Entretient Suisse-Allemagne

Le chancelier s'assit devant l'empereur, quitta sa casquette militaire et la pose sur le brueau. Il croisa donc les jambes et s'adressa envers le souverian de l'Allemagne.

- Je vous remercie pour l'invitation de votre part en Allemagne, ceci est très agréable.

Il ne prit pas de boisson car il n'avait pas soif.

Le Chancelier répondit donc à son hôte:

- Ceci est bien un fait, les liaisons culturelles sont très forts entre la Confédération et l'Allemagne.

- Bien donc, pour répondre à votre demande, les projets que nous avons envisager on en partie déjà été atteint. La nouvelle Constitution à été créer et approuvé par le peuple. Les réformes économqiues sont achévés. Ce qu'il nous faut encore c'est assurer les interets de la Confédération à l'échelle international et lançer l'armement pour la Grande Guerre qui viendra.

Le chancelier confia donc au souverain allemand ce que peu de gens connaissez.

- Le monde actuellement est devenu trop diffferent, trop diversifié, des régimes totalitaire apparaissent dans des pays jadis démocratique, et ceux qui sont restés comme jadis, se voient confronté aux mouvements démocratiques.

-Le monde change mais pas pour le bien, les Etats-Unis apr exemple après nos renseignements n'on tous sauf des intentions amicales face à la Suisse.

Le Kaiser comprenait maintenant la phrase du Chancelier Suisse. Selon lui, il était normal qu'il s'inquiète un peu étant donné la signature du Pacte de l'Atlantique avec les Etats-Unis et l'Allemagne.

-Je comprends votre position Monsieur Schwarzenbach, mais pensez-vous vraiment que les Etats-Unis vont vous déclarer la guerre dans un avenir proche ?

Il se tut mais ne laissant pas son invité répondre il ajouta :

-Et que pensez-vous de l'attitude militaire du Reich ?

Le Chancelier répondit en toue sincerité.

- L'histoire démontre que le Reich à toujours été un état d'expansion et de conquêtes, si ceci à changé aujourd'hui je ne peux pas juger.

Le Kaiser lui répondit donc :

-Vous avez fort raison, et ceci n'a pas changé voyez-vous. Mais le Reich ne s'est jamais attaqué à la Suisse, remarquez-le !

En effet, l'Allemagne n'avait jamais attaqué la Suisse. Serait-ce car elle respectait sa neutralité, en avait-elle peur ? Seul l'homme concerné pouvait répondre.

-Monsieur le Maréchal, vous n'avez pas répondu à ma première question : pensez-vous vraiment que les Etats-Unis vont vous déclarer la guerre dans un avenir proche ?

Le Chancelier dit donc sur de lui.

- Nous avons recu des rapports indiquant que les Etats-Unis jouer avec l'idée de renverser notre gouvernement. Les moyens nous méconnaissant. Mais vu des derneirs évènements, nous croyons que les Etats-Unis sont entra de sombrer dans une dictature.

Le Kaiser attendit quelques secondes avant de répondre puis dit :

-Est-ce que la Suisse aurait peur des Etats-Unis d'Amérique ?

Le Kaiser se posait divers questions à ce sujet. Il se demandait aussi quel pays gagnerait cette guerre.

Le Maréchal lui répondit en quelques mots très simpes et avec un ton très neutre, qui cacha son malaise face à cette question, très dangereuse.

- Pas peur des Etats-Unis mais celle de la guerre.

Le Kaiser apprécia cette réponse qu'il jugeait philosophique.

-Vous n'êtes donc pas favorable à une guerre. Enfin, c'est ce que votre réponse me laisse penser, une guerre contre les Etats-Unis n'est pas la bienvenue.

Il but une gorgée de son verre de bière puis dit :

-La Suisse a t-elle déjà un allié potentiel ?, Monsieur Schwarzenbach.

Le chancelier lui donna donc comme réponse à la question:

- La Suisse pour le moment possede comme allie les Alpes, mais sinon nous sommes seuls à nous defénde contre une attaque venant de l'exterieur.

L'Empereur d'Allemagne répondit à son homologue :

-Avez-vous des pays en vu avec lesquels vous souhaitez vous allier Monsieur le Chancelier ?

La curiosité de l'Empereur ressortait, il espérait que celle-ci ne choque pas son invité.

Le chancelier très intrigé par le comportement et la question du empereur lui donna comme réponse:

- La Suisse n'a pour le moment pas entamer une politique d'alliance étant des conseuqences que ceci peux amener si cette politique n'est pas bien mêner.

Le Kaiser se doutait que ses questions qu'il posait n'étaient pas celle que le Chancelier aurait voulu entendre. Il lui dit :

-Très bien !

Le Kaiser se leva doucement...

-Voyez-vous, l'Allemagne est un grand Empire qui s'est allié...

Il fit le tour de son bureau en marchant doucement...

-depuis peu avec les Etats-Unis. Si celles-ci venaient à s'engager dans une guerre...

Il se dirigea vers sa fenêtre, tout aussi doucement, ses bottes de cuit tapant contre le sol...

-elles auraient l'appui du Reich. Hors il se trouve que, comme vous le dites, que vous soyez la cible prochaîne des Etats-Unis...

Il revînt vers son bureau...

-et une guerre serait, ce n'est qu'une supposition mais qui s'avère proche de la réalité, que la Suisse n'y résiste pas.

Il se mit assis rapidement, croisa ses doigts et dit :

-Vous devriez vous allier avec le Canada.

Le chancelier en entendant cette remarque comprit très vite ce que l'empereur été entra de faire, il lui répondit ainsi.

- Ceci est malheureusement impossible à cause des differences politiques entre nos deux nations, mais votre altesse, pourriez-vous me dire ce qui vous interesse tant à une alliance?

Le Kaiser ne s'attendait pas du tout à cette remarque ded la part du Chancelier étant donné que s'était lui qui avait lancé le sujet, il dut répondre :

-Monsieur Schwarzenbach, la raison est simple : si l'Allemagne doit s'engager dans une guerre, elle veut que le camp ennemi soit un peu près équitable. Comprenez que l'Allemagne devra soutenir les Etats-Unis. Un allié comme le Canada serait je pense bien pour vous !

Le Kaiser ne donnait pas ses vraies raisons que seul lui connaissaient parfaitement, bien que l'Empereur des Etats-Unis en ait eu un bref aperçu. L'Empereur Allemand ne souhaitait dégrader les relations avec la Suisse.

Le chancelier dedua donc après ces dits:

-Je propose de finir cette discussion et de nous quitter amicalement et nous retrouver une autre fois. Je crois dans une telle situation des accord defénsives entre la Suisse et l'Allemagne ne sont pas possible.

Le Kaiser répondit donc à son homologue suisse :

-Très bien Monsieur. Je fus ravi de vous avoir rencontré.

Il alla lui serrer la main :

-Retenez-bien ce que je viens de vous dire Monsieur Schwarzenbach !

Il lui souria espérant qu'il retienne ses conseils qui pourtant étaient sincères.

Le chancelier se retourna et s'arrêta, il commenca à voir à travers toute cette histoire et il comprit qu'il avait déjà quittter une fois cette salle dans une autre époque. Il se retourna et dit au empereur:

- Je pense qu'il existe un autre moyen, je pense qu'un accord entre l'Allemagne et la Suisse de nature de defénsemutuel pourrait règler tous ces problèmes en éviant de causer de novueaux.

Le Kaiser fut très étonné de cette demande de la part du Maréchal de Suisse. Le Kaiser n'appréciait pas cela : le Maréchal veut à tout prix s'en aller et maintenant il veut s'allier acec l'Allemagne ?
Il lui répondit sèchement :

-Le Reich n'est pas un Empire avec lequel on s'allie quand on comprend que rien ne va plus, Monsieur Schwarzenbach. Il est hors de question, j'en suis désolé. De plus, vous n'êtes pas dans les bons papiers de l'Empereur Hilton avec qui je suis allié. De plus, cet homme est devenu mon ami. Je suis navré.

Il s'avança vers lui :

-Il me semble que cet entretien devrait prendre ici si nous souhaitons rester de bons amis. Merci.