L'Impératrice avait ordonné l'invasion de la Birmanie, pays occupé par les forces de Taîwan, tout du moins officiellement, car ce pays avait été mandaté par l'ONU mais n'avait jamais envoyé de troupes pour maintenir la paix dans le pays.
C'est ainsi que de par la frontière avec le Laos, 100 000 soldats français entrèrent dans le pays, prenant position ville après ville, village après village. L'avancée n'était vraiment pas compliquée, car depuis la libération du Portugal, le pays avait sombré dans le désordre le plus absolu, et aucun réel pouvoir ne réussissait à se former. Mais la France allait remettre de l'ordre dans le pays, en le plaçant sous ses drapeaux, et en engageant de nombreuses troupes dans le but de maintenir l'odre le plus droit qui soit, mais aussi pour faire face au voisin chinois.
Certains pays critiquaient l'étendue de l'Empire français, le plus grand du monde si pour le Royaume-Uni on ne compte pas les dominions. Mais les peuples soumis à la France n'étaient pas malheureux. La France leur apportait la puissance, le prestige, la grandeur, alors qu'avant ils semblaient être condamnés à l'oubli.
La Birmanie, en moins d'une semaine, était devenue française.