Visite du président des États-Unis en terre canadienne

Invité

Dans un char d'automobile, j'étais assis à l'arrière de l'auto, avec la présence du président des États-Unis (USA), nous visitions la ville d'Ottawa, capitale du grand pays sous le règne de Sa Majesté le roi George VI. Nous parlions de ci et de çà, sur les paysanges du Canada, etc... Après des heures de visite, on déçidant de rentrer au parlement et ainsi de parler de notre accord de commerce et diplomatique entre les deux pays. Nous nous installions dans la salle où tout les députés siégeaient et je m'installa proche du président. On apportant une feuille imprimée avec le symbole des armoiries canadiennes et il fallait écrire le traîté, lequelle nous allions faire.

- Alors, monsieur le président, nous allons commencer ce dîte traîté, commercial et diplomate. J'espère que nous allons nous faires souvent d'échanges de produit.

- Je pensais commencer en discutant d'accords économiques entre nos deux Etats mais avant j'aimerais mettre quelque chose au point avant d'y voir plus clair : qu'est ce que votre statut de dominion britannique vous empêche de faire au niveau de votre politique extérieure ?

Le Président souhaitait connaitre les limites des accords que le Canada pouvait passer vis à vis de son statut.

Invité

- Et bien, comme je peux vous dires dans ces mots-ci, je peux administré les finances, de ma politique intérieure, à part quelques « règles éthiques de base » imposées par l'entité dominante, et de mon commerce, ici aussi à l'exception des exigences de la métropole. Toutefois, mon territoire ne peut en aucun cas gérer sa politique internationale. Il a droit à une force armée se rapportant en dernier lieu à l'entité dominante, donc celle de l'Angleterre. Enfin bref... il se pourrait que je risque d'y mettre le pays en indépendance face à la patrie, mais pour l'instant, ce n'est pas le cas. En tout cas, cela répond à vous questions, monsieur le Président ?

- Oui cela répond à a question. J'aimerais, comme je vous l'ai dit tout à l'heure, commencer par des accords économiques. Les Etats Unis sont prets à acheter du bois, de l'amiante et de la fourrure.

Invité

- Comme vous le voudrez, monsieur le Président, je suis prêts à vous offrires cela. Alors, si vous le permertez, veuillez écrire votre nom en bas de la page. Ainsi le Canada et les États-Unis s'échangerons ensemble.

- Seriez vous interessé, avant de signer, par d'éventuels produits ou matières premières que possèdent les Etats Unis ?

Le Président souhaitait surtout importer des biens mais souhaitait également en exporter.

Invité

- Exactement, je m'intéresse à ces produits-ci :

- Coton
- Tabac
- Oranges de Floride

- Charbon
- Cuivre
- Acier

Vous voyez ce que je veux dire, Monsieur le Président.
Cela serait un honneur pour que ces produits-ci faisse route jusqu'à chez nous.

- Je en peux vous en proposer que trois afin que les accords soient équitable, comprenez. Voici déjà les trois premiers :

Citation :: Accord commercial Canada - Etats-Unis d'Amérique

Le Canada fournira aux Etats Unis d'Amérique de la fourrure.
Les Etats Unis fourniront au Canada du Coton.

Les exportations / importations se feront en fonction des lois du marché. En aucun une baisse d'importation ne peut être appliquée à la faute de l'une des deux parties.

Sir Wilfrid Laurier, Premier ministre du Canada
William F. Hasley, Président des Etats-Unis d'Amérique

Citation :: Accord commercial Canada - Etats-Unis d'Amérique

Le Canada fournira aux Etats Unis d'Amérique de l'amiante.
Les Etats Unis fourniront au Canada du tabac.

Les exportations / importations se feront en fonction des lois du marché. En aucun une baisse d'importation ne peut être appliquée à la faute de l'une des deux parties.

Sir Wilfrid Laurier, Premier ministre du Canada
William F. Hasley, Président des Etats-Unis d'Amérique

Citation :: Accord commercial Canada - Etats-Unis d'Amérique

Le Canada fournira aux Etats Unis d'Amérique du bois.
Les Etats Unis fourniront au Canada des oranges de Floride.

Les exportations / importations se feront en fonction des lois du marché. En aucun une baisse d'importation ne peut être appliquée à la faute de l'une des deux parties.

Sir Wilfrid Laurier, Premier ministre du Canada
William F. Hasley, Président des Etats-Unis d'Amérique

Invité

- Cela me va parfaitement, Monsieur le Président. Nous vérrons les trois autres prochainement, pour l'instant ces produits-là vont faire l'affaire.

Je signa les trois papiers d'accord d'échange de produit entre le Canada et les États-Unis.

- Et bien tout ceci me semble parfait. Souhaitiez vous aborder un autre sujet ?

Invité

- Pas vraiment, Monsieur le Président, pour l'instant, tout va bien.

- Très bien alors si vous n'y voyez pas d'inconvénients, je vais prendre congé.

Invité

- Comme vous voudrez. Ce fut un moment agréable que vous soyez venue ici.

- Ce fut également pour moi un moment agréable.

Le Président serra la main du Premier Ministre puis quita sa résidence pour retourner aux Etats Unis.

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