Centre télégraphique, service postale

Majesté,

Voici donc le programme offciel de la visite du Saint - Père dans votre Empire. En espèrant qu'il vous convienne.

Veuilliez recevoir tout nos bon voeux,

Son Eminence le Cardinal Viktor von Kreiss
Secrétaire d'Etat du Pape

Citation :

VENDREDI 22 FEVRIER 1951

- 10.20 : arrivée à l'Aéroport International de Berlin . Accueil par …

- 10.50 : arrivée au Palais Impérial et réception par le couple Impérial. Présentation à la presse sur le parvis du palais.

- 11.00 : discussion privée entre le Pape et le Kaiser.

- 12.00 : déjeuner au palais

- 14.00 : première réunion de négociations, sur les divergences entre le Vatican et l’Allemagne.

- à la fin de la réunion : présentation des accords à la presse via une conférence de presse. Puis temps libre pour la délégation du Vatican jusqu'au lendemain.

SAMEDI 23 FEVRIER 1951

- 9.00 : visite des malades à l’Hopital de Cologne

- 11.00 : visite de la ville de Cologne

- 13.00 : Grand messe en plein air célèbrer par le pape à Cologne

- 18.00 : seconde réunion de négociations., sur les divergences entre le Vatican et l’Allemagne.


- à la fin de la réunion : il sera normalement tard, et nous aurons dîner pendant les négociations.


DIMANCHE 24 FEVRIER 1951

- 10.00 : Grand messe en plein air célèbrer par le Pape à Berlin

- 13.00 : troisième réunion de négociations. sur les divergences entre le Vatican et l’Allemagne.

- à la fin de la réunion : présentation des accords à la presse via une conférence de presse. Puis déjeuner si al réunion c'est terminée avant.

- après midi détente : visualisation du nouveau film à grand succès du pays, partie de golf sur le terrain 6 étoiles de la ville, un tour dans le dirigeable le plus grand de l'Anneau et visite de la grande zone dédiée au cinéma.

- soirée : Diner au palais et petite fête donner dans la cours du palais pour notre dernière nuit en Allemagne

LUNDI 25 FEVRIER 1951
- 10.00 : dernière réunion pour parler de diverses choses : actualité, etc ...

- 12.00 : direction la gare de Berlin pour prendre le train rapide et rejoindre Munich

- 15.50 : petit tour au Musée de l'Histoire ( très beau musée )

- 17.00 : direction l'aéroport pour prendre l’ avion

Citation :

Votre Altesse,


Je ne vais pas y aller par plusieurs chemins mais d'un seul tenant. A l'issu des combats, l'Allemagne avait expliqué qu'elle quitterait le sol autrichien après la guerre, or il n'en est rien.

Je suis déçu, force est de constater que le Gouvernement allemand n'a aucune parole, ce qui est très révélateur.

Cependant, je compte sur vous pour ordonner à votre armée de quitter mes territoire en l'échange d'une somme de 4 milliards de dollars. Ce n'est pas une moquerie, ou un canular comme vous pourriez le penser, mais une demande réelle.
Je fais appel à votre sens des affaires. La libération de l'Autriche n'apporterait que des avantages à votre nations : nous pourrions signer des accords commerciaux, ce qui nous profiterait, et pour être plus jovial nous n'écartons pas l'idée de nous réconcilier, car nous avons compris que c'était ce qu'il fallait le plus pour la paix en Europe. Vous me direz que cette idée est inpensable, que ce n'est qu'une hypocrisie de notre part, mais non, il n'en est rien de tout cela. Vous avez bien sur renouer des liens avec la France, pourquoi pas avec l'Autriche.

Je sais que cette idée peut vous paraître absurde car nous avons conscence de votre opposition avec l'URSS mais quelle est le plus important : éviter la guerre ou faire des l'Europe de l'Est un espace ravagé par les conflits entre communisme et capitalisme ? Je pense que les deux peuvent coexister, à partir du moment où l'un n'empiète pas sur l'autre.

Votre Altesse, j'attends une réponse de votre part dans les prochaîne 72 heures pour vous laisser le temps de réfléchir à la question qui est de grande importance.

Cordialement,
Helmut Koln, Chancelier d'Autriche.

Citation :

Votre Altesse,

J'ai appréçié la réponse que vous m'avez faite parvenir avec rapidité par rapport au délai initial proposé.

Je tiens à vous remercier pour votre coopération et souhaite que nous développions un nouvel horizon pour nos deux nations qui autrefois étaient si proches l'une de l'autre.

La guerre a fait chuter toutes les têtes qui étaient hostiles à l'Allemagne. Je reconnais avaoir porté des propos négatifs envers la nation allemande, je m'en excuse soyez-en conscient. Mais en tant que Chancelier er représentant de la majorité, je devais me plier aux choix du Parlement. Je sais qu'il est possible que vous me répondiez que quand je portais des propos scandaleux sur votre nation mon regard paraissait être des plus francs, mais je demande à ce que nous sachions oublier nos différents pour retrouver notre coopération d'autant.

La nation allemande a pioché dans les caisses de l'Autriche une somme avoisinant les 2 milliards de dollars. Nous ne souhaitons pas le remboursement, en guise de notre bonne fois, et considérant que vous ayez aimablement refusé notre avance.

Je vois par la vôtre que vous êtes un homme avec qui nous pouvons entretenir le dialogue. Avant je ne vous connaissais pas assez mais je commence à cerner votre personnalité.

Cordialement,
Helmut Koln, Chancelier d'Autriche.

Votre Altesse Imperiale,

Sachez que je n'ai aucune hostilité envers l'Allemagne mais simplemant que nos régimes politiques étaient très divergents et ne pouvaient pas s'accorder.
De plus nous comptons mener une politique assez isolationiste à partir des jours qui viennent c'est pourquoi nous reverrons nos traités d'accords militaires avec tous les Etats.
Nous ne voyons aucun inconvenient à ce que nos accords économiques perdurent car ils permettent, comme vous le dites, à nos économies de bien fonctionner.

Sachez enfin que nous ne nous positionnons pas comme un pays hostil à l'Allemagne mais comme un pays neutre.

Cordialement.

Citation :

Votre Altesse impériale,

La France vous présente toutes ses félécitations pour votre victoire sur le Portugal. Vous nous avez montrer de nouveau que le peuple allemand était puissant et déterminé mais surtout courageux. Vous vous êtes battus pour l'humanité, et cela de votre plein grè. Je pense que tout le monde vous doit sa gratitude.

Je souhaitais aussi personnellement vous remercier pour l'aide financière que vous apportez à la France dans le but de construire sa ligné fortifiée. A nous seuls nous aurions été forts endettés mais avec votre aide, notre activité économique pourra aisément se poursuivre.

Cordialement,
Joséphine de Beauharnais, Impératrice de France.

Monsieur,

On vient de m'informer du tragique évènement qui à touché l'Empereur Wilhelm von Hohenzollern.
Le Gouvernement américain et moi-même vous faisons parvenir nos plus sincères condoléances et nous vous accompagnerons dans votre douleur si oraison funèbre il y a.

Cordialement.

Citation :

Votre Altesse Impériale,

c'est dans le plus profond regret que je tenais à vous présenter toutes nos condoléances pour la mort sauvage de votre grand-père.

Cordialement, Helmut Koln, Chancelier d'Autriche

Votre Altesse,

Nous avons été informé des actions que vous menez actuellement au Portugal. Nous pensons que ces actions sont injustifiées et illégales et qu'elles doivent par conséquent cesser immédiatement.
Nous demandons également à ce que vos troupes se retirent du Portugal afin qu'un gouvernement se mettent en place dans les meilleures conditions possibles.

Cordialement.

Monsieur le Premier Ministre

Je vous rencontrerai demain matin à 10:30, à la Maison Blanche.
J'espère que cela vous convient et nous devons également, discuter de quelques évènements importants.

Cordialement.

Votre Altesse Imperiale,

Nous constatons avec regrets que vos troupes ont débuté l'invasion de l'Espagne depuis le Portugal.
Nous considérons cela comme une atteinte majeure à la démocratie et à la paix internationale.
Cependant, nous vous demandons diplomatiquement, sans employer les armes, de vous retirer du territoire espagnol dans les 48 heures.
Si vous acceptez, nous considérerons cela comme un acte de bonne foi de votre part et saurons nous en rappeler. Dans le cas contraire, nous sommes disposés à prendre des mesures proportionnelles à la gravité de vos actes.

Cordialement.

Votre Altesse Imperiale,

Sachez que vos exactions contre l'Espagne nous concerne pour plusieurs raisons, contrairement à ce que vous pensez. L'Espagne est une démocratie alliée, avec qui nous entretenons des liens particuliers, et qui plus est, un partenaire commercial de premier choix.
Si la coalition dont vous parler est de tenter d'empêcher tout conflit mondial et de faire triompher la paix et la démocratie, alors là vous avez raison.

Sachez également que nous aussi nous avions foi en l'Allemagne, que celle ci saurait faire preuve d'humanité et de ne pas agresser tous les pays par des opérations sanguinaires et violentes. Nous pensions également ue vous sauriez honorer la mémoire de votre grand-père ce qui n'est apparemment pas le cas aux profits de vos idéaux et de vos ambitions personnelles.

Quant à votre conseil, si c'est une menace, elle nous nous atteint même pas. Si vous avez l'intention de mener une action militaire contre les Etats Unis, il se peut que ous gagniez mais cela sera après de rudes et meurtriers combats.

Citation :

Signore l'imperatore tedesco,

Saremmo molto onorati di incontrare uno del vostro rappresentante per concludere qualche accordo con la vostra nazione

Humbert della Savoia

Monsieur l'Empereur Allemand,
Nous serions très honoré de rencontrer un de vos représentant pour conclure quelque accord avec votre nation
Humbert de Savoie

Citation :

Votre Altesse Impériale,

En tant que diplomate, je vous présente mes respects même durant ces temps de guerre.

Les Nations Unies suivent maintenant depuis plusieurs mois les guerres que l'Allemagne mène un peu partout dans le monde. Ce n'est pas parce que nous ne disons rien que nous n'en pensons rien. Mais est-ce raisonable d'agir ainsi ? L'Allemagne n'a t-elle subit suffisamment de défaites jusqu'à maintenant ?
Nous ne contredisons pas la maîtrise d peuple allemand dans l'art de la guerre, mais certainement que les Allemands nous ont montré assez d'exemples, et ainsi il n'est plus nécessaire de se battre.
Que l'Allemagne ait attaqué le Portugal, soit, bien qu'une implication du Conseil de sécurité aurait été préférable. Mais que l'Allemagne ait attaqué l'Espagne, ce pays ne voulant que la paix et désirant avant tout la plus stricte des démocraties, je ne peux le tolérer. Si bien sûr nous nous mettons des oeuillères et que nous vous croyons dans toutes vos paroles, votre guerre est justifiée. Mais vos arguments sont faux. Il n'a pas été dit que l'Espagne voulait former une coaltion contre l'Empire allemand derrière les Etats-Unis, les USA ont simplement demandé l'avis de l'Espagne sur une telle coalition, et vous n'avez pas de preuve quant à la réponse de Madrid. Cela n'était qu'un prétexte pour faire la guerre, car votre seule envie est de placer sous vos drapeaux tous les territoires d'Europe.

Votre Altesse, vous êtes un homme de bon sens, vous êtes le Kaiser, et non un dictateur. Vos actions ne mèneront qu'à la chute de votre Empire. Je crois que ce qui fait de vous ce que vous êtes c'est uniquement que vous avez le soutien de votre peuple, car le peuple où celui-ci ne sera plus, votre pouvoir sera renversé et l'Allemagne sombrera dans une guerre civile, c'est inévitable.
Ouvrez le dialogue avec les autres nations et cessez vos attaques. L'Allemagne est la première de toutes les nations, nous le savons tous, mais justement cela fait que vous devez maintenir la paix partout dans le monde en collaborant et non pas que vous devez attaquer tous les pays qui osent s'exprimer face à vous, par n'importe quel moyen.

Je tenais par cette lettre vous donner la position de toute l'organisation. Vous me répondrez que j'aurai du agir ! Mais comment ? Toute décision prise contre l'Allemagne est bloquée par la France.
Vous avez un grand talent s'orateur, de beau parleur, car de plus en plus de pays se jettent dans vos bras.

L'Aigle impérial de l'Allemagne recouvre l'Europe et une grande partie du monde mais les tempêtes qu'il provoque vont finir par le déplumer, et il serra contraint de rabattre ses ailes.

En vous priant d'accepter mes salutations, Votre Altesse.

Citation :

Votre Altesse Impériale,

C'est avec joie que je me permettrais de vous recevoir au Palais de Malacanang afin que nous discutions de l'établissement de relations économiques entre nos nations.
Cette rencontre aura lieu à la date qui vous conviendra le mieux.

Cordialement

Carlos Estrados, Capitaine Général des Philippines

Citation :

M. le Chancelier,

Je vous attendrai donc ce 9 août à Manille afin que nous discutions de ces accords.

Cordialement

Carlos Estrados, Capitaine Général des Philippines