Visite du Président de la République Espagnole

Invité

Le courrier de Sa Majestée l'Impératrice avait était un signale pour le Président. En effet, il décida de partir sans attendre pour la France, vaste et grand pays dont la grandeur n'est plus à faire. Le Président désirait parler avec l'Impératrice des relations entre les deux peuples, qui devait selon lui, prospérer et vivre en harmonie. Il espérait donc pouvoir conclure un accord commercial. Un autre aspect de sa visite était également la situation préocupante à la frontiére Nord de la France, où la guerre n'était qu'une question de temps. Il était important que amitié solide soit créer sur base de la confiance et de l'entente cordiale entre les deux chefs d'état.

L'avion du président était déjà partis depuis quelques heures, l'arrivée n'était plus loingtaine.

Le cortège vit l'avion arriver et descendre en douceur sur la piste de l'aéroport. Quelques gendarmes français se mirent en bas de la passerelle pour acceuillir le Président espagnol.

Quelques journalistes étaient présents sur les lieux car cela faisait bien longtemps qu'un chef d'Etat espagnol ne s'était pas rendu en France, et ils avaient estimé que c'était un évènement à couvrir. Surtout que la réunion semblait être prometeuse pour les deux nations qui ainsi allaient s'ouvrir à de nouveaux marchés.

Une hotesse ouvrit la porte de l'avion, et ainsi les gendarmes attendaient que l'homme en descende.

Invité

Depuis son bureau, à l'intérieur de l'avion, le Président enleva ça ceinture. Il dit à son entourage:

Nous voilà arriver en France, pour la première fois dans l'histoire de notre nation, nous arrivons en ami dans un pays que nous ne connaissons pas. C'est un moment important pour l'Espagne et son peuple.

Après ces quelques mots, le Président se dirigea vers la sortie et descendit de l'avion en même temps que deux gardes du corps.

Visite du Président de la République Espagnole ZZapatero

En passant entre le salut des gendarmes français, le Président était très étonné du nombre important du journaliste, il dit quelques mots:

Nous sommes très heureux de l'invitation de l'Impératrice, nous sommes donc là en ami du peuple Français. C'est un moment historique dans les relations franco-espagnol. C'est la première fois qu'un représentant du peuple espagnol fait le pas vers la France. Nous en sommes très heureux. Nous devons y aller, nous ne voulons pas faire attendre votre Impératrice.

Le Président de la République s'engouffra dans la berline qui était quadrillé par des gardes de corps.

Escortée par la Gendarmerie Nationale, le cortège arriva presque une demi-heure après au château de Versailles. Dans les rues de la capitale nombreuses furent les personnes qui posèrent leur regard sur la voiture.

L'Impératrice fut avertie de l'arrivée de la voiture du Président espagnol. Elle s'était elle-même préparée à la recevoir dans les meilleurs conditions. La France devait être digne de ce qu'elle était, surtout que dans les temps qui courent il n'aurait pas été bien d'attirer davantage d'oppinions négatives sur le pays.

Elle sortit de son immense Château, le plus grand du monde peut être, et descendit la cour de marbre de l'avant.

La voiture s'arrêta quelques mètres à peine devant elle.

Invité

Tout au long du trajet le Président essaya de contempler la vue, ce qui n'était pas évident vu l'allure du convoit.

Le Président sorti d'un seul homme hors de la voiture et s'avança devant l'impératrice d'un pas décider et dit :

Je vous salue Madame l'Impératrice.

L'Impératrice, après que l'homme l'ait salué, elle lui répondit :

-Moi de même Monsieur le Président.

Les Gendarme se dissipèrent le temps de la réunion dans le château.
L'Impératrice fit signe à l'homme de la suivre par car dans son bureai ils seraient certainement mieux qu'ici, dehors surtout que la météo n'était pas fameuse
Dans le détour d'un couloir elle lui dit :

-Votre trajet s'est-il passé correctement ?

Invité

Bien, nous étions impatient d'arriver. Nous avons tout quitter pour arriver le plus vite possible.

Le Président suivait l'Impératrice dans les couloirs du Château. Il regardait furtivement les toiles et les armures qui étaient le long des couloirs.

Les deux personnalités étaient enfin arrivées devant le bureau de l'Impératrice. Deux gardes ouvrirent chacun un battant de la porte, laissant ainsi entrer l'Impératrice et son invitée.

-Je vous en prie Monsieur Ramirez veuillez prendre place face à mon bureau sur ce fauteuil.

Le siège était fait de bois exotique et de velours, importé des colonies.
L'Impératrice se mit assise sur son siège, puis un valet amena un plateau de boissons, il y avait l'embarra du choix. L'Impératrice se contenta d'un verre d'eau pétillante.

-Prenez ce dont vous avez envie Monsieur, c'est fait pour ça !

Invité

Le Président un ochement de tête en direction de l'Impératrice et pris de l'eau plate.

Merci, dit le Président à destination du valet.

Je tiens à vous féliciter pour l'arrangement de votre bureau, il es très bien choisit.

L'Impératrice répondit à ceci :

-Merci à vous, je pensais pourtant que cette manière faisait un peu étrange mais à première vue elle a réussi à plaire !

Puis feuilletant quelques documents qui étaient devant elle, elle dit au Président Espagnol :

-Bien parlons affaire. Il me semble que nous étions partie sur l'idée de l'établissement d'un accord commercial si je ne m'abuse.

Invité

Oui en effet, nous serions heureux de pouvoir réussir à importer et à exporter des denrées pour le bien de nos peuples respectifs.

Cela vous semble-t-il possible? En effet, nous serions heureux que nos deux peuples se raproche.

Joséphine répondit à ceci en parfait accord :

-Oui il est évident, nous en convenons.

Sortant une liste d'un de ses tiroirs, s'arrêtant notamment sur le sproduits que l'Espagne ne possédait pas du tout ou non en grande quantité elle dit :

-Je pense qu'il serait convenable que nous nous échangions dans un premier temps des denrées alimentaires telles que du blé pour l'Espagne et du raisin pour la France. Notre pays manque parfois de raisin et nos colonies n'en produisent pas tellement. Quant au blé, nous savons fort bien que certaines années l'Espagne rencontre des difficultés et la France elle produit tous les ans des surplus de grains.

Invité

Cela nous semble parfait. Nous sommes prêt à signer un tel traiter, pour le bien et le respect de chaqu'un de nos peuples. Ce contrat commercial est un signe de la bonne entente entre nos peuples.

Néanmoins, le Prèsident restait précocuper malgré l'accord...

L'Impératrice acquiça donc d'un signe de la tête et ordonna à un secrétaire de rédiger le traité pendant que les Chefs d'Etat continuaient à parlementer.
Joséphine, voyant bien un quelconque dérangement sur le visage de son homologue, lui dit :

-Monsieur, dites-moi, quelque chose ne vous conviendrait-il pas ? car vous me semblez perpexle.

Elle attendait sa réponse...

Invité

Je ne suis pas perplexe, je suis préocupé par la situation actuelle. Vous vous êtes engagué dans une guerre et cela nous préocupe au plus haut point. Avez-vous vu la lettre du portugal demandant une mise en accusation de votre personne et de dirigeant allemand?

Nous ne sommes pas là pour vous juger, nous voulons juste mieux comprendre votre démarche. Une amitié se base sur la confiance. Sachez donc, que nos interrogations vont dans ce sens.

L'Impératrice, peut étonnée qu'ils en viennent sur ce point qui à l'heure actuelle tracasse toute l'Europe, lui répondit :

-Je comprends que vous êtres préoccupé Monsieur Ramirez. Il était de notre devoir de s'engager dans cette guerre car l'Autriche sans cesse nous mettez en accusation pour des faits que nous ignorons. Nous souhaitons défendre notre honneur. L'Autriche perdra cette guerre, j'en suis convaincu.

Quant à la lettre que le Chancelier du Portugal à envoyé au Secrétaire général, je viens à peine d'en être informée. Il demande des sanctions du Conseil de sécurité, mais je ne les crains pas pour une bonne et simple raison : la France fait partie des membres permanents avec droit de veto. Nous y exposerons donc le nôtre.

Invité

Je vous remercie pour ces informations. Nous restons attentif à ce dossier. N'hésiter pas à nous tenir au courant réguliérement des informations nous permettant au mieux d'appréhender votre réalité.

J'aimerai vous signaler que l'Espagne, par mon intérmédiaire, désirerait déposer sa condidature à l'assemblée générale et au conseil de sécurité de l'ONU, nous aimerions connaitre votre avis.

-Je pense que ceci est une exellente idée Monsieur le Président. Faire valoir son envie pour la paix dans le monde est admirable. En intégrant le Conseil, l'Espagne saura se montrer à la hauteur qu'il lui revient de droit.

Le secrétaire avait déjà terminé de rédiger le contrat, un exemplaire étant en Espagnol, l'autre en Français.

Citation :: Accord commercial France-Espagne :

Les deux partie s'engagent à s'échanger ces produits sans taxation supplémentaire et des prix avantageux selon les lois du marché capitaliste.

La France s'engage à livrer à l'Espagne les quantités de blé dont elle a besoin.

L'Espagne s'engage à livrer à la France les quantités de raisin dont elle a besoin.

Fait à Paris
par Son Altesse Impériale de France l'Impératrice Joséphine
par le Président de la République Démocratique espagnole Monsieur Ramirez
le 31 décembre 1950.

Invité

Le Président était très heureux de la réponse de l'Impératrice. En effet, la visite officielle était une réussite parfaite.

Pour la bien de nos peuples, nous sommes d'accord de signer ce traiter commercial. Grâce à votre aide, le vaste et grand peuple Espagnole ne souffrira jamais plus du manque de blé.

Sur le traiter, le Président nota un E majuscule sur République Démocratique espagnole.

Nous souhaitons également connaitre votre avis sur notre volonter de coloniser l'Amérique du Sud. En effet, notre civilisation à besoin de s'étendre et cela nous semble de nous drigiuer vers l'Amérique du Sud, frére de langue et de culture.

L'Impératrice posa son sceau sur les deux versions du traité et sa signature. Elle donan l'exemplaire espagnol à son homologue et rangea le sien dans une pochette.

-Oui je l'espère Monsieur le Président.

Elle but un peu d'eau commençant à avoir la gorge sèche et dit enfin :

-Ceci est une exellente idée Monsieur le Président. L'Espagne pourra montrer ainsi qu'elle est une grande puissance et vous retrouverez votre empire d'antan, c'est une certitude.

Invité

Nous sommes très heureux de pouvoir parler en toute franchise et en toute intelligence avec vous.

Nous vous avons parler de toutes nos préocupations, en avez vous également?

-Non je n'en ai pas d'autre qui me vienne à l'esprit pour le moment Monsieur le Président. Je pense ainsi que nous pouvons en rester là.

Elle se leva et fit le tour de son bureau d'un pas élégant. Elle dit :

-J'espère que ceci est la base d'une solide coopération.

Invité

Je l'espére également. Je vous laisse, je dois réjoindre l'Espagne, des demandes urgentes sont arrivés à mon bureau.

Votre acceuille était digne d'une amitié de longue date, espérons que ce signe est précurseur d'une relation longue et prospére entre nos peuples.

-Je l'espère aussi.

Elle lui serra fermement et le raccompagna jusqu'à sa voiture qui l'attendait devant la porte du Château.

Elle lui fit un dernier signe à son départ pour l'aéroport, en guise d'amitié.

La réunion était terminée et c'était parfaitement passée.

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