Rencontre Sino-Soviétique

-Je pensais à toutes les nations encore épargnées par les impérialistes.

Puis il pensa à ce que venait de dire le Camarade Mao. Selon Staline, il devait le rependre sur un point particulier. De fait il ajouta dans la foulée :

-Cependant Camarade Mao, j'aimerai en revenir sur un point. Vous parlez d'impérialisme dangereux des Etats-Unis. Je crois que l'Allemagne et la France sont beaucoup plus dangereuses, et de loin devant les Etats-Unis d'Amérique. La coq français à poser ses griffes sur l'Afrique tout comme l'aigle allemand tient dans ses serres le Moyen-Orient. L'Allemagne est aux portes de l'URSS, de la mer du Nord au Pakistan, mais elle est aussi aux portes de la Chine. Nous devons nous méfier des Allemands, c'est une certitude.

Invité

Camarade Staline vous avez tout à fait raison l'Allemagne et la France sont des menaces pour l'équilibre et la paix dans le monde, c'est pour cela que je vous dit que les pays qui choissisent comme politique le marxisme, le Leninisme ou le communisme doivent être protegés par nous ses grands freres d'ou l'idée d'une Union de tous les pays communiste qui s'assureraient entre eux une défense mutuelle et uen assistance militaire.

Camarade vous avez raison l'arrivée au pouvoir du petit fils du Wilhem ne présaga pas des jours joyeux pour le monde.

Esperons que le monde tombera pas dans la folie de la guerre encore une fois

-Nous l'espérons aussi.

Souhaitez-vous que nous traitions d'un autre sujet, Camarade Mao ?

Invité

Non et vous ?
Dans le cas contraire je vais retourner à l'aéroport et reprendre mon avion pour retourner à Béjin

-Non, je n'ai plus d'autres sujets à traiter Camarade Mao.

Staline se leva et appela un homme. Il s'avança vers les deux Chefs d'Etat, un cousin à la main, sur lequel était posée une médaille. Staline prit la médaille qu'il présenta face à son homologue chinois :

-Camarade Mao, voici le temps que je vous fasse un cadeau commémorant notre union, comme vous vous l'avez fait avec votre tableau. Ceci est une médaille de l'amitiée sino-soviétique. Elle est vôtre.

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Invité

Camarade Staline je vous remercie pour ce cadeau.

Il serra la main du Camarade Staline tout en regardant la médaille.

-Je vous en prie Camarade Mao, ce n'est que le gage de notre amitié.

Il serra la main de son homologue chinois puis ajouta :

-Je vous raccompagne, Camarade Mao.

Il lui fit un geste vers la porte et s'avança vers celle-ci et l'ouvrit.

Invité

Camarade Staline si vous souhiatez me voir faites le moi savoir et je souhaite que cela arrive bientot

Il serra la main du Camarade Staline passa la porte et s'engouffra dans une voiture se dirigeant vers l'aéroport d Moscou et s'envola vers Pekin

-Très bien, Camarade Mao, il ne faut pas que nous hésitions à nous contacter si nous en éprouvons le désir. Je vous souhaite un bon voyage.

Et sa voiture partit vers l'aéroport, sous la neige de Moscou.

Staline devait remonter dans son bureau pour étudier quelques projets militaires mais avant il allait aller manger tout de même car il avait appétit.

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