Mouvements militaires en Autriche

Mouvements militaires en République autrichienne

L'Autriche, ce petit pays qui était implanté au coeur de l'Europe, mais qui pourtant était la seule grande République du continent. En effet il n'y avait que 3 grands pays sur le continent européen : l'Autriche, la France, et l'Allemagne mais la France et l'Allemagne n'étaient que des Empires autoritaires, voire même totalitaires selon le Chancelier Koln. La preuve était que il y 2 jours de cela en Allemagne des opposants ont été arrêtés car ils dénonçaient la politique extérieure de l'Allemagne alors que l'Empereur Allemand était pour la défense du principe du droit de non d'ingérence, c'est à dire le fait qu'un Etat ne s'implique pas dans les affaires d'un autres. Le chef de l'Etat Allemand expliquait ceci en rapport avec l'URSS actuelle. L'Allemagne se dit juste mais pourant elle mène une politique d'annexion en Europe avec pour l'instant la Pologne et la Suisse. L'Autriche n'appréciait guère cette politique de la part de l'Allemagne. D'ailleurs il était en pour parler qu'il y allait avoir un rapprochement entre l'Autriche et l'URSS.

L'armée autrichienne avait eu l'ordre d'intensifier les entraînements au combat. Les soldats effectuaient des rondes autour des frontières qui avaient été militarisées. Il en était fini du temps de l'hégémonie allemande le long des frontières communes. Le Chancelier avait effectué une visite à un des postes de douane. Le drapeau allemand avait été retiré. Son prédéceseur l'avait fait installer dans les postes de douanes pour prouver sa forte collaboration avec l'Allemagne. Mais ce temps était fini avec le nouveau gouvernement.

En tout, 15 000 soldats étaient dispersés le long de la frontière allemande contrôlant et surveillant avec la plus vigilance.

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Mouvements militaire en Allemagne :

Les services allemands avaient parfaitement étudié les mouvements militaires de leur voisin autrichien. Un rapport clair et précis a donc été rédigé et il fut remis dans les mains du Field Marschal même. En réunion avec l'Empereur, ils discutèrent de ce que devait faire l'Allemagne face à cela. Oui car si jamais les Autrichiens préparaient une attaque ou quoi que ce soit d'autre, il fallait être prêt, prêt à tout moment.
La Reichswehr déploya alors 20 000 soldats près de la frontière autrichienne. Les casernes militaires se situant dans les environs étaient capables d'héberger tous les effectifs militaires présents sur les lieux. Les commerces locaux virent leurs ventes augmenter car l'Etat avait donné des bons aux casernes qui à la place de commander devaient envoyés des soldats acheter les produits dans les commerces locaux pour augmenter leurs revenus. Ainsi les commerçants étaient satisfaient et avaient la possibilité de baisser leurs prix ne satisfaisant que d'autant plus la population.
L'Empereur le premier jour a effectué une visite officielle dans la base de Passau où il serra la main à bon nombre de militaires. En la vertue de sa visite, un grand festin a été organisé.
L'Allemagne était donc prête à engager d'éventuels combats contre la République autrichienne.

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L'Impératrice se rendit dès son arrivée à Paris à la ville de Strasbourg où elle devait dire quelques mots. Une grande salle avait été aménagée...

-La France est un grand pays, et c'est en ce point qu'il est de notre devoir d'aider nos alliés. L'Allemagne se fait agresser de toute part sans justification. Mais qu'est-ce que ce monde qui s'unie contre un seul pays qui n'a rien demandé à personne ! Qui ne leur a fait part d'aucune menace qui les concerne ! Certes l'Allemagne colonialise en masse, mais c'est pour le bien des peuples qui grâce aux Allemands découvrent une éducation performante, la richesse, la sécurité sociale et j'en passe !
Le Royaume-Uni, l'Autriche sont des aiguilles qui tentent de percer la botte allemande. L'Australie, qui se disait neutre, a amené 100 000 soldats en Croatie, pays qui est en frontière directe avec le Reich allemand. Soldats, vive la France et vive ses alliés !

Les soldats applaudissèrent. Un général cria garde à vous et tous les soldats se figèrent devant l'Impératrice. Elle finit par un mot :

-Battez-vous, s'il le faut, avec courage !

Les soldats marchèrent parfaitement ordonnés et sortirent du bâtiment. A l'extérieur, ils furent conduits aux gares les plus proches.
Cette opérations se répéta dans plusieurs villes de l'Empire. En tout, la France avait mobilisé 500 000 soldats qui furent envoyés en Allemagne dans des trains de voyageurs. Les 500 000 soldats étaient logés dans une dizaine de camps autour de la ville Munich, au Sud.
Tous ces mouvements militaires allaient certainement suciter de vives réactions dans le monde mais l'Impératrice en avait décidé ainsi.

L'Empereur avait pris de nouvelles décisions : la défense le long des frontières autrichiennes devait être renforcée. Pour ce faire, un contingent de 1 millions de soldats avait été tranféré le long des frontières, et un commandement général provisoire avait été installé à Munich. Il y avait en tout ici 1 020 000 soldats allemands présents et 500 000 soldats français soit un total de 1 520 000 soldats. Tout cela coutait cher mais les circonstances l'obligent.

L'armée de terre avait amené du matériel lourd car il fallait être prévoyant. 1 000 chars, récemment achetés par le Gouvernement, avaient étaient alignés le long de la frontière.

Les usines d'armement avait augmenté leur débit pour arriver à un niveau de frabrication, pas trop élevé tout de même, de 100 000 obus par jour.

L'Allemagne était prévoyante car les tensions étaient de plus en plus fortes.

Un virement total de politique était à noter parmis les locaux de la défense en France. Jamais ce ministère n'avait autant travaillé, surtout ce qui était du domaine de la papasserie.
Le Ministre de la défense français avait passé de longues heures au téléphone avec le Maréchal d'Allemagne Monsieur von Hindenburg pour trouver un arrangement. Finalement, les deux parties avaient trouvé l'accord qu'il leur fallait. L'Allemagne envoya à Paris les documents officiels pour cette mission qui était classé top secrète.
L'Impératrice eut un entretien avec le Ministre et le Maréchal de France qui dura presque 4 heures. Durant ce temps ils avaient élaborés des plans, préparés des ordres de livraisons et tout ce qui s'en suit.

Le Ministre transmit les ordres aux différentes bases du pays qui devaient se préparer. La SNCF avait vu son trafic multiplié par 20 en quelques heures sur ordre de l'Etat. Ainsi, furent conduits en Allemagne, le long de la frontière autrichienne, un million de soldats français qui s'ajoutaient aux 500 000 déjà présents sur les lieux.
Les trains de marchandise emmenèrent des quantités impressionantes de nourriture et les wagons militaires emmenèrent en tout 750 chars de grandes tailles ainsi que des milliers d'obus.

A Paris, sur la place de la tour Eiffel, avait été organisée une petite cérémonie. L'Impératrice avait été installé au premier étage de la Tour Eiffel. Un choeur de l'armée était venu chanter la Marseillaise, hymne national. (vidéo images)

Allons enfants de la Patrie,
Le jour de gloire est arrivé !
Contre nous de la tyrannie,
L'étendard sanglant est levé, (bis)
Entendez-vous dans les campagnes
Mugir ces féroces soldats ?
Ils viennent jusque dans vos bras
Egorger vos fils, vos compagnes !

Aux armes, citoyens,
Formez vos bataillons,
Marchons, marchons !
Qu'un sang impur
Abreuve nos sillons !

Français, en guerriers magnanimes,
Portez ou retenez vos coups !
Epargnez ces tristes victimes,
A regret s'armant contre nous. (bis)
Mais ces despotes sanguinaires,
Mais ces complices de Bouillé,
Tous ces tigres qui, sans pitié,
Déchirent le sein de leur mère !

Aux armes, citoyens,
Formez vos bataillons,
Marchons, marchons !
Qu'un sang impur
Abreuve nos sillons !

Amour sacré de la Patrie,
Conduis, soutiens nos bras vengeurs
Liberté, Liberté chérie,
Combats avec tes défenseurs ! (bis)
Sous nos drapeaux que la victoire
Accoure à tes mâles accents,
Que tes ennemis expirants
Voient ton triomphe et notre gloire !

Aux armes, citoyens,
Formez vos bataillons,
Marchons, marchons !
Qu'un sang impur
Abreuve nos sillons !

A la fin du spectacle, l'Impératrice se leva et frappa dans ses mains, on entendait le léger bruits de ses gants de velour blanc.

La France décidément, ces derniers temps changeait vraiment.

L'Autricje avait sonné l'heure de la mobilisation générale. Ainsi, 2 millions de soldats furent envoyés le long de la frontière allemande. On ne savait pas où les Français allaient attaquer. Peut être du côté de Salzbourg car le gros des troupes ennemies était positionné à Munich mais il fallait être très vigilant étant donné l'importance de l'affaire.

Le Chancelier avait appelé à ce que les soldats ce battent avec le plus de courage possible et de toutes leurs forces pour défendre la patrie qui était en danger de mort.

Le pays manquait cruellement de moyens et les finances avaient pris un coup dûr avec les embargos des pays frontaliers. Le seul espoir était l'aide du Royaume-Uni ou de l'Australie ou encore de l'URSS. Il ne fallait pas compté sur la Chine, ni sur les USA alliés de l'Allemagne. Et de toutes manières aucun autre des pays cités ne voudrait s'engager dans une guerre contre les premières puissances mondiales. Mais l'Autriche, elle, n'avait pas le choix.

La France avait déployé presque le maximum de troupes qu'elle le pouvait. L'armée comprenait 2 350 000 hommes mais 500 000 étaient en Afrique sous le commandement de l'AOF et les 350 000 restants restaient sur le territoire de la métropole car il fallait toujours une arrière garde.

Le 30 décembre 2007, la journée allait être dûre. A 6 heures et 35 minutes le matin, la frontière autrichienne fut violée par les troupes françaises à hauteur de Braunau, ville frontière. Sur cette ville fut déployées une division de 200 chars. La route devait conduire directement à la capitale. 100 000 soldats français se placèrent dans cette ville, occupant tous les espaces disponibles : de la cave au grenier. La position devait à tout pris être maintenue, car pour le moment elle était la seule.
L'Impératrice avait pour le moment décidé de garder l'essentiel des troupes en Allemagne car si jamais l'Autriche venait à franchir la frontière, ce serait l'Allemagne qui lui déclarerait la guerre, au bénéfice de la France.

Les camions de ravitaillement passaient directement la frontière allemande pour alimenter les Français, qui attendaient toute riposte des Autrichiens.

Le Chancelier avait reçu des rapports quant à l'avancée des Français. Ils allaient doucement, certes, car de toute évidence allait plus vite leur était impossible. Leur seule prise pour le moment était la ville de Bassau, d'ailleurs faisons preuve d'un peu de culture c'est de là qu'était originaire Adolph Hitler, le grand déclencheur de la Seconde Guerre mondiale.
Les civils autrichiens avaient fuis la ville face à l'avancé des forces armées françaises. Ils s'étaient réfugiés dans les rangs de l'armée, quelques kilomètres en arrière, leur implorant de défendre la patrie. "Sauvez nos vies, sauvez nos enfants !" criaient des mères qui ne savaient plus où donner. Elles avaient tout leur espoir dans la main des militaires qui face à tant de désespoir ne trouvaient pas toujours les mots pour répondre. Et en plus ne n'était que le commencement d'une longue débandale.
D'ailleurs aucune nation n'avait dégnée à soutenir l'Autriche, même le Royaume-Uni qui ne respectait pas son alliance, mais attendons encore un peu de voir. Seule l'URSS avait fait des demandes à l'Allemagne pour franchir son territoire, mais ce lui fut refusé, malheureusement. Ainsi, pour le moment, l'armée autrichienne devait se battre seule contre ses tyrans.
Par décision de l'Etat Major de Viennes, 150 000 soldats autrichiens furent envoyés à l'assaut sur la petite de Bassau qui était alors position française. Les soldats se ruaient sur la ville, essayant tant bien que mal d'éviter les bals ennemies.

Les Français s'étaient préparés à l'assaut des troupes autrichiennes. Des mitrailleuses avaient été placées tout autour de la ville dans les bâtiments, les fossés, derrière les murets. Les Français craignaient quelque peu l'assaut car pour le moment ils étaient en sous-nombre mais ils avaient tout de même 200 chars de placés dans la ville, sur les routes principales bloquant ainsi les accès directs.

Les Autrichiens arrivaient sur la ville à toute allure et tentaient d'éviter tant bien que mal les balles françaises. Les officiers donnèrent l'odre de tirer. Les mitrailleuses balayaient les troupes ennemis comme un château de carte, et ils tombaient en masse.
Les chars lancèrent une dizaine d'obus chacun, transformant en champ de bataille les portes de la ville et terrassant l'ennemi.

Entre-temps, 200 000 soldats Français franchissèrent la frontière au niveau des routes qui menaient à Salzbourg avec une division de 300 chars, chargés à bloc. Les hommes furent arrêtés mais l'armée française laissa rejoindre l'arrière les femmes, les personnes de moins de 18 ans et les personnes de plus de 55 ans. Les Français étaient pratiquement à la ville de Salzbourg, encore 3 kilomètres et ils avançaient à vive allure.

Rapport du narrateur :

L'Autriche a déjà perdu 1 153 hommes lors de l'assaut

La France a perdu 107 hommes

Aucune perte de matériel pour les deux parties

A Bassau, les rapports étaient alarmants. Les généraux avaient ordonnés un replis des troupes pour éviter plus de pertes. Ainsi, les Autrichiens restaient à 1 kilomètre derrière les portes de la ville, préparant leurs positions. Des soldats construisaient des tranchées pour s'y abriter et empêcher l'ennemi de passer.
Les civils étaient tous partis à l'arrière, et tant mieuc pour eux car la guerre, qui ne semait que le désespoir, n'était pas faite pour eux. Même pour les soldats d'ailleurs car ils étaient des hommes comme les autres mais il était primordial de défendre la patrie.
A Bassau, 100 canons de 400 mm se mirent en place le long des lignes autrichiennes et commencèrent le pilonnage de la ville. Le sol tremblait sous le pieds des Autrichiens, et ainsi furent lancés plus de mille obus.

De l'autre côté, sur le front de Salzbourg, l'armée autrichienne avait déployé 100 chars de taille moyenne pour stopper l'avancée des Français. De plus 200 000 soldats autrichiens prirent place dans la ville car étant une des plus importantes du pays, elle ne devait surtout pas tomber, c'était impératif.
De la même tactique que les Français à Bassau, les édifices se virent placer à leurs fenêtres des mitrailleuses qui devaient arrêter les Français, ainsi devait-il être.
Que le Seigneur soit avec les soldats.

A Bassau, les ordres étaient clairs : on devait maintenir la position coûte que coûte. Malgré les bombardements ennemis, les Français maintenaient leurs positions. La France n'avait pas mobilisé assez de moyens sur le front et le temps de faire venir tout le matériel de France, les soldats seraient dans des tombes. Le meilleur moyen aurait été un appui de l'armée de l'air. L'Impératrice savait comment faire...

A Salzbourg, les troupes s'arrêtèrent 1 500 mètres avant l'entrée de la ville car c'était un piège, l'Etat-Major s'en doutait fortement. De plus, d'après les derniers rapports, les Autrichiens avaient effectué de nombreuses manoeuvres dans la région qui était devenue dangereuse de fait.
Les effectifs devaient être renforcé, et les troupes attendaient des renforts qui avaient déjà été envoyé, ils devaient arriver vers le soir à environ 20 heures 30. 50 000 soldats étaient attendus.
Les soldats fortifièrent les positions se plaçant dans les fossés parfois remplis d'eau à cause la saison. Des mitrailleuses furent installés et les chars, au nombre de 300, faisaient trois colones au milieu d'un champ à moitié labouré par les engins. Les soldats qui se contentaient d'attendre, c'est à dire ceux qui n'étaient pas aux postes de garde ou dans les chars, s'étaient abrités dans la fôret.

Les ordres venaient directement de l'Empereur : 200 bombardiers ainsi que 150 avions de chasse devaient décoller des bases de Munich et rejoindre les positions françaises en Autriche.

Dans le ciel de Bassau, dans un bruit de guerre, calme à ce moment là car les assauts avaient cessés momentanément, un bruit léger et lointain se fit entendre. L'oreille des soldats ne distinguaait pas encore ce que c'était. Le bruit était de plus en plus fort et enfin on put reconnaître que c'était des avions. Les pilotes de la Lutwaffe arrivaient.
Les avions passèrent au dessus du ciel de Bassau, faisant certainement réjuir les Français qui ainsi ne subiraient plus les tirs autrichiens depuis les lignes de canons.
Les avions se préparèrent et le bombardement commençait. Il n'était pas tellement dangereux car les Autrichiens ne possédaient pas de canons anti-aériens. Les bombardiers larguèrent les obus qui tombaient sur les Autrichiens telle de la pluie de fer. Les avions firent trois passages et avaient lâché la totalité de leur cargaison.
Les avions de chasse allemands descendaient en flèche sur les Autrichiens et on les voyait tomber.
La Lutwaffe stationna ses avions dans les bases militaires les plus proches, attandant une livraison d'obus.

Rapport du narrateur :

L'Autriche lors de l'assaut aérien de l'Allemagne a perdu 3 247 hommes.

L'Autriche lors de l'assaut aérien de l'Allemagne a perdu 53 canons de 400 mm.

Sujet: Re: Mouvements militaires en Autriche Mar 1 Jan 2008 - 13:26

A Braunau, les Autrichiens avaient entendu les avions allemands qui en quelques secondes déferlèrent sur eux comme des flèches. Le repli avait été ordonné immédiatement dans les forêt de la ville situées deux kilomètres derrière eux. Ce qui restait de soldats devait impérativement d'abriter dans les bois car c'est là que les renforts devaient arriver. Avec les nouvelles troupes fraîchement arrivées, il y avait dans les forêt avoisinantes en tout 200 000 soldats qui étaient prêts à défendre la patrie par tous les moyens. De nouveaux des tranchées furent creusées et on se plaça dans les fossés, trous, fermes champêtres, et des mitrailleuses furent installées tous les 100 mètres.
100 chars de grande taille arrivèrent dans les bois pour protéger les troupes et 47 canons qui restaient depuis l'attaque aérienne de Bassau furent également placés à la lizière des bois pour bombarder tout assaut de l'ennemi. Que les Allemands ne recommençent pas leur attaque aérienne. L'Autriche ne pouvait y faire face.

A Salzbourg, la situation était carrément autre. Les troupes autrichiennes n'avaient pas encore subi d'attaque de l'ennemi, aussi étrange soit-il. D'après les espions, les Français s'étaient fortifiés 1 500 mètres en avant de la ville et avaient déployé une division de 300 chars de grande taille. Il n'était pas prudent pour le moment de lancer l'assaut.
Les positions dans la ville devaient être absolument maintenue et étant donné que les Français augmentèrent les effectifs, l'Etat-Major autichiens décida d'en faire de même. 50 000 soldats de plus se placèrent dans les rues et édifices de la ville. Beaucoup de médécins avaient édifié des hôpitaux de fortuns dans les souterrains car la bataille allait sûrement faire rage.

Dernière édition par le Mer 2 Jan 2008 - 23:46, édité 1 fois

Braunau :

Au moment où les solddats français virent arriver la Lutwaffe, ils éclatèrent de joie sachant que les Autrichians allaient prendre une raclée et reculer. Mais le plus important était que les troupes de l'Impératrice ne subiraient plus les bombardements. Ils firent des grands signes aux avions pour les remercier de leur soutien.
Les Français restaient en position dans la ville, car lemoment n'était pas venu d'attaquer, il fallait d'abord renforcer les positions. Quelques troupes furent amenées pour renforcer les positions. Il y avait maintenant 120 000 soldats français ainsi que 200 chars de grande taille placés dans la ville et ses proches alentours.

Slazbourg :

Il y avait maintenant, avec les renforts, 250 000 soldats français à 1 500 mètres de la villes et les 300 chars étaient toujours en place. Les rapports de force étaient pour le moment égaux et on ne pouvait se permettre d'attaquer. Il fallait attendre le soutien de l'Allemagne, ce pays grand ami de la France malgré les différents passés.

Sujet: Re: Mouvements militaires en Autriche Mar 1 Jan 2008 - 17:04

Bataille de Salzbourg :

L'Allemagne devait soutenir la France dans la bataille qui s'annonçait dans la ville. La concquérir serait porter un coup dûr aux Autrichiens et permetterait aux troupes franco-germaniques de maintenir des positions fortes.
La Reichswehr déploya en tout 75 000 hommes qui se rallièrent aux positions françaises à 1 500 mètres de la ville. De même, la II panzers division composée de 200 chars de grande taille se plaça aux côtés de la division française qui elle comprenait 300 chars de grande taille. Les Allemands se laissèrent aller à quelques amusements avec les soldats français s'offrant quelques blagues mais le temps de la rigolade était terminé, il fallait maintenant passer aux choses sérieuses. L'armée allemande positionna aux orées de la forêt 200 canons de 420 mm. A midi tapante dans la journée du 1 janvier, le bombardement commença sur la ville largant des milliers d'obus sur les positions autrichiennes.
Entre-temps, la Luftwaffe fit décoller des bases arrières 200 grands bombardiers ainsi que 150 grands avions de chasse. En une trentaire de minutes, les avions étaient au dessus de la ville de Salzbourg et le bombardement aérien commençait sur la ville. Les avions de chasse eux se contentaient de faire le tour et de fusiller, tant bien que mal, ceux qui avaient le malheur de s'échapper. Les murs s'écroulaient les uns après les autres comme un château de sable rongeait par l'eau au bord de l'océan. Les soldats qui étaient légèrement en arrière entendaient parfaitement le bruit des obus et sentaient les vibration dans le sol tellement que le bombardement était intense. Les Autrichiens devaient en subir les peines.

Sujet: Re: Mouvements militaires en Autriche Mar 1 Jan 2008 - 18:23

Rapport du narrateur :

L'Autriche perd 11 569 hommes lors du bombardement de Salzbourg

L'Autriche perd 39 chars de taille moyenne lors du bombardement de Salzbourg

Personnellement, j'engage certaines nations de porter secours à l'Autriche.

Sujet: Re: Mouvements militaires en Autriche Mar 1 Jan 2008 - 18:43

A Baunau, il n'y avait aucun mouvement de troupes pour le moment, les positions étaient maintenues, le calme reignait, mais peut être un assaut plus terrible des Français était à venir.

A Salzbourg, la situation était tout autre. L'armée avait suni le bombardement de l'Allemagne qui a pris les soldats par surprise. De nombreux morts étaient à déplorer. Les troupes s'étaient réfigiées dans les souterrains, et les médecins s'occupaient de soigner comme ils le pouvaient les blessés. Les chars qui étaient encore debout se divisèrent et tournaient dans la ville, car comme ça ils étaient plus difficile à détruire, rassemblés étant une proie plus facile à atteindre.
Les Autrichiens devaient maintenir les positions, les généraux le répétaient sans cesse, car perdre la ville serait ouvrir la porte sur la capitale, Viennes.

Sujet: Re: Mouvements militaires en Autriche Mar 1 Jan 2008 - 22:58

Au Sud de l'Autriche, en Slovénie, territoire du Reich, la Reischwehr se préparait. 500 000 soldats avaient été armés et préparés au combat. De plus 500 chars de grande taille se préparaient à rouler. La Luftwaffe avait déployé autant de moyens qu'à Salzbourg, soit 200 bombardiers et 150 avions de chasse. 100 canons de 420 mm étaient sur les lieux, dans le but d'attaquer.
La cible était la ville de Villach, à quelques kilomètres de la frontière. Les Allemands, en rang car étant l'armée la plus disciplinée du monde, ou du moins faisant partie des plus disciplinées, franchissèrent la frontière, levant les drapeaux du Reich et criant le nom de l'Empereur, convaincus qu'ils combattaient pour la sainte cause du Kaiser. Le Kaiser savait soulever les armées, ce qui lui donnait autant d'influence dans le pays. Les chars étaient à l'avant.

De l'autre côté du pays, à Salzbourg, encore aucune attaque n'avait été lancée attendant le moment propice. Les troupes virent augmenter leurs effectifs, regroupant ainsi 150 000 soldats allemands, placés sous le commandement provisoire des généraux français pour permettre une attaque plus synchronisée.

Sujet: Re: Mouvements militaires en Autriche Mer 2 Jan 2008 - 11:52

A Braunau, toujours rien, ce qui n'était pas plus mal. Les Autrichiens restaient sur leurs positions.

A Salzbourg, l'armée regroupée maintenant 300 000 soldats pour faire face à l'assaut français et allemand.

Au Sud du pays, il était impératif de fortifié les positions. Les Allemands avaient traversé la frontière et s'apprêtaient à entrer dans la ville de Villach. 200 000 soldats autrichiens furent placés dans la ville comme à Salzbourg, et 300 000 autres étaient éparpillés dans les villages, forêts et autres situés dans les alentours, mais uniquement à l'arrière de la ville, le sud ayant été abondonné et déserté par les troupes.

Pourquoi cette guerre avait lieu ? Mort, désespoir, le sang qui coule sur le sol, des gens qui en payent de leur vie pour une cause qui ne les concerne pas. Le seul but de la France et l'Allemagne était d'étendre leur pouvoir, d'écraser tout opposant. L'Autriche devait combattre tant qu'elle le pouvait pour la liberté, pour sa liberté.

Le pays ne possédait presque plus de chars d'assaut en réserve. Ce qui restait, c'était 100 chars de petite taille qui furent placés aux alentours de la ville et non pas à l'intérieur comme au Nord du pays car si la cité était bombardée par l'armée de l'air allemande, il y aurait trop de pertes.
De même, 100 canons de 300 mm et 100 canons de 200 mm furent placés tout autour de la ville pour repousser les assauts allemands.

Sujet: Re: Mouvements militaires en Autriche Mer 2 Jan 2008 - 23:54

Braunau :

Les Français s'étaient mobilisés en masse dans la ville durant le nuit dernière et la journée. Il y avait 500 000 soldats français et les 200 chars de grande taille furent réarmés au maximum pour l'assaut. Les Autrichiens s'étaient fortifiés dans la forêt et il fallait attendre le signal de l'Allemagne pour attaquer et lancer les troupes, qui se devaient de prendre le bois. Les moyens présents devaient le permettre, c'était impératif.

Salzbourg :

L'Armée française, ayant le commandement de 150 000 soldats allemands ainsi que de 200 chars de grande taille allemands, restaient toujours en arrière. La tactique militaire de l'Impératrice a fait qu'elle avait préparé un plan d'attaque pour prendre la ville.

La France souhaite bonne chance à l'Allemagne au Sud de l'Autriche.

Sujet: Re: Mouvements militaires en Autriche Jeu 3 Jan 2008 - 0:06

A Braunau, les Allemands mirent en place 150 canons de 420 mm et la Luftwaffe mobilisa 200 bombardiers de grande taille et 150 avions de chasse.
Le 2 janvier à 16 heures 30, la nuit n'allait plus tarder à tomber, on entendit dans le ciel des avions.
La Luftaffe allait lancer une attaque sur les bois qui abritaient les Autrichiens. Les avions arrivèrent rapidement et ordonnés les uns après les autres, les obus furent lâchés sur les positions ennemis. Les arbres étaient arrachés, tombaient sous les obus.
Les chasseurs tirèrent des balles sur les colones de soldats ennemis qui tombaient les uns après les autres, leur sang coulant sur le sol meurtri. Après un bombardement d'une demi-heure, les avions allèrent se ravitailler à la base la plus procche et à 20 heures, ils étaient de nouveaux sur les lieux recommençant le bombardement qui était aussi infernal que le précédent.
Entre-temps, pour ne pas laisser de temps à l'ennemi, les 150 canons de 420 mm furent préparaient et commençèrent le tir qui devait durer jusqu'au lendemain matin. Des milliers d'obus se crachèrent sur le sol, retourant tout. Ce n'était plus un bois mais un champ de labour.

A Salzbourg, les Français dirigeaient les opérations.

Au Sud, dans le but de la prise de Villach, la Reichswehr s'arrêta un kilomètre après la frontière et fortifia ses positions dans des petits villages. Les clochers des églises furent armés de mitrailleuses. Il y avait en tout 5 villages de pris et chacun étaient surveillés par 100 chars de grande taille chacun. Les soldats placèrent des sacs de sables aux portes des maisons, à l'entrée des villages et y installaient derrière des postes de mitrailleuse.

Sujet: Re: Mouvements militaires en Autriche Jeu 3 Jan 2008 - 13:07

A Braunau, le bombardement avait cessé à 7 heures du matin, la Rechswehr avait déployé 200 000 soldats qui se ruairent sur les positions ennemies à la fin du bombardement. Les 200 chars français de grande taille avançaient devant les troupes pour les protéger des tirs de balle des soldats autrichiens encore en état de combattre. Les troupes allemandes s'enfonçèrent dans ce qu'il restait de la forêt. Les soldats autrichiens blessaient lors des bombardements et qui ne purent être évacués furent tués d'une balle. Les Allemands couraient vers l'avant, se cachant derrière les arbres, souches, dans les trous, la bout jusqu'aux genoux parfois. Les chars français roulaient et tiraient sur les positions autrichiennes encore en vie. Les avions de la Luftwaffe lancèrent un raid de moindre importance sur les troupes autrichiennes qui essayaient de fuir la Reichswehr. Grenades, obus, balles, tout se mêlait dans l'obligation de faire reculer l'Autriche.

L'Empereur se frottait les mains à Berlin. La manoeuvre de divertion avait parfaitement fonctionné. A Sopron, ville située à quelques kilomètres de la frontière autrichienne qui se trouvait en Hongrie, territoire du Reich, la Reichswehr avait mobilisé 900 chars d'assaut ainsi que 1 million d'hommes prêts au combat. Il y avait également 300 bombardiers et 200 avions de chasse.
Le matin du jeudi 3 janvier, à 4 heures du matin, les forces armées allemandes franchissèrent la frontière à en direction de Viennes. 70 km séparaient les deux villes. Les 900 blindés roulaient à l'avant, dans le désir de porter un coup fatal au pays avec une rapidité hors du commun. Le million de soldats suivait dans les campagnes mais les moyens de transport étant faible, leur arrivée à Vienne ne devait être effective pas avant 22 heures de ce même jour. Voitures viviles, camions, bus etc avaient été réquisitionné aux Hongrois par les autorités allemandes.
Ce même jour, à 10 heures du matin, les 300 bombardiers de la Luftwaffe commençaient le pillonage de Vienne et les avions de chasse fonçaient sur la moindre résistance.

Vienne allait certainement rapidement tomber d'après le commandement allemand.

Sujet: Re: Mouvements militaires en Autriche Jeu 3 Jan 2008 - 19:07

A Braunau, l'attaque des Allemands avait forcé les troupes de la république à reculer. Malgré une dernière résistance pour stopper l'assaut de l'armée de terre allemande, le repli sur Linz fut ordonné par l'Etat major principal. Quelle débâcle, encore pire que celle que la France avait connu en 1940 à cause de l'Allemagne. Le matériel du être abondonné pour éviter les derniers soldats à ne pas se faire tuer inutilement.
La ville de Linz fut fortifiée comme on le pouvait pour tenter d'opposer une dernière résistance aux Allemands, les pires bourreaux qui massacraient tout sur leur passage.

A Villach, pas le moindre mouvement.

A Salzbourg, toujours rien, mais les arrières de la ville furent également fortifiés par mesure de sécurité. Les 300 000 soldats attendaient toujours l'assaut des tyrans ennemis.

Par surprise générale et dans le plus grande stupeur, Vienne allait être attaquée. 900 blindés allemands foncaient droit sur la ville. Le Gouvernement fut immédiatement transporté à Graz par mesure de sécurité. Ils eurent à peine le temps de décoller quand les bombardements allemands commençèrent sur la capitale. La Luftwaffe n'était pas consciente de ce qu'elle faisait. Elle était en train de réduire en poussièrent cette ville historique.
Le Gouvernement ordonna l'envoie de 400 000 soldats pour protéger la capitale mais il fallait le temps de les faire venir car cette attaque n'avait pas été prévue. Les troupes autrichiennes devaient arriver pour 20 heures dans la ville mais 50 000 soldats prirent déjà position après les bombardements. Ils provenaient des casernes de proximité.

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