Mouvement de Libération belge

Depuis plus de 5 mois, la Belgique était dominée par la France. Cela était inadmissible aux yeux des Belges qui aimaient leur identité plus que tout. Certains Belges francophone étaient pour le rattachement à la France, car ils voyaient en elle une grandeur que jamais la Belgique ne pourrait leur apporter. Mais pas tous les francophones étaient de cette opinion, de mêmes les Flamands étaient fortement opposés à la France.

Dans une immense salle souteraine, dans les rues de Bruxelles, des résistants se réunissaient depuis l'occupation française de la Belgique. Le 1 mai 1951, fut décidé la création du MLB, le Mouvement de Libération de la Belgique. Les résistants devaient tous se rattachés à cette fédération car ensembles, ils seraient plus forts et pourraient faire pression sur les troupes françaises d'occupation. Elles n'étaient pas nombreuses mais si ils engageaint des actions armées, l'Impératrice enverrait certainement beaucoup plus de soldats en Belgique pour maintenir l'ordre. De même il fallait penser à la repression. Connaissant le caractère autoritaire du commandement français, il fallait faire attention à ce que les civils ne paient pas pour les actions de la résistance. Il fallait penser à tout, absolument tout.

Les résistants discutaient, chacun apportant son avis. La méthode forte semblait être mise de côté pour le moment se préférant moins à la méthode douce. Et cette méthode douce commençait par la discution.

Les résistants du MLB se mirent à réfléchir comment ils pourraient ouvrir le débat.

Invité

Mouvement de Libération belge RTEmagicC_drapeau_europe_01.jpg

[center]Bureau de la Présidence de l'Union des Etats Européens
Palais de l'Europe
Lisbonne

Nous proposons qu'une force intérimaire de l'Union des Etats Européens se déploie sur le territoire Belge afin d'en assurer la sécurité intérieure et se tiendra sur le territoire jusqu'aux élections nationales ou le peuple belge s'autodeterminera quant à son futur , dés lors les Forces Armée de l'Union se retireront et laisseront les institutions au gouvenement Belge. qui prendra la releve des forces de l'Union. Cette force se composera de juge afin de rendre justice et de force armée afin de faire face à toute manifestation et de hauts fonctionnaires Européens qui établiront avec le Mouvement de Libération de la Belgique et créeront une constitution afin d'officialiser le futur nouvel Etat Belge.

Téofilo Braga Président de l'Union des Etats Européens

Le MLB avait durant 6 jours préparé un plan pour destabiliser le pays. Ce plan devait absolumment réussir.

Dans une cave à Bruxelles, 10 personnes s'étaient réunis au milieu d'un grand nombre de personnes du MLB. Ces 10 personnes devaient effectuer des sabotages dans la capitale belge. Leur mission était loin d'être simple. Les hommes devaient échapper aux contrôle de l'armée française.

Le 12 mai, le matin, les 10 héros, car c'est comme cela qu'on les appelait, quittèrent leur repère et se séparent dans les rues de Bruxelles chacun se rendant à son lieu de mission.
Par grand miracle, ils avaient réussi à éviter tous les barrages français profitant de l'inatention des soldats ou passant par des endroits plus que dissimulés.

Le premier homme posa une bombe dans une gare où les soldats français arrivaient ou repartaient pour la France. Le deuxième homme posa une bombe sous une voiture près d'un poste de garde. Les troisième, quatrième et cinquième placèrent chacun leur bombe sur les terrases de cafés très fréquentés par les soldats français. Les 3 suivants placèrent leurs bombes dans des poubelles proches des commandantures. Enfin, les 2 derniers, ont placé leurs bombes devant les casernes des régiments français.
Pour poser leurs bombes, ils usèrent de diverses ruses comme oublier leur sac etc...

A 11 heures 30 du matin, les bombes explosèrent, blessant un grand nombres de personnes qui durent être évacuées aussitôt vers les hôpitaux les plus proches.

Un quart d'heure plus tard, le poste de commandement français de Bruxelles reçut une lettre. L'expéditeur se faisait appeler le MLB. Cette lettre expliquait que le MLB était l'auteur de ces attentats et qu'ils pourraient se répéter si la France n'évacuait pas la Belgique...

A Paris, dans les bureaux du Ministère de l'Intérieur, car les territoires d'Empire étaient rattachés à ce Ministère et non à celui des Colonies, une vague d'excitation emprit tout le personnel. La nouvelle était arrivée à peine dix minutes après que les attentats aient été commis en Belgique. Mais comment ces personnes pouvaient-elles oser agir ainsi contre la France qui ne faisait que leur apporter le bien être et leur assurer la plus vive des protections ?

Le Ministre de l'Intérieur téléphona à l'Impératrice pour l'avertir de ce qu'il s'était passé. Prise de rage, elle se rendit en voiture le plus vite possible dans le bureau du Mininstre de l'Intérieur. Le Ministre bien évidemment était présent accompagné par un général de l'Etat Major et le Premier Ministre. Après une heure de discution, chacun avait donné son avis et l'Impératrice avait pu clairement spécifier que la Belgique resterait française.

Dans les heures qui suivirent, des ordres furent envoyés au casernes proches de la Belgique. La garnison de Belgique, composée de 10 000 hommes, devait passer à 50 000 hommes.

La journée suivante, les troupes françaises furent transportées en Belgique et une centaine de chars furent envoyés pour maintenir l'ordre car l'Etat-Major pensait qu'avec ces évènements tout le peuple pouvait se soulever.

Les officiers firent ouvrir des enquêtes pour démasquer les auteurs de ces attentats.

Paris n'allait pas tarder à prendre de nouvelles mesures...

Invité

Le Mouvement de Libération Belge avait eu nouvelle de l’entrée en guerre de la France contre le Portugal. Le moment fut parfait pour attaquer au plus fort l’Empire français qui avait dirigé son attention vers le Portugal. Cette inattention envers le Belgique devait permettre au mouvement de lancer une de leurs plus grandes attaques contre leur tyran. Car la seule manière de forcer la France à libérer la Belgique fut celle de frapper ou ça faisait vraiment mal, là ou la perte serait extrêmement coûteux. De ceci tout fut mit en place. La France pouvait faire ce qu’elle voulait, elle pouvait déployer tant de soldats et de sécurité, aux attentats personne pouvait vraiment faire quelque chose.

C’est ainsi qu’une centaine d’agents furent avertit. L’heure fut venue de frapper. De frapper avec toute force. C’est ainsi que en pleine journée un groupe d’agents déguisé en ouvrier allait dans le chantier naval de La Rochelle, dans les deux usines d’armement terrestre de Paris Sud et de Dijon Nord. Le chantier et les usines furent en pleine mouvement car la guerre fut en plein route. Personne remarqua comment quelques sacs furent déposés sous les machines et les tanks de pétrole, trop occupés dans leur labour.

A peine une demi heure, quand les agents avaient tous disparus, les charges explosives éclataient et en enflammant le pétrole et en faisant exploser les machines ils faisaient disparaitre le chantier naval et les deux usines d’armement dans les flammes et les ruines. Les pompiers arrivaient trop tard car les usines et le chantier furent déjà perdu et détruit à jamais. La France venait d’être frappé, une frappe chirurgicale qui immobilisée les grands plans militaires de l’Empire. La flotte et l’armée de terre venait d’être cloué pour un moment, même si pas longtemps, la France savait que ceci fut que le début et que le mouvement sera capable d’anéantir toute l’industrie surtout si la France devait s’acharner sur les belges, les attentats cibleront également les civils et pour chaque belge mort il aura dix français qui rejoignirent les enfers.

A Paris, quel désastre après les attentats dans les usines d'armement. Il fallait absolumment que cela soit réparé au plus vite, car l'Empire entrait en guerre. Fort heureusement, ce n'étaient pas les seules usines d'armement et la militarisation de l'Empire pouvait continuer. L'Impératrice avait déjà sa petite idée en tête pour financer la réparation des dégâts...

Il était impératif de prendre des mesures, les plus draconiennes qui soient, mais cela devait être fait. L'Impératrice publia un décret :

Paris a écrit:: Cabinet de Son Altesse Impériale de France
Paris-centre, Ile de France

Suite aux attentats qui ont frappé nos industries d'armement, les décisions suivantes sont prises :

-l'industrie de l'armement et toute autre industrie devra être surveillée par l'armée.Toute personne souhaitant ou devant pénétrer dans les industries sera fouillée par l'armée.

-tous les sites industriels seront cloturés par des fils de fer barbelé et grillagé. Les clotûres seront électrifiées.

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