Yun sur son cheval menait les troupes du Taïwan à travers les terres du Royaume du Portugal. Des terres parsemés par des champs ou des paysans labouraient pour en tirer des récoltes qui nourriront le Royaume tout entier. Des terres ou on voyait aussi la présence du Reich. Des soldats postés devant les Mairies, des chars au bord des routes ou les conducteurs prenaient une pause. A peine cinq ans passés que le Reich était de retour sous un nouvel visage. Moins d’horreur, moins de sang mais plus de conquête et d’audace. L’Europe centrale sous les drapeaux du Reich. Depuis les Pyrènes jusqu’à Varsovie, un seul Empire sous la tutelle d’un homme et une femme. L’Aigle à Deux Têtes était de retour, comme l’Empire Austro-hongrois, un empire mondial dirigé par deux souverains.
Les troupes du Taïwan avançaient toujours vers Lisbonne. Yun, comme les Empereurs Mongols, dirigeait ses hommes au-delà de toute espoir. Aujourd’hui, ils étaient en Europe Occidentale, ils avaient réussit ce que la dynastie d’avant n’avait pas pu faire, atteindre l’Océan Atlantique. Aujourd’hui, la capitale de leurs ennemies n’était plus qu’à quelques kilomètres. Dans quelques heures seulement le Taïwan entrera à Lisbonne et sur les socles du Parlement ennemie il proclamera la nouvelle république chinoise.
C’est dans le lendemain, quand le soleil à peine avaient franchit l’horizon pour se montrer aux européens que les troupes du Taïwan entraient dans la capitale. Chaque régiment portant le drapeau de la république, leur entré devenait une triomphe dans les allées de la capitale portugaise. Les soldats chantaient l’hymne républicaine avec leur poing de main gauche sur leurs cœurs. Les rangs de soldats défilaient un après l’autre. La gloire d’une nation crue morte, était de telle grandeur que le défilé récemment fiat à Paris ne fut rien. Si Paris fut lourdeur, Taïwan fut honneur. Les habitants de la capitale ne pouvaient pas croire leurs yeux, devant eux entrait en triomphe une armée venu de l’autre bout du Monde. Ceux, dont on croyait que jamais ils pouvaient atteindre le cœur du Royaume étaient là entra d’entrer en conquérant.
Yun à la pointe du défilé, admirait la grandeur du peuple taïwanais, la grandeur d’une nation. Bientôt ainsi Yun la paix sera rétablit et il faudra plus que forcer le Royaume-Uni à signer la paix après que l’Empire britannique ait refusé de faire des négociations de paix. Quelle hypocrisie se disait Yun, ils refusaient de faire la paix et après ils étaient surpris de voir qu’on les attaquait. Pour Yun l’affaire était évidente. Si l’Empire britannique ne répondait pas son message, les hostilités devaient reprendre.