblée, que je me réjuis de l'opposition de la France car inévitablement, si l'ONU intervenait, cela aurait été synomyme du fait que les territoires auraient été conservés sous la tutelle du Portugal.
Monsieur le représentant su Portugal, n'y voyez là aucune agression ou jugement de ma part, mais vous n'ignorez surement pas que l'organisation est contre toute forme de domination d'un peuple sur un autre.
Dans ce cas, les discutions sont terminées. Merci.