Mission pour la sécurité de l'humanité

Berlin ne pouvait tolérer l'armement nucléaire du Portugal. La première raison était qu'il en allait de la survie de l'humanité. Un pays aussi inconscient ne pouvait l'avoir. Il fallait donc prendre des mesures. De plus, le Chancelier de la Reine avait signé le traité de non prolifération. Il montrait là que le pays n'avait aucune parole, qu'on ne pouvait lui faire confiance. C'était triste : le Portugal était tombé si bas. Sa chute ne cessait depuis que ce Gouvernement était en place.
Le Kaiser avait envoyé une lettre au Portugal lui expliquant qu'il avait trois jours pour cesser ses recherches sinon ça serait la guerre. Sans réponse. Quelle impolitesse, quelle incorrection.

La Marine allemande déploya 100 grands navires de guerre à 2 kilomètres des côtes du Portugal à la hauteur de la ville de Viana do Castelo. Les navires de débarquement est d'acheminement du matériel était en arrière, et attendaient les ordres.

Les autorités apprirent que le Portugal avait cessé ses recherches dans le nucléaire militaire.

Berlin avait envoyé la nouvelle aux navires qui reçurent l'odre de renter dans les ports.

Le Portugal, malgré son air reflété par le Premier Ministre, craignait visiblement l'Empire allemand car il avait cédé à ses menaces. Du côté de l'Allemagne, le Kaiser était clair : jamais elle ne pliera devant quiconque !

La nouvelle arriva dans les bureaux de Berlin. Le Portugal relançait ses recherches dans le nucl"aire militaire. Ce pays n'avait décidément pas de parole. Il changeait d'avis que son Chancelier de chemise. L'Allemagne devait intervenir, et cette fois-ci sans préavi car la diplomatie c'était bien durant un certain temps après il fallait savoir passait à l'acte.

Le Kaiser signa l'ordre d'attaque du Portugal. La Kaiserliche Marine déploya 100 grands navires de guerres près de la ville de Viana do Castelo. Les bateaux s'approchèrent à 250 mètres des côtes. le 9 avril 1951, à 16 heures précise, les bombardements commencèrent aux alentours de la ville pour dégager un peu le terrain. Simplement "un peu" car il n'y avait là aucune opposition portugaise. 1 heure plus, tard, 50 grands navires de débarquement prirent position sur les plages dans le but d'y décharger les hommes. 500 000 soldats en descendirent et prirent position dans les alentours et surtout dans la ville. La position devait absolument être maintenue avant que Lisbonne envoie des renforts.
Entre-temps, 2 grands porte-avions étaient arrivés avec 60 moyens avions de chasse et 60 bombardiers de taille moyenne. Ils devaient prêter main forte à l'infanterie en cas d'attaque.
De plus, un grand bateau de transport de matériel de guerre déposa 70 chars de grande taille sur les plages. Ils furent placés aux entrées de la ville.

La population de la ville avait, pour ce qui en restait, ordre de ne pas sortir de chez elle durant la présence allemande. Tout manquement au réglement était égal à l'éxécution directe.

En trois jours, les Allemands avaient avancé très rapidement car il n'y avait aucune opposition portugaise. Quelle chance pour le moment. Ce pays était décidément lâche : il se laissait attaquer sur son propre territoire sans même bouger le petit doigt.
La partie du pays au Nord du fleuve Douro était complètement tombée sous domination allemande.

Le Kaiser était conscient que pour empêcher l'armement nucléaire du Portugal, il fallait à tout prix agir avec rapidité. Le temps l'exigeait plus que tout. Avec quelques réflexions, un général proposa l'idée à l'Etat Major. Il fallait en faite que tous les trains disponibles soient chargés en hommes et roulent au maximum vers le Sud du pays pour débarquer là où la résistance, éventuelle bien sûr, commencerait. Pour protéger les convois, les 120 avions venus des 2 porte-avions près de la ville de Viana do Castelo devaient survoler les rails. Les 70 chars de grande taille seraient eux aussi chargés sur les trains pour être acheminés le plus rapidement possible.
De plus, il faudrait que 2 autres porte-avions prennent position sur les littoraux de Lisbonne pour attaquer la capitale même en cas de problème.

Le projet avait été adopté et devait être préparé durant toute la nuit. Dans 3 jours, la Reichswehr devrait avoir conquis les 3/4 du pays.

3 jours plus tard, il ne fut toujours remarqué aucun mouvement de la part du Portugal. Le plan allemand pouvait donc être éxécuté sans encombre majeure. Le 15 avril 1951, les trains partirent pour le sud du Portuagl avec vous accompagnement la Luftwaffe pour protéger les convois. Dans le même temps, 2 autres porte-avions prirent position à quelques kilomètres à peine des côtes du Portugal dans le but de prolonger le plan de l'Etat Major.

Les convois étaient en route, il fallait attendre qu'ils arrivent pour mener les opérations...

A Berlin, le Kaiser était très fier de son armée qui selon lui était l'une des plus courageurses et efficaces du monde. Le Portugal allait bientôt tomber sous les mains des Allemands pour que le Reich y remettre de l'ordre. Un point particulier choquait l'Empereur et son entourage : le Portugal ne se défendait pas. Pourquoi ? Par lâcheté ou préparait-il un plan grandiose ?

Le Kaiser avait appris les derniers évènements au Portugal. Les ambassades brûlées et les ambassadeurs pendus ? En faisant cela, le Portugal avait fait preuve de lâcheté mais aussi avait violé le sol national allemand car une ambassade fait partie intégrante terriotoire du pays qu'elle représente. Qui étaient vraiment les barbares ? Les Allemands comme il se disait communément on bien était-ce les Portugais qui faisaient subir à des civils allemands les pires horreurs qui l'on puisse imaginer.
cette affaire avait mis le Kaiser dans une colère folle. Dans son bureau, il avait tapé du poing sur la table au point de faire tomber un pot de fleurs qui se brisa contre le sol en mille morceaux. Dans le temps qui suivit, il rédigea plusieurs lettres d'ordres que les servives des transmissions devait faire parvenir aux armées. Le Portugal, selon les termes de l'Empereur, "allait connaître la plus grande bataille de son histoire qui se finierai pour lui par une humiliante défaite". Il ne faut pas croire que le Kaiser avait l'intention, avant cela, d'occuper le Portugal ou de le faire payer, il voulait simplement que les armées du Reich confiscent tous les trouvailles sur le nucléaires et détruisent tout ce qui permettait de le fabriquer. Avec cela, la donne en était toute autre.

200 000 soldats supplémentaires furent déployés sur le sol portugais dans le but de maintenir par la force les territoires conquis par la Reichswehr. Déjà le 17 avril, 1846 civils avaient été éxécutés pour désobéïssance. le couvre-feu était imposé de 17 heures jusqu'à 8 heures. Toute personne suprise dans la rue serait fusillée. Toute personne détentrice d'arme devrait la ou les remettres aux soldats du Reich avant le 18 avril. Le cas échéant, c'était l'éxécution immédiate.

Les 500 000 soldats envoyés vers le Sud du pays il y a 3 jours ne subirent aucune résistance de la part des Portugais. le plan allemand se déroulait mieux que prévus car tout de même une petite opposition avait été attendue.
Les 2 porte-avions qui se trouvaient près de Lisbonne virent arriver 20 grands navires de guerre. 20 venaient des eaux de l'Atlantique là où ils stationnaient, les 80 autres venaient du Nord du Portugal où avant ce changement de cap il y avait 100 navires de guerre. Maintenant il n'en restait plus que 20.

Le 18 avril à midi tapante, 60 grands bombardiers décollèrent d'un des porte-avions. Ils se dirigèrent sur Lisbonne. Dans le même temps, les 100 navires de guerre s'approchèrent à 350 mètres des côtes. De manière ordonnée, les avions et la marine débutèrent les bombardements de Lisbonne, capitale et coeur du Portugal. Les avions rebombardaient les ruines des usines détruits il y a quelques jours par les avions de Taïwan. Après 15 minutes, les avions retournèrent sur les porte-avions mais la marine continuait les tirs.
De l'autre côté, les avions qui suivaient les convois se posèrent sur un viel aérodrome loin des combats. La surveillance allemande est accrue et inévitable.
Les 500 000 soldats de la Reichswehr était à à peine 2 kilomètres de Lisbonne, n'attendant plus que l'ordre d'attaquer.

Les bombardements de la Kaiserliche Marine céssèrent le 18 avril à 20 heures.

Les avancées allemandes s'effectuaient à merveille. Toujours aucune réponse du Portugal. Mais quelle lâcheté. Jamais les Allemands n'auraient laissé attaquer leur pays de cette manière. Tout de suite il se seraient lancés dans les combats pour défendre la patrie.

Durant les 3 jours qui suivirent, toujours avec la même tactique, les armées allemandes s'emparèrent du reste du territoire sans mal. Les soldats portugais qui vaguaient dans ces territoires furent arrêtés par les Allemands.
Le seul endroit encore libre était la capitale : Lisbonne. Le Kaiser voulait laisser une dernière chance à la nation portugaise.
L'Etat-Major allemand envoya une lettre au Gouvernement.

Citation :: Monsieur le Chancelier,

Nous vous proposons une fin de guerre sans effusion de sang, sans morts donc avec une peine moindre.

Pour cela, le Portugal doit rendre sans contestation les armes à l'Allemagne dans un délai de 48 heures à partir de ce moment même, soit le 21 avril 1951 à 20 heures.

La force d'occupation allemande avait pris place sur le reste du territoire pour y maintenir l'ordre le plus strict. La force d'attaque quant à elle était positionnée près de Lisbonne dans l'unique but d'attaquer.

Invité

Mission pour la sécurité de l'humanité PortugalHTML

Palais de Sa Majestée Royale la Reine du Portugal
Bureau de la Chancellerie Royale

Sa Majestée la Reine du Portugal accepte votre proposition, cependant la Portugal restera vigilant quant aux conditions de la paix proposée par votre pays

La réponse du Portugal arriva dans les bureau de l'Etat Major. Le Gouvernement portugais était visiblement censcé car avait accepté la proposition faite par l'Allemagne à savoir la capitulation. Dans l'heure qui suivit, un lieutenant fut envoyé à Lisbonne accompagné d'une délagation d'une cinquantaine de soldats pour remettre la nouvelle réponse de Allemands.

Citation :: Etat-Major allemand
Berlin
Allemagne

A l'intention de : Le Chancelier du Portugal

Monsieur le Chancelier,

Sachez dans un premier temps que vous avez toutes nos considération pour votre travail politique.

Vous avez conduit le Portugal à votre façon, certes, et vous continuerez à exercer votre pouvoir.

Les Armées allemandes prendront place dans tout le pays d'ici à quelques heures. Les soldats portugais qui auront déposé les armes seront placés dans des camps de prisonniers. Soyez assurer qu'ils seront traités en être humain.

Le Kaiser se rendra très prochaînement à Lisbonne pour vous voir.

L'Etat-Major Allemand
Le Kaiser

Quelques heures après, les troupes allemandes s'enfoncèrent dans la capitale portugaise. Les soldats portugais furent désarmés et emmenés dans des camps. L'Allemagne avait fait 350 000 prisonniers en tout. Les armes des portugais furent chargés dans des conteners pour être placés dans les bateaux de la Kaiserliche Marine qui devait les emmener en Allemagne.

Les Allemands avaient pris place dans toute la ville, dans tout le pays, et alors fut immédiatement transmis les ordres du Kaiser.

Des affiches furent placardées et le Chancelier ainsi que la Reine en reçurent un exemplaire.

Citation :: Au Peuple portugais :

L'Allemagne est désormais maître du Portugal. Dans son bon droit et dans son désir de faire du Portugal un pays de paix et d'amour, les mesures suivantes sont prises :

-Le couvre-feu est instauré de 18 heures à 8 heures sur tout le territoire. Toute personne s'opposant à ces règles sera fusillée.

-Toute agression envers un soldat allemand équivaudra à 10 éxécutions.

-Les chefs des armées portugaises sont mis en état d'arrestation. Le pouvoir royal est maintenu. Idem pour la Chancellerie

-Toutes les armes de tout type devront être livrées aux soldats allemands. Dans le cas contraire est synonyme de la mort.

-Tous les aéroports sont fermées ainsi que les ports. Seul l'Allemagne a le droit de circuler.
Les frontières sont fermées. Toute tentative de traversée donnera à la mort au fraudeur ainsi qu'à, pour l'exemple, 99 autres personnes.

-Tous les non-portugais seront évacués dans leur pays par l'aviation allemande.

Les Chefs d'Etat Major portugais furent donc arrêtés et éxécutés au bord d'une route à 500 mètres de la sortie de Lisbonne.

Le portugal n'en était qu'à son commencement. De toute évidence, il ne pouvait pas s'y opposer mis à part si une puissance extérieure lui venait en aide...

Invité

Palais de Sa Majestée Royale la Reine du Portugal
Bureau de la Chancellerie Royale

Monsieur,

Nous attendons vos propositions des conditions de capitualtion du Portugal, mais ceux-ci ne pourront se faire que si vos troupes se retirent entièrement de notre pays c'est une condition sine qua non pour le rétablissement de mon pays.

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