Rencontre Allemagne URSS à Varsovie.

Dans l'ancien Palais du Roi de Pologne, le Chancelier allemand attendait la délégation soviétique dans le but de signer les accords avec l'URSS.

Le Chancelier avait de nombreuses choses à proposer aux Soviétiques.

Vers 14h heures, un avion militaire Soviètique, un vieux Iliouchine Il-2 Sturmovik, aterrit sur la piste de tarmac de l'aérodrome militaire de Varsovie. Vladimire Romanov en déscendit, il était seul et se diriga vers une voiture officiel qui le conduisit au palais des ancien Roi de Pologne ou il sorti de la voiture.

Le Chancelier allemand, voyant la voiture arriver, descendit du bâtiment. La Garde Impériale tait là et protégait les lieux.

-Bienvenue à Varsovie, Monsieur Romanov. J'espère que notre collaboration ira loin.

Il le pria de la suivre à l'intérieur dans la salle de réunion...

Lorsequ'il fut acceuilli par le Chancelier allemand, Vladimire le suivit à l'intérieur toujours sans prononcé un mot, car pour lui les mot ne pourrais éxprimer se qu'il ressenter à l'égare de l'Allemagne. Mais il était ici par la volontée de Staline, et peut importe ce qu'était ses sentiment il ne représenter pas sa personne mais tout le peuple et le peuple passe avant sa personne.

Il emmena donc l'homme dans la salle et le fit installer face à lui, devant le bureau. Il lui servit une vodka, s'en prit une également, et prit la parole.

-Comme a du vous en informer Staline, nous sommes ici pour signer un accord qui sera prometteur pour nos deux nations. Avez-vous quelque chose à ajouter avant que je ne vous fasse mes propositions ?

Toujours sans dire un mot Vladimir prit le verre de vodka que lui servit l'allemand, puis d'un signe de tête signifia qu'il n'avait rien à ajouté avant que l'allemand ne fasse ses proposition. Il se demandais aussi que pourrais bien leur offrir l'allemagne pour que Staline sois enclin à accépté.

Sans plus parler, il tendit la feuille du traité à l'homme. D'ailleurs il avait l'intention de faire part à Staline de l'attitude de l'homme.

Citation :: Traité Allemagne - URSS

Les deux pays, soucieux de leur bien être respectif, souhaitent établir un accord mutuel comprenant les points suivants :

-L'Allemagne versera avant juillet 1951 10 milliards de dollars à l'URSS

-L'Allemagne s'engager à ne jamais lever les armes contre l'URSS et l'URSS s'engage à ne jamais lever les armes contre l'Allemagne.

-L'Allemagne, en cas de guerre nucléaire, portera toute son aide possible à l'URSS en ripostant avec son matériel nucléaire.

-En cas d'invasion de l'URSS, l'Allemagne lui viendra en aide militairement et économiquement.

-En cas d'invasion de l'Allemagne, ou ses colonies, l'URSS s'engage à l'aider militairement.

Dans une perspective de victoire finale, l'URSS et l'Allemagne s'engage à chacun former un bloc d'influence ouvert à leurs marchés respectifs et où chacun mènerait sa propre politique sans que l'autre n'interfère.

Fait à Varsovie, le 20 juin 1951

Par Guillaume der Hartman, Chancelier du Reich
Par le Général de division Romanov pour l'URSS

Romanov prit un stylo, et signa le document puis se releva et serra la main du Chancelier allemand, puis dit :

Même si je n'éprouve pas la plus grande simpathie pour l'allemagne, je ne peut que signer se contrat qui me semble avantageux pour l'URSS et je rajouterais en plus Alea Iacta Est.

Le Chancelier signa puis ajouta à son tour :

-Certes, il est avantageux pour les deux nations.

Il n'avait pas compris la dernière formule de l'invité mais il ne lui dit pas.

-Vous savez, j'espère que nous saurons vraiment collaborer. Nos chefs respectifs l'ont décidé, nous devons nous y plier.

Et oui vous avez sans doute raison

Il reprit un verre de Vodka puis demanda au Chancelier allemand.

Avez vous d'autre proposition a nous faire ?.

-Non, pas pour le moment.

Un homme s'avança dans le bureau, un mot posé sur le plateau qu'il tendit au Chancelier. Il remercia le servant et après avoir lu le mot il dit :

-Et bien Monsieur Romanov, notre alliance commence là. La Chine vient de rompre ses accords avec l'URSS.

Quel dommage, mais peut être que la chine sais se qu'elle fait après tout nous ne somme pas le dirigent chinois et nous ne connaisons pas les raisons profonde de se revirement.

Il ne se randait pas compte se dit il, la chine perd avec l'URSS un precieux allié, et communiste en plus.

-Le dirigeant chinois est un homme borné qui ne sait pas faire la part des choses, voilà tout. La Chine est le plus grand perdant dans cette affaire, à mon avis, car l'URSS lui apportait la puissance, ce que seule elle n'a pas.

Oui c'est vrais et bien à part tout cela avez vous d'autre chose à nous dire ?

-Non, je pense que je peux vous raccompagner à votre voiture.

Le Chancelier se leva et pria l'homme de le suivre pour le raccompagner à sa voiture.

-Que le destin nous protége.

Lui dit-il avant qu'il ne monte dans son véhicule.

Vladimire salua militairement le Chancelier Allemand puis monta dans sa voiture toujours pas convincu par les intantions allemande mais essayant de se convincre qu'elle ne fussent pas mauvaise pour l'URSS. Il remonta dans son avion et reparti vers Moscou.

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