Réunion Union catholique

Invité

L'Empereur d'Italie organisa la réunion de l'union catholique à Rome sur demande de l'Empereur de France. Celui-ci n'avait pas été très clair à ce sujet. Le motif de cette réunion restait flou. Tout ce que savait les diplomates, c'était que cela se faisait à la demande de Sa Sainteté le Pape.

La Garde impériale déroula les tapis, préparait avec attention l'arrivée des dirigeants étrangers.

L'Empereur d'Italie se tenait devant le Palais, habillé de l'uniforme officiel, attendant ses hologues.

L'Impératrice se rendit en Italie dans la magnifique ville de Rome dans le but de se rendre à la réunion de l'Union catholique.

Rome, une ville vraiment belle. Peut être même à l'égal de Paris. D'ailleurs la seule ville jumelée avec Paris était Rome, et réciproquement. Leur devise était "Paris n'a d'égal que Rome, Rome n'a d'égal que Paris".

Après un voyage en avion et une petite promenade en voiture depuis l'aéroport, l'Impératrice fut arrivée au Palais.

-Bonjour Votre Altesse.

Elle tendit sa main vers l'Empereur d'Italie.

Roi d'Espagne Nombre de messages : 103 Age : 32 Date d'inscription : 03/04/2007

La Reine d'Espagne arriva à son tour à Rome pour la réunion des pays de l'union. Le motif de cette rencontre ne fut pas totalement justifié par l'Empereur français mais puisque c'était le Pape qui la demandait, elle se rendit sur les lieux sans de plus amples informations.

L'Espagne tenait beaucoup à cette union qui lui garantissait une puissance militaire élevée par l'aide de la France et ses dominions. Il y tenait aussi beaucoup sur le plan spirituel avec l'association avec le Saint-Siège.

Elle arriva devant le Palais où se tenaient déjà l'Impératrice de France et l'Empereur d'Italie. Elle se baissa légèrement devant l'Impératrice.

-Madame, je suis heureuse de vous revoir.

C'était une grande femme, avec beaucoup de charisme et de charme surtout. Elle était très aimée en Espagne car l'aide qu'elle avait apporté était très élevée mais surtout on se rendait bien compte de sa volonté d'aider ses alliés.
Puis elle salua également l'Empereur d'Italie.

-Votre Majesté...

Le pape arriva sous bonne escorte au palais, car des menaces d'attentats pesait à l'encontre du pape. Plus de 2000 policier italien avait été mobilisé pour surveiller le pape sur le trajet entre le Vatican et le palais.

Le pape descendit donc de la voiture et se dirigea vers l'empereur, arriver à son hauteur, il lui serra la main et lui dit :

- Majesté, merci de nous accueillir dans ce noble lieu, que l'italien et votre noble personne soit béni.

Puis le pape entra dans le bâtiment avec l'empereur, étant donner qu'il était le dernier à arriver.

Invité

L'Empereur salua toutes les personnalités arrivées sur les lieux. Il baisa la main de l'Impératrice de France, ainsi que celle de la Reine d'Espagne, et il baissa la tête pour saluer le Pape.

-Bien, nous sommes au complet, je vous propose de me suivre.

L'Empereur entra dans le Palais accompagné de ses invités. Après s'être installés dans la salle de réunion, des domestiques leur servirent thé, café, autres boissons et biscuits pour discuter dans un environnement plus complaisant que la normale. L'Empereur d'Italie se leva et commença :

-Chers homologues, Votre Sainteté, cette réunion de l'Union catholique a été faite à la demande du Vatican, par l'intermédiaire de l'Empereur français. Je pense donc en toute logique que c'est au Pape ici présent de débuter et d'entamer les débats pour nous présenter les raisons de cette réunion.

Le pape se leva et dit :

- Vos majestés, j'ai demander cette réunion, c'est à cause du Vietnam, qui se permet de persécuter la minorité catholique, il me semble qui faut que nous prenions des mesures envers cette acte inamissible que fait le Vietnam.

Je vous ai même fait une copie de ce décret :

https://mondedu20eme.forumactif.fr/la-capitale-hanoi-f129/catholiques-viet-namiens-t1466.htm

Le pape se rassit en attendant une intervention.

Roi d'Espagne Nombre de messages : 103 Age : 32 Date d'inscription : 03/04/2007

La Reine avait remarqué quelque chose chez le Pape, c'était qu'il était toujours très court lorsqu'il faisait des discours. Il fallait l'avouer, elle s'attendait à une intervention qui allait durer plus longtemps que cela. Se levant elle répondit :

-J'admets que ces actes sont immoraux et totalement condamnables. L'Espagne est prêtre à accueillir les réfugiers et leur donner gîte et couvert le temps qu'ils régularisent leur situation dans notre pays. Nous sommes défenseurs de la foi catholique, et de ce fait nous devons aider nos frères d'Asie.
Malheureusement c'est la seule chose que l'Espagne puisse faire car nous n'avons pas les moyens militaires ou économiques pour agir dans ce conflit.

Elle se remit assise, laissant la parole à qui voulait la prendre. Mais une chose l'étonnait, c'était que le Pape n'ait pas invité une délégation brésilienne, l'un des plus grand empire catholique de ce monde, même plus grand que l'Empire français qui ne comptait que 80 millions d'habitants en Europe.

L'Impératrice de France se leva à son tour et répondit :

-Ces mesures sont disproporsionnées et non-entendables. La France va agir, chers confrères, votre Sainteté, je peux vous le garantir. Nous avons d'ores et déjà pris des mesures d'ordre militaire, car nos appels diplomatiques sont sans suite. Ne pas nous répondre c'est insulter la France mais aussi tourner le dos mais aussi à la majorité terrienne catholique. L'Indochine va agir.

Paris avait des projets très ambitieux dans cette région pour étendre davantage son influence.

Le pape eu soudain eu le voix sanglotante :

- Il faut faire vite, on les tues par milliers............Je pense me rendre la -bas - pour discuter avec le chef d'état du Vietnam.........je n'en peux plus de tout ses crime, quand cela cessera-t-il ?.........................Que se passe t-il donne dans leur tête ?
Il faut que tout cela s'arrête, seigneur faite quelque chose.............

Le pape se mit alors à pleurer à chaude larme.

L'Impératrice se mit à côté du saint-Père mais garda une certaine distance car elle n'avait pas affaire avec n'importe qui. Un homme d'Eglise non loin de là s'empressa d'apporter son affection au souverain pontife. L'Impératrice reprit :

-Il ne faut surtout pas que vous alliez là bas Saint-Père. Ce sont des barbares, ils n'hésiteront pas à vous emprisonner vous aussi. Vous ne pouvez prendre un tel risque. Cela mènerait toute la population catholique dans le chaos. Laissez-moi faire, je vous promets que tout va s'arranger. Donner moi un moi au grand maximum, au grand maximum je dis bien, car en une semaine tout devrait être réglé. Me faites-vous confiance ?

Le pape se repris, séchant ses larmes dit :

- Veuillez m'excuser, vos majestés pour le spectacle que je vous ai donner. Les savoirs massacrer mes insupportable.

Se retournant ensuite sur l'impératrice, il dit :

- Bien sur que je vous fais confiance, vous le savez bien. Mais ne croyez vous pas qui serai plus utile dans un premier temps d'entamer le dialogue. Vous connaissez mes positions para port à une attaque armées. Je suis prêt à me rendre la bas,
car d'après mes derniers renseignement, ils aurait arrêter tout les prêtres évêque et primat, même le nonce apostolique est en prison, pour vous dire. Mais je reste quand même persuader que l'on peut s'en sortir par le dialogue.
J'ai confiance sur le point de vue qu'il ne m'arrêteront pas, car il se ramasserai tout la communauté international sur le dos en premier lieu l'union, je pense être protèger par mon statut.

L'Impératrice venait de regagner son siège. Mais avant de s'asseoir elle ajouta pour répondre au Pape :

-Votre Sainteté, je ne pense que votre statut vous protège. Ces deux pays sont sous protection de l'Union soviétique, une des très grandes puissances de ce monde. L'équilibre est fait avec les pays catholique. De plus, la Chine sombre elle aussi dans le socialisme, et elle est peuplée de plus d'un milliard d'habitant. Militairement, nous sommes égaux. Il faut aussi avouer que ces gens n'ont aucune morale, alors d'être en conflit diplomatique avec une partie du globe ne les dérangera pas.

Elle se remit assise et ajouta :

-A moins que vous ayez peut être raison, ils ne vous arrêteront pas et feront donc preuve d'encore un peu plus d'hypocrisie car leur envie à l'heure actuelle est de détruire notre religion.

Pour l'Impératrice cela était une évidence. Elle se demandait parfois même s'il ne fallait pas qu'elle demande de l'aide aux pays islamique, une autre grande religion de ce monde, car les socialistes ne supportent aucune religion exceptée la leur.

-Et puis Très-Saint-Père, pour être honnête, j'ai d'autre raisons de vouloir faire la guerre. Le Viêt-Nam, cela fait des années que nous souhaitons le rattacher à l'Indochine. Quant à la Corée, elle entame des recherches nucléaires. La France doit agir.

Invité

L'Empereur d'Italie souria à la dernière phrase de l'Impératrice de France. Il connaissait très bien ces raisons, lui-même ayant les mêmes idées pour l'Italie. Conquérir était l'orgueil des grands combattans, et la France impériale faisait partie de ces grands pays qui recherchaient à contrôler le maximum de gens et territoires. Humbert III aurait aimé la même chose pour l'Italie mais il n'en avait malheureusement pas les moyens, ce qui parfois le mettait dans des états colériques. Mais fort heureusement il avait son grand allié français qui pouvait assurer la survie de son pays. Il répondit :

-Votre Majesté, j'entends fort bien votre point de vue. Il est vrai que la guerre n'est pas forcément le meilleur moyen, mais sachez que l'Italie vous soutient.
Quant à vous Très Saint-Père, sachez que moi également je vous déconseille de vous rendre dans ces pays. prenez l'exemple de la Corée qui aurait soi disant accorder la nationalité à Dulack, l'homme que vous voulez retrouver. Ce pays ferait preuve de bonne fois, il vous l'aurait déjà remis, ne croyez-vous pas ?

Le pape répondit alors :

- Bon très bien..... Je n'irai pas. Mais j'aimerai que vous mettiez tout en œuvre pour rapatrier Duclak au Vatican. J'ai aussi une autre proposition à vous.......

-Je pense que vous avez fait le bon en décidant de ne pas y aller votre Sainteté. Et puis l'état de guerre n'aurait rien ajouter si ce n'est vous créer des ennuis supplémentaires.

Quant à votre votre proposition Saint-Père, nous vous écoutons avec toute notre attention.

L'Impératrice n'avait vraiment aucune idée de ce que voulait demander le Pape. Elle attendait de voir sa réponse.

Le pape se leva et fit signe à des gardes, qui apportère un rouleau et le déroula.
Le pape se dirigea vers ce bout de tissu, on pouvait y voir :

Le pape dit alors :

- Voila mon idée, pour un drapeau officiel de l'Union catholique, Je vous explique le drapeau :

- L'oiseau central, une Colombe, représente la paix

- Il y a douze étoiles, car ce chiffre est traditionnellement un symbole de perfection, de plénitude et d’unité. Ainsi, le drapeau reste le même, indépendamment des élargissements de l'UC

- En jaune, les 4 nations fondatrices, sans lesquelles l'UC n'aurait pas existée

- Dans différentes traditions, douze est un chiffre symbolique représentant la complétude

- Le douze correspond aussi au nombre de mois de l'année

- Le bleu : l'océan et le ciel, donc le monde d'en bas jusqu'en haut, les éléments naturels nécessaires à la vie, c'est également une couleur qui plait beaucoup

- La forme en cercle des étoiles : l'égalité des peuples, le cercle étant une forme parfaite

Le pape reprit par :

- Qu'en pensez vous ?

Roi d'Espagne Nombre de messages : 103 Age : 32 Date d'inscription : 03/04/2007

La Reine d'Espagne observa le drapeau qui se déroulait devant elle. Il était très joli et très représentatif d'après les paroles du Pape de l'Espagne de l'Union catholique. Elle répondit :

-Saint-Père, je n'ai qu'une chose à dire : voilà une très belle création. Je pense que cela à dû demander réflexion au Saint-Siège. Pour ma part, je le vois très bien en tant que drapeau de l'Union. De cette manière, nus saurons différencier si une nation de l'Union agit en son nom et au nom de l'Union.

La Reine trouvait ce drapeau très beau. C'est vrai qu'il permettrait une plus grande représentation de l'union au niveau international. Et puis le fait d'unifier les pays catholique sous un même drapeau prouverait également la puissance de l'union.

Cette idée plaisait fort bien à la Reine d'Espagne, et à Joséphine également.

-Votre Sainteté, vous nousprésentez une excellente idée. Mes arguments sont les mêmes que Sa Majesté la Reine d'Espagne.

L'Impératrice n'avait rien ajouter, la Reine ayant eu les mêmes arguments qu'elle. Ce drapeau serait certainement bienvenu en France car la grande majorité de la population était catholique, et appréçiait fortement le Pape. Peut-être les catholiques français aimaient-ils autant le Pape que leur Impératrice, considérée comme de droit divin car approuvée par Sa Sainteté le Pape.

Le pape prit la parole :

- Vous êtes fort aimable vos majestés. Bientôt, pour continuer la création de l'union catholique je vous enverrai un traité sur l'union. Et par la suite nous nous réunirons pour en discuter et ce, au Vatican. Voila pour la suite, êtes vous d'accords ?

-Je suis tout à fait d'accord Saint-Père. Je constate que vous vous acharnez à améliorer notre union. C'est une très bonne chose. Et puis ce qui fait la grandeur d'une union et la solidité de ses traités c'est bel et bien leur perpétuelle amélioration. Je suis pressé de voir le résultat de vos travaux.

L'Impartrice n'avait plus qu'à attendre, tout comme ses Majestés d'Espagne et d'Italie, de voir les travaux.

Le pape repondit :

- Les travaux sont déjà en cours, et je pense que pour la semaine prochaine il seront fini. Il me restera plus alors qu'à le fignoler et à vous l'envoyez.

Puis il reprit :

- J'aimerai signez un accord avec vous Joséphine de France, sur la terre saintes.

-Très bien, nous attendons donc votre travail.

Puis à propos de la signature d'un accord elle reprit par :

-De quel genre votre Sainteté ?

- Sous ce genre la.

Il tendis une feuille à l'impératrice de France.

Citation :: Traité Diplomatique

Citée du Vatican - Empire de France

Article 1 : Les parties contractantes reconnaissent mutuellement leur existence et leur statut de communauté indépendante et souveraine.

Article 2 : La ville de Jérusalem, Israël et la Palestine déclare par le présent traité se placer sous la souveraineté de la Cité du Vatican et reconnaît à l'impératrice de France le titre de Protectrice de Jérusalem et de la terre saintes.

Article 3 : L’Empire de France assurera la défense de la Ville de Jérusalem et de la terre saintes.

Article 4 : Le présent traité est conclu pour une durée illimitée.

Fait à Rome, le 07 Mars 1954
Pour l'Empire France,
L'impératrice Joséphine
Pour les États de la Citées du Vatican,
Sa Sainteté le Pape Pie XII

Il poursuivit par :

- Excusez - moi de faire sa ici, mais je voulais que sa se fasse sous le girons de l'union catholique.

Le Pape présentait un traité concernant la Terre Sainte à l'Impératrice. Elle le lut. Placer tant de territoire sous la souveraineté du Vatican n'était pas quelque chose à décider à la légère. Pour Jérusalem, elle n'y voyait aucun inconvénient. Mais de là à céder Israël et la Palestine, la question était bien différente. L'Impératrice réfléchissait, et lui vînt à l'esprit le fait qu'elle gardait tout de même le contrôle militaire de la région. Donc dans le fond, rien ne changeait, si ce n'est qu'il y aurait moins de paperasse pour les autorités françaises.

-Saint-Père, après mûre réflexion, j'accepte votre proposition. Et puis pour ce qui est de la sécurité intérieure, vous pourrez vous en charger avec les hommes en nombre dans la Garde suisse que la France vous a octroyé lors de notre dernier traité. Nous nous chargerons bien entendu de la sécurité extérieure.

L'Impératrice de sa plume marqua le papier pour l'officialiser.

Ce traité lui faisait penser à un autre que le Vatican avait déjà signé avec l'Allemagne au temps où c'est elle qui contrôlait cette région.

-Mais dites-moi, pourquou vous acharnez-vous tant à vouloir contrôler de vous même ces terres ? Que l'Etat français officiellement catholique mène sa mission apostolique dans cette région ou le résultat en est le même.

- Ce n'est pas par manque de confiance en vous, c'est simplement qu'il est plus logique que ce soit directement l''église catholique qui gère la terre saintes, car de cette façon on ne pourra pas vous accuser du fait que vous monopoliser la terre saintes au nom d'une seul et unique religieux. De ce faite si c'est nous qu'il avons sa restera alors une affaire religieuse et pas politique. Car beaucoup d'état revendique leur droit sur la terre sainte, vous avez sans doute eu vent ?

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