Visite d'urgence.....

Dans la matinée , l'avion transportant le Pape se posa à l'aéroport international de Bruxelles. Couvert d'une cape rouge, chapeau rouge sur la tête, il descendit de l'appareil . Il arriva en bas des marches de la passerelle...

La piste fut vide, comment s'attendre à autre chose si personne avait pu faire passer le message d'une arrivée papale. Mais il arriva qu'un des employés de l'aéroport remarqua cette étrange apparence écarlate. Par réflexe elle se mit en contact avec ses supérieurs qui eux contactaient le Gouvernement qui lui, remarquant que ça devait être la fameuse délégation envoya une limousine chercher le Pape pour l'amener au Palais Royal ou on prépara à la hâte une réception.

On avait pas eu le temps de faire tout le protocole, c'est ainsi qu'après avoir été informés par le Pape de son désir de voir le Roi, le Gouvernement céda devant la fixation du Pontife et arrangea une audience dans un des salons du Palais. On fit donc entrer le Pape dans le Salon des Belles Oeuvres qui fut réceptionné par un souverain arraché de son précieux sommeil et un Premier Ministre qui fut en costume mais qui avaient oublié de se libérer de ses pantoufles chose que personne remarqua par chance.

Le Roi brisa donc le silence et dit au Pontife:

- Soyez bienvenu à Bruxelles, Saint-Père. Ayant été informé par votre visite surprise je vous accueille dans ce lieu malheureusement pas avec tous le déploiement que dans une heure plus adaptée aurait pu être possible.

Le pape regarda sévèrement ses interlocuteurs et dit :

- J'aimerai comprendre une chose, que se passe t- il ? J'essaye de vous aider, j'essaye d'éviter le conflit entre vous et la france. Et on me traite des pires des mots qu'un représentant de notre seigneur ne mérite pas. Je n'en tiendrai pas compte, mais j'aimerai qu'on m'explique se qui se passe ? Il y a des choses quo sont louche, on me cache des choses ! Alors, j'écoute !

Le pape regarda le roi et le premier ministre dans le blanc des yeux et attendit la réponse.

Le Premier Ministre regarda le Roi et après le Pape. On pouvait lire sur son visage un étonnement total et une incompréhension de ce que le Pape essayait de dire. Le Roi pour sa part sembla pas comprendre plus. Soucieux d'assurer la bonne ambiance et les relations avec le Vatican il répondit.

- Je ne vois pas dans quel lieu et endroit l'État belge vous aurez traiter des pires mots. Il me semble que notre dernier missive fut plus que dans l'ordre et la tradition de la bienséance?

- Votre ministre des affaires étrangère ma menacer. Et je ne comprend pas pourquoi ? J'aimerai des explications à ce sujet.

Le pape se montrant plus insistant:

- Alors j'attends !

répondit avec un calme glacial, cachant une rage rouge.

- Ah, voila qui est intéressant. C'est étrange car je me demandais bien où avait disparu mon Ministre des Affaires extérieurs. Ah, mais je suis bête, il a dû se sauver à cause de cette histoire de l'ONU.

Parlant toujours au Pape, il dit.

- Mais dites-moi, Votre Sainteté, le Cardinal L. von Louwerz, il est bien un membre de la Curie? Il est vraiment incroyable que par hasard un membre de la Curie qui est secrétaire d'une institution censé d'être laïc et internationale fasse un mandat d'arrêt pour un assassinat de six mille personnes, j'insiste sur assassinat vu qu'un génocide c'est bien au-delà de six mille personnes, sur une personne qui fut les dernières années en prison. Duclak à vraiment dû être un génie pour depuis la prison organiser un tel massacre. Pour les insultes, après mes sources ils vous ont été accordés après l'annonce de son arrestation. Peut-être qu'il avait des bonnes raisons, car on a trouvé une note de sa part avec votre nom dessus. Mais bon, de tout façon, je vais devoir nommer un nouveau Ministre et demander au Ministre de l'Intérieur de lancer une enquête sur ce fameux "génocide".

Le pape regarda son secrétaire d'état et dit :

- Il faudra de tout façon qu'il sache un jour....

Il reprit d'un ton ferme :

- Majesté sachez que le secrétaire général du Vatican est un laïc parmi les laïc, car tant qu'il sera secrétaire général , il ne pourra plus professer son ministère. Cette décision je l'ai prise lors de sa nomination.
La chose que vous ne savez pas et que je vais vous révéler maintenant, Duclak est née en 1895 de Joseph Duclak et Maria Pacelli. Savez vous qui est maria Pacelli ? C'est ma sœur, il est donc mon neveux. Donc je n'aurais donc jamais pu lui faire du mal. Puisqu'il est venu faire c'est étude en Italie et que je l'ai élever comme un père. J'ai même promis à son père sur son lit de mort que tant qu'il me restera un souffle de vie je le protègerai.
Mais la chose que vous n'avez pas l'air de comprendre c'est qu'on essayer d'atteindre la Belgique a travers lui. Je ne verrais pas pourquoi que j'essayerai d'éliminer mon neveux, alors que je veux sauver la Belgique.
Je sais que quelque chose se trame en dessous, mais je ne sais pas quoi.
Voila maintenant vous savez tout, ce que vous devez savoir.

Baudouin peu convaincu par les argumentations du Saint Père lui dit.

- Vous savez, le fait qu'il soit votre neveu m'assure point. Les liens familiaux dans le monde politique n'ont aucun point. Aucun, je vous dis.

Il ajouta.

- Mais bon, vous avez raison dans le point qu'on essaye d'atteindre la Belgique à travers lui car à cause de cette histoire de massacre qui n'a aucune preuve et qui est dépourvu de tout réalisme nous sommes à la veille d'une éventuelle guerre contre les Etats-Unis. Et oui, dans le moment où nous parlons dix milles soldats américains sont en vol vers notre pays et je ne vous parles pas des problèmes diplomatiques qui vont avec, la Belgique est diplomatiquement plus faible que jamais depuis l'indépendance.

Le pape répondit un peu plus fermement :

- La chose que vous ne comprenez pas ce n'est pas une affaire de politique, mais de diplomatie, imaginez ? Si on apprendre que non seulement qu'il est mon neveux , mais que de plus vous le protéger , que l'état belge le protège ?

Vous n'avez pas l'aire de saisir la gravité de la situation, ce n'est pas seulement la Belgique que l'on veut faire tomber mais le Vatican aussi. Car nous sommes le dernier rempart avant de faire tomber la Belgique. Il fait donc une pierre deux cou.

Baudouin fatigué de cette discussion répondit.

- De toute façon, je vais nommer un nouveau Ministre et pour cette soi-disant affirmation qu'on protégerai Duclak, elle est erronée dans le fait que nous ne savons pas ou il est, qui l'aide et de toute façon, n'avons pas les moyens de découvrir ou il est.

Venant à la dernière affirmation du Pape il dit.

- Oui, ceci vous pouvez bien dire. Depuis l'annonce de l'ONU la Belgique se trouve devant le gouffre. Pour le Vatican, je vois mal comment il tomberait, vu qu'il ne cesse d'étendre son influence sur le Monde.

Le pape regarda de nouveau sont secrétaire d'état, puis regarda le roi et dit :

- C'est justement pour sa , qu'on veut nous éliminer c'est parce que nous sommes influent, parfois un peu trop.

Puis il repris par :

- Majesté, je ne veux aider que la belgique, je me bas pour essayer de trouver une solution à ce conflit. Si vous voulez je peux allez voir l'empereur des Etats - Unis.
Mais pour l'instant, il faut savoir ou est Duclak, et nous l'enverrons dans lieu que seul moi et vous connaitrons. Car si l'ONU lui met la main dessus nous sommes foutu, vous et moi.

Baudouin avait grande envie de lâcher une mauvaise blague,mais il se retenait. Fallait dire que ce Pape était vraiment un homme assez spécial. Pas du tout de son temps, mais bon, ceci fut une qualité fort répandue dans l'Église catholique. Il préféra donc se taire sur la paranoïa du Pontife et de venir à un sujet plus important, l'affaire Duclak.

- Pour Monsieur Duclak, je laisserai la police belge s'en charger de l'affaire qui mènera une enquête approfondie sur le sujet pour primo trouver Monsieur Duclak et dans un seconde temps de confirmer ou non si les accusations dont l'ONU fait promulgation sont vrais car pour le moment l'État belge n'a aucun zèle de satisfaire les exigences d'une institution avec laquelle la Belgique n'a aucun lien. Je refuse donc votre idée car en tant que Roi je suis tenu à obéir sans aucune hésitation à la Constitution de notre pays et donc se seront les instances civiles de s'en occuper. Pour ma part je doute fortement de me voir menacée en tant que personne ou mon pays par le fait que l'ONU puisse mettre main à Monsieur Duclak. Pour vous, je ne sais pas qu'elle est votre implication dans cette affaire, donc peut être que vous êtes menacée par des éventuelles aveux de Monsieur Duclak sur ce soi-disant "génocide".

Il voulut arrêter quand soudainement il se souvenait d'avoir presque oublier quelque chose de vital. Il ajouta donc.

- Entre autre, je voudrais vous demandez de faire abstinence dans l'affaire entre les États-Unis et la Belgique car pour le moment le Vatican à déjà fait assez.

Le pape répondit alors :

- Je n'ai pas peur de ce qu'il pourrai dire mon neveux, car je vais vous le dire, il est venu me voir, il y a de sa un mois, pour intercéder pour la Belgique auprès de l'ONU. Pour le reste, si vous ne voulez de notre aide très bien. Nous n'interviendrons plus dans cette affaire, mais ne crier pas au scandale,s'il les américain rase la Belgique.

Le pape le regarda dans les yeux et dit :

- Vous ne m'aimer pas, n'est ce pas ? Car vous me prenez pour un pape de l'ancien temps enfermer dans son palais à vomir des paroles. Non, ce n'est pas le genre de la maison.
Vous vous prenez pour un grand roi. Sachez que je vous trouve assez naïf, si Duclak est pris, la Belgique sera couler en deux temps trois mouvement, et je vous parle même pas des conséquence pour le Vatican.
Vous n'avez pas l'aire de comprendre que c'est bien plus que de la politique ou de la diplomatie, il s'agit ici d'espionnage, des choses, dont j'ignore sont en jeux. De grande puissance sont derrière.
Sur ce, je m'en retour à Avignon, et vous laisse dans votre utopie. Vous n'avez pas l'aire de comprendre qu'on ne dirige pas toujours un état sur la scène, mais aussi dans les coulisses.

Le pape ne voyant pas répondre le roi, se leva et le regarda, et vit que c'était un homme très sincère dans ses propos, mais très innocent quand il s'agissait de gérer un état. Il était très soucieux et très inquiet pour ce roi qui n'avait pas conscience de ce qui se tramais derrière. Le pape avait sa petite idée la dessus, mais en était pas sur. Il fallait absolument qu'il retrouve son neveux, car s'il était arrêter; les juges sortirai leur preuve tel des loups affamé. Ces preuves serai fatal pour la Belgique et ainsi que pour le Vatican.. Le pape se doutais quelqu'un ou quelque chose voyait d'un très mauvais œil l'indépendance de la Belgique, mais qui ?. Et le faite que le Vatican intervenait représentait un obstacle. Le pape allait tout faire pour essayer d'éviter le pire.....

Baudouin voyant que le Pape voulait partir, fit un signe aux gardes pour conduire le Pape hors du Palais et de là vers l'aéroport avec l'aide d'une limousine noire que l'État mit à disposition du Pontife.

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