1ère Sessions du Conseil de Sécurité

Le représentant américain se leva :

- Notre voix va à la France.

Le Chancelier allemand se leva puis s'exprima :

-L'Allemagne vote en faveur de la France.

Il y avait égalité entre la France et le Royaume-Uni, ainsi quel serait le choix du Secrétaire général pour faire pencher la balance en faveur de l'une des deux parties ? Peut être la voix d'autres nations non présentes ici serait demandée...

Le Chancelier commençait à fatiguer à cette réunion. heureusement il était venu avec son adjoint Monsieur Derrick Glonberg qui prit sa place dans la plus grande discution permettent ainsi au Chancelier de quitter les lieux.
Un avion le reconduisit en Autriche à Viennes.

Nous arrivons donc Au résultat suivant :

Royaume-Uni : 3
France : 3
URSS : 2

En vue de l'égalité entre le Royaume-Uni et la France nous demandons de revoté mais pour départager ces deux nation.

L'Autriche se prononça, quelque peu contrainte à choisir un pays capitaliste alors qu'elle soutenaait l'URSS.

-L'Autriche vote pour le Royaume-Uni.

Mais il valait mieux encore le Royaume-Uni plutôt que la France alliée de l'Allemagne.

le Gouverneur général de l'Inde se leva et dit :

-L'Inde vote, nous le répétons, en faveur du Royaume-Uni.

- Nous votons pour la France.

Le représentant américain répéta son vote mais pensais que ca n'allait pas sufir car ceux qui ont voté pour l'URSS ne voteront jamais pour la France.

Le Chancelier allemand s'exprima de nouveau face aux membres du Conseil :

-L'Allemagne vote en faveur de la candidature française.

Koln était déjà pratiquement persuadé que la France n'aurait pas cette fonction mais que ce serait le Royaume-Uni.

L'Impératrice se leva et s'exprima d'une voix féminine mais imposante :

-La France, de toute évidence, vote de nouveau pour sa propre candidature.

Il ne manquait désormais plus que le vote de l'URSS et l'Australie, qui slon l'Impératrice allaient sûrement voter pour le Royaume-Uni. Le poste escompté paraissait inaccessible.

Invité

Le Royaume-Uni vote évidament pour lui même.

Le secrétaire du Roi s'était levé pour cela et l'avait annoncer avec une mine satisfaite.

Staline se leva pour donner sa voie. Il savait très bien qu'elle allait être décisive.

-L'URSS pense que ce rôle sera mieux rempli par le Royaume-Uni.

Il se remit assis, attendant maintenant que le Secrétaire général s'exprime.

La Présidence du Conseil est donc attribuée au Royaume-Uni.

Passon maintenant a la suite :

Selon les voeux et les soutiens de certain pays membre un cas sera porté vers l'avant.

Le Gouvernement Suisse en Exil désire avec le soutien du R-U, de l'Autriche et de l'Australie recouvré leur indépandence. L'ONU n'est pas contre mais étant territoire occupé par les allemands s'est a eu de fixé des conditions.

Le Chancelier était il faut dire déçu par la présidence anglaise mais c'était ainsi et il n'avait pas le choix. L'Empereur n'allait sûrement pas apprécier non plus.
Puis le Secrétaire général se mit parler. Ses premières paroles faisaient que le Chancelier devenait fou de rage mais heureusement il s'était "rattrapé" en disant que c'était aux Allemands de fixer les conditions pour que la Suisse retrouve son indépendance. Der Hartman se leva puis s'exprima :

-Chère assemblée, il me semble légitime que l'Allemagne s'exprime en premier sur ce point. La Suisse est maintenant sous contrôle allemand depuis le 1 juin 1950 soit un peu près 7 mois. Mais nous n'avons pas l'intention qu'elle retrouve son indépendance pour le moment. Les Suisses ont eu ce qu'ils méritaient : après qu'ils aient attaqué le Lieschtenstein, nous leur avons prié de dégager leurs forces armées. Mais ils ont refusé. Dans ce cas pour libérer ce petit pays de la menace suisse, l'Allemagne a déclaré la guerre. Du sang allemand a coulé. Les Suisses se sont battus jusqu'au bout malgré nos propositions qui restaient toujours sans réponse. La Suisse est dans cette état parce qu'elle s'y est mis.
Et jusqu'à nouvel ordre, elle restera sous contrôle allemand. Telle est la volonté de notre Empereur.

L'Impératrice prit la parole à la suite du Chancelier allemand...

-La France soutient l'Allemagne sur ce point. Les Allemands ont versé leur sang, à eux seuls de décider. Et si pour le moment ils souhaitent maintenir la Suisse sous leur sphère comme nous en fait part Monsieur Der Hartman, la discution est close.

L'Impératrice quitta son siège pour dit à l'Assemblée :

-Chère assemblée, il est maintenant venu le temps pour moi de partir, les affaires politiques de la France m'appellent. Ce fut avec conviction qui je m'exprimai à vous tous lors de cette réunion. Monsieur, je souhaite bonne bon courage au Royaume-Uni dans sa fonction présidentielle. Chers membres, au revoir. Monsieur le Secrétaire général, le sujet pour lequel avait lieu cette réunion est clos et ainsi je dois vous quitter. Je vous prie de croire en mes amitiés. Bonne fin de journée.

Puis elle quitta la salle et monta dans sa voiture qui la conduisit à l'aéroport pour prendre l'avion qui la ramena en France.

Le Gouverneur regarda l'Impératrice de France partir. Bien qu'elle la manière dont elle partait n'était pas tellement correcte, elle était excusable car elle avait été très polie.
Puis il revînt au noveau sujet et dit :

-L'Inde estime, pour le bien commun de tous les peuples, que la légitimité la plus fondée est celle qui régit le faite que la Suisse soit dirigée par des Suisses, plus précisément par le Conseil Fédéral qui était jusqu'à alors en exil à Londres. Les Allemands n'ont qu'à proposer leurs conditions et la communauté internationale les étudiera notamment le Royaume-Uni et l'Autriche. Mais visiblement, Monsieur Der Hartman, l'Allemagne semble obstinée à conserver le contrôle sur ce territoire.

-L'URSS ne souhaite pas tellement participer à ce débat mais une chose est claire : selon le principe du droit des peuples à disposer d'eux-même, l'Allemagne doit redonner l'indépendance à la Suisse et je dirai même qu'elle devrait lui verser tous les dommages et intérêts cumulés depuis ces 7 longs mois d'occupation. L'Allemagne aurait le contrôle sur ce pays de manière démocratique, ce serait un fait, mais ce n'en est pas le cas. Les Suisses souffrent, sont arrêtés pour rien, ne peuvent pas s'exprimer librement et surtout doivent payer tous les frais allemands de la zone de la Confédération helvétique.

Ayant fini son plaidoyer, il rajouta tout de même :

-Notre pays libre et démocratique soutient la liberté des peuples et non pas l'impérialisme allemand ou de ses alliés !

Le renplaçant du Chancelier s'exprima à son tour ;

-L'Autriche soutient de tout coeur le projet aboutissant à l'indépendance suisse. Monsieur Der Hartman, que vous apporte ce pays ? Rien si ce n'est qu'une source de tensions et rien d'autre donc pourquoi votre Empereur est-il ainsi obstiné ?

7 Hommes Visiblement arrivé peu de temps auparavant montèrent sur l'estrade ils brandisaient les couleurs national Suisse le premier d'entre eu prit la parole.

Bonjour Messieurs, Je Suis le Président du Conseil Fédéral Suisse en exil, je voudrais répondre ma Monsieur Hartman qu'il est légitime que la Suisse récalme son indépendence nous reconnaisont et en somme navré l'attaque Suisse sur le Lischtenchtein. Nous la Condanon car elle a était déclanchée par une mebres sans scrupule de notre Gouvernement. Nous somme près a écouté les exigences allemande en l'échange de notre indépendence

Le Chancelier se leva et s'exprima de nouveau :

-Messieurs les conseillés fédéraux, je ne peux décider seul de cela. Seul Son Altesse Impériale peut prendre de telles décisions. Mais notre Kaiser m'a laissé un document ici que je viens juste de recevoir.

Un diplomate allemand avait téléphoner à l'Empereur pour lui expliquer le déroulement de la scéance et ainsi l'Empereur avait envoyé ses intentions.

-L'Empereur déclare que je cite : "La Suisse retrouvera son indépendance en échange d'une somme de 10 milliards de dollars. De plus le Gouvernement suisse devra maintenir une armée inférieure à 500 000 hommes jusqu'à fin janvier 1951"

Il déposa sa feuille et restant debout sachant que le réel débat allait commencer...

Bien que cette offres est injurieuse nous ne pouvons que l'accéptée mais ces payement seront effectuer par tranche jusqu'a fin juin 1951. S'est la seule possibilité pour notre pays de réspécter son engagement envers l'allemagne et envers son peuple.

Les Conseillers ne le prenait pas bien mais s'était une unique issue.

Le Chancelier savait bien que sa déclaration allait susciter de vives réactions. Mais il répondit continuant sa voie :

-Oui certes Monsieur mais 5 doivent être payés immédiatement et les 5 autres fin janvier 1951.

Mais nous ne possèdont pas 5 Milliard !!!
Comment allons nous payé ?

Bougre d'âne penssaient les conseillers mais il devaient pour recouvrire leur indépandence accépté cette vision des choses

Le Chancelier répondit poliment malgré la désapprobation visible des conseillers :

-Et bien, je crois savoir que toute la communauté internationale vous soutient mis à part quelques exeptions comme par exemple la France. Donc, demandez-leur de vous prêter les fonds nécessaires. Plus vites ils seront versés, plus vite la Suisse retrouvera son indépendance.

Puis il ajouta, souriant :

-Si tous ces pays qui crient haut et forts qu'ils soutiennent votre cause, donc ils ne verront pas d'inconvénient à vous avancer quelques milliards de dollars..

Le Conseil Fédéral reflechissé et réagi que seul l'Inde et le R-U pouvait être en mesur de les aidés.

Vue l'êtat de leurs comptes nous demandons a l'Inde et au Royaume-Uni de nous aidé financièrement.

Le Conseil Fédéral s'attendais a un refus mais qui ne tante rien n'a rien.

Invité

Le Royaume-Uni est pret a investire 2 Milliarde pour la Suisse.

Le Premier Ministre qui avait remplacer le Roi parler d'argent mais il n'était pas content d'en donner car il savait qu'il reviendrait a l'Allemagne.

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