Attaque surprise, mais pas forcément inatendue

L'Empire nippon commençait son nouvel air de conquête. L'Empereur Hirohito avait avant le départ des troupes salué les hommes qui allaient se battre avec courage et fièrté pour la patrie.

80 grands navires de guerre, 2 grands porte-avions quittèrent les ports du Japon. Leur objectif : l'île de Lutao au Sud Est de Taïwan. En quelques heures, l'île fut annexée par le Japon grâce à l'inéxistance de la défense chinoise dans cette île. Et puis même si il y en aurait eu, les Japonais en seraient vite arrivés à bout.
L'île de Lutao était donc japonaise. Pourquoi cette cible ? Car de là l'armée nippone pourrait attaquer Taïwan et la Chine avec plus de facilité de que de faire venir tout le matériel depuis le Japon.
8 grands bateaux transporteurs de matériel amenèrent 560 grands chars ainsi 800 canons de 420 mm. Les deux porte-avions amenaient eux 60 grands bombardiers et 60 grands avions de chasse. Mais de l'autre matériel allait arriver, celui là était pour défendre ce poste avancé.
Les 80 navires de guerres surveillaient l'île et ses alentours, mais en restant près des côtes.
200 batteries anti-aériennes furent placées au dessus de la toute petite île pour défendre les positions d'une attaque éventuelle de l'aviation étrangère.
30 avions de chasse tournaient en permanence dans le ciel, appuyés par les batteries anti-aériennes.

De toute évidence, la Chine ne pouvait mener aucune attaque contre les positions japonaises pour deux raisons : la Chine n'a pas de flotte et puis ses avions ne peuvent atteindre l'île de Taïwan car la distance est bien trop importante. Les Japonais étaient donc à l'abri.
Mais ils allaient agir avec vitesse, pour gagner la bataille, et peut être, l'espèraient-ils, la victoire finale.

3 jours après l'annexion de l'île de Lutao par le Japon, les Chinois n'avaient pas encore réagi. Le Commandement impérial s'en réjuissait plus que tout. La conquête de Taïwan allait donc être rapide du fait que la Chine n'avait dépêché aucun troupe sur l'île depuis le rattachement de Taïwan à la République Populaire de Chine.

Le 22 octobre 1951, l'invasion de Taïwan commençait. 10 grands bateaux transporteurs de soldats firent débarquer 100 000 soldats japonais sur l'île de Taïwan. Tout le matériel qui avait été placé sur l'île de Lutao fut conduit vers Taïwan.
En trois jours, toute l'île était devenue japonaise, sans aucune difficulré certes car il n'y avait aucun chinois sur l'île..
La défense s'organisa rapidement. 600 grands bombardiers ainsi que 600 grands avions de chasse étaient présents sur l'île, avec 300 batteries anti-aériennes. Les 560 grands chars étaient prêts au combat, mais pas sur cette île, mais en Chine même.
Les 80 grands navires de guerre se positionnèrent le long des côtes Ouest de Taïwan pour protéger l'île d'une éventuelle attaque de la Chine, bien qu'inatendue car les avions ennemis ne pouvaient venir jusque là en volant et la Chine, le Commandement japonais ne cessait de la répéter, ne possédait pas de Marine, ce qui facilitait d'autant plus la conquête nippone.

Le 25 octobre 1951, l'île était donc devenue entièrement japonaise. Le peuple taïwanais fêtait l'indépendance de la Chine. Les autorités avaient même apporté leurs félicitations et leurs remerciements à l'Empereur du Japon pour la libération de leur pays. Ils plaçaient maintenant tous leurs espoirs en le Japon. D'ailleurs Tokyo avait déjà préparé nombres de dossiers pour le renouveau de Taïwan : un pays entièrement indépendant excepté dans les Affaires extérieures et l'Armée où il devrait suivre la politique du Japon, ceci pour garantir la grandeur de Taïwan et sa protection face aux pays agresseurs telle que la Chine.

A cette heure, le Commandement impérial japonais était en train de planifier la prochaine attaque et discutait d'une éventuelle aide de la France.

Après 6 jours de préparation, l'Empire nippon avait envoyé 15 millions d'hommes en Indochine française. La Marine française avait aidé au déplacement de troupes et l'Empereur du Japon avait fortement remercié l'Impératrice de France.

Au Nord du Laos, les 15 millions de soldats japonais furent envoyés le long des frontières chinoises pour mener l'attaque.

Le 31 octobre 1951, la guerre contre la Chine commençait. 100 grands bombardiers, ainsi que 50 grands avions de chasse, foncèrent sur la ville de Kunming, violant ainsi les frontières chinoises. Sur un axe reliant cette ville au Laos, les soldats japonais franchirent la frontière. A l'avant, 500 chars de grande taille pour ouvrir le front. Derrière, 1 000 canons de 420 mm suivaient. 100 grands avions de chasses protégeaient les convois.

Les 100 grands bombardiers et 50 grands avions de chasse déferlèrent sur la ville de Kunming et et la bombardèrent. Les Japonais voulaient prendre position dans cette ville.

En Mer de Chine, 20 grands navires de guerre japonais stationnèrent dans la baie de Shanghai. Les navires se mirent à bombarder le chantier naval de la ville ainsi que les ports...

Invité

LA Ville de Kumming fut protégée par 30 millions de soldats chinois. La Chine envoya 50 missiles Tsien dont la tête fut chargée de gaz moutarde.
Les 50 missiles fut lancée vers Taiwan. Quelques minutes plus tard ils s'abbatirent sur Taiwan causant de nombreux morts.

250 autres missiles furent lancés ver Tokyo, Nagasaki, hiroshima, Yokohama, Kyoto

Rapport du narrateur :

10 850 000 soldats chinois protègent la ville de Kunming, soit l'armée chinoise au total.

Aucune destruction pour le Japon => l'administration du forum ne reconnait pas ce type d'armement

30 000 soldats chinois sont morts dans les bombardements japonais

Le chantier de Shanghaï est détruit par les bombardements de la Marine japonaise

Le commandement chinois était vraiment incompétant et ne savait rien gérer à rien. Envoyer des hommes sans armement ! Mais qui aurait fait ça ?! Tous ces individus étaient envoyés à la mort.

Toute l'armée chinoise était dans la ville, ou ses alentours. C'était une aubaine pour les Japonais.
150 grands bombardiers et 100 grands avions de chasse relançèrent un raid aérien sur la ville et bien sûr les troupes qui la défendaient. Pendant ce temps, l'infanterie commençait à se séparer en deux groupes disctints pour faire certaines manoeuvres militaires...

A Tokyo, l'Empereur se réjuissait de l'avancée de ces troupes. Il était consterné face à l'incompétence des Chinois mais tout de même ce manque d'expérience l'arrangait car ainsi balayer la Chine communiste serait plus facile. Pékin n'avait pas encore demandé d'aide à l'URSS, mais peut être que cela allait se faire. Dans ce cas, les Japonais devront vite changer de tactique et faire appel à l'OTAN. Mais pour le moment, pas besoin de cela, l'Empire nippon était sûr de sa puissance sur la Chine.

Invité

LA Chine envoie 500 missiles Tsien 1 sur Tokyo

note : j'en est rien à faire si l'administration ne reconnait pas cet armement puisque c'est la Chine qui l'a crée

Rapport du narrateur :

75 000 soldats chinois sont morts sous les bombardements japonais.

Aucun dégât pour le Japon : l'administration ne reconnait pas cet armement.

Invité

La Chine envoie 500 missiles Tsien 1 vers Tokyo armé chacuns de 5Mt d'explosifs

Le Japon pouvait facilement continuer son attaque sur la Chine. Les 15 millions de soldats japonais entourèrent la ville de Kunming, à l'intérieur de laquelle se trouvait toute l'armée chinoise. Les 1000 canons de 420 mm se furent dispersés un peu partout autour de la ville. Et le bombardement commença sur l'ennemi et ne cesserait pas jusqu'à la rédition de l'ennemi.

Pendant ce temps, la Marine japonaise avait amaré dans les ports près de Pékin. 100 000 soldats japonais descendirent des navires et marchaient droit sur Pékin, pour arrêter le pouvoir en place...

Rapport du narrateur :

Aucun dégât pour le Japon

La Chine perd 50 000 hommes dans les bombardements

Les armées japonaises continuaient leur progression sur le sol chinois. Elle était si facile... C'est maintenant 3 millions de soldats japonais qui envahissaient tout le pays, en plus des 15 millions qui se trouvaient dans la région de Kunming pour encercler l'armée chinoise.

Les troupes japonaises se trouvaient maintenant à hauteur des villes de Baotou, Taiyuan, Shanghai. Entre ces villes et jusqu'à la mer, l'armée nippone occupait le territoire. Pékin était encerclée par les troupes japonaises, qui ne pénétraient pas pour le moment à l'intérieur de la ville.
Les armées japonaises commencèrent à réquisisioner le matériel de guerre chnois, abandonné par l'armée qui se battait sans armement dans le Sud du pays.

A Kunming, les bombardements avaient duré encore trois jours et l'armée chinoise ne s'était toujours pas rendu. Visiblement elle s'obstinait à mourir, mais à ce rythme là dans une semaine maximum, les hommes auraient fin, et les Japonais pourraient les faire prisonnier. Malgré cela, Tokyo ordonna de continuer les bombardements.

Rapport du narrateur :

La Chine perd 50 000 hommes.

Dans une semaine fictive, les Chinois seront obligés de se rendre par manque de nourriture.

Invité

La Chine ne se rendra jamais

Les troupes japonaises avançaient toujours en territoire chinois, avec tous les moyens de transport disponibles.

Attaque surprise, mais pas forcément inatendue Carte-11

Attaque surprise, mais pas forcément inatendue Carte-11

L'Empereur Hirohito avait ordonné l'arrêt des bombardements sur les troupes chinoises car elles devraient certainement se rendre rapidement par manque de nourriture, et il s'avérait donc inutile de continuer le carnage encore plus longtemps.

A Pékin, les troupes japonaises franchirent les portes de la ville et s'enfonçaient dans les rues de la capitale chinoise. Tous les habitants étaient cachés dans leurs maisons, par crainte des troupes japonaises, victorieuses.

Le 8 novembre 1951, on pouvait encore remarquer l'avancée fulgurante des troupes japonaises en Chine. Il ne restait que le quart Ouest à occuper, ce qui devrait être fait à cette vitesse d'ici 3 à 6 jours. Mais de toutes façons, dans ces territoires, il n'y avait rien, car il était bien connu que toutes la puissance chinoise se trouvait sur les littoraux et dans le Sud de la Chine.

La capitale chinoise était désormais totalement occupée par les forces nippones. Le siège du Président Zedong avait été entouré, et lui cantonné à l'intérieur en attendant qu'il se rende. Son pouvoir n'était plus, son armée non plus, il n'avait plus qu'à se rendre ou périr.

A Kunming, l'armée chinoise était toujours entourée par les forces japonaises qui avait cessé ses tirs depuis maintenant 6 jours. Les troupes chinoises ne devraient pas tarder à se rendre, car la pénurie alimentaire de l'armée commençait.

L'Empereur Hirohito envoya les ordres aux forces japonaises présentes aux Chine. Ils étaient :

Couvre-feu de 20 heures à 8 heures

Port d'arme formellement interdit

Tout le matériel militaire chinois doit être confisqué et repeind aux drapeaux de l'Empire nippon

Tchang qui avait pris le pouvoir en renversant Mao appela a la paix entre le Japon et la Chine il se rendi au gradé Japonais et leur demanda de stopper les combats. Malgrés cela a quelque endroit des poche chinois avait résiter tuant quelque Japonais mais se rendant en apprenant la fin du pouvoir de Mao. Tchang demanda au Japonais la fin des hostilité et la signature d'un traité de paix.

Le Japon avait maintenant totalement envahi la Chine. Tous les territoires étaient sous contrôle. La Mongolie quant à elle était passée sous domination soviétique mais cela le Japon ne s'en occupait guère car ce pays ne l'intéressait pas.

Suite à l'appel de Tchang Kaï chek, les combats avaient cessé. Les troupes japonaises vînrent en aide aux soldats chinois qui souffraient. Après tout eux n'avaient pas voulu cette guerre, c'étaient des hommes commes les autres. De la nourriture et des couvertures leur furent distribués.

A Pékin, le commandement accepta la capitulation du nouveau Chef de l'Etat Chinois. Le dirigeant chinois fut averti que l'Empereur du Japon viendrait lui rendre visite très prochaînement dans le but de signer la paix.

Tokyo fit transmettre les ordres suivants :

Vu le changement du régime politique chinois et l'ouverture du nouveau gouvernement, tout le matériel militaire chinois sera restitué à la Chine

L'Empire nippon reconnaît Tchang Kaï Chek comme le Chef de l'Etat chinois

La Chine est placée sous tutelle japonaise le temps de la signature de la paix

Le couvre-feu est maintenu

L'armée japonaise devra aider en matières alimentaires les populations sinistrées.

Cela faisait maintenant 10 que la paix était signée, et que les troupes japonaines évacuaient la Chine. A la date du 28 novembre 1951, il n'y avait plus un seul soldats japonais sur le sol chinois. Une garnison de 30 000 hommes restait stationnée à Taïwan pour maintenir l'ordre pour un retour à la situation normale. Et aussi car en tant que territoire japonaise l'île devait être protége par l'Armée nippone.

Les soldats étaient heureux de rentrer au pays, car on était toujours mieux chez soi, cela est bien connu. Il était évident que l'armée nippone n'avait pas connu les troubles des combats car le commandement chinois était tellement lamentable qu'il n'avait même pas eu lieu de se battre.

Tokyo espérait que le nouveau Président chinois sache refaire de la Chine une grande puissance, comme elle l'était avant, car avec l'air politique de Mao le pays avait sombré dans l'endettement et la confusion la plus totale. Finalement l'attaque japonaise avait été bénéfique car elle avait permis de renforcer de pouvoir plus que boîteux pour en instaurer un plus juste, se souciant bien plus de son peuple et privilégiant la diplomatie.

» Idée mais pas tellement claire
» Idée Stupide mais peut être pas