Guerre Belgique-Inde

Le Royaume de Belgique était rentré en guerre aux côtés de la France depuis déjà quelques jours. Même si les enjeux de la guerre ne furent pas directement en faveur de la Belgique, Baudouin avait su convaincre le Parlement que l’entrée en guerre ferait que renforcer l’Entente signée et donc les liens amicaux avec la France. Entre autre, cette guerre fut parfaite pour imposer la Belgique au plan international et donc d’apporter à la Belgique la Gloire de se battre. Ces arguments avait su convaincre et immédiatement on avait avec l’aide de la France construit des chantiers navals et une flotte permettant à l’armée belge de venir en soutien à la France.

Depuis les ports belges, cinquante transporteurs et six sous-marins se mettaient en chemin vers l’Orient avec l’itinéraire de contourner l’Afrique car l’Egypte fut en main anglaise et donc impassable avec tant de troupes. En plus, le fait que la France possédait des grandes parties de l’Afrique permettait de ravitailler aisément les cinq cent milles hommes transportés. C’est ainsi que beaucoup d’heures plus tard la flotte belge arriva dans les eaux indiennes à quelques kilomètres de la ville de Mumbai. Le plan fut simple, envahir l’ouest de l’Inde pour forcer l’armée indienne de se retirer de l'est de l'Inde. Le but fut de permettre aux colonies asiatiques de la France d’avoir son front ouest libre et donc de s’acharner sur le Vietnam et l'achever sans être dérangé et aussi de pouvoir plus tard s’occuper de l’Inde plus facilement vu que l'Inde devra se battre sur deux fronts.

A l’aube les sous-marins belges s’avançaient donc et les transporteurs entamaient d’accoster aux plages pour faire débarquer les hommes au plus vite. Cinq cent mille hommes s’écoulaient ainsi dans la région de Mumbai. Une fois le débarquement fait, les transporteurs et les sous-marins repartaient en direction du Cap de la Bonne Espérance et de la vers l’Europe. Les troupes s'organisaient et l'armement fut mit en place pour entamer la marche sur Mumbai.

La Première Armée belge avait après plusieurs heures de manœuvres enfin encerclé Mumbai. La grande ville indienne fut une ville clé dans la conquête des Indes vu qu’elle fut le plus grand port du pays et donc la plus aisée pour faire embarquer et débarquer du matériel en provenance d’Europe. Vers la soirée, on sonna l’attaque et la Première Armée prit d’assaut la ville. A la grande surprise, la résistance fut presque nulle, par l’absence de troupes et une population apeurée par une armée européenne moderne et rapide. Le centre fut donc vite atteint et on pu prendre possession après un rude combat avec la garnison de la ville les forts et bâtiments administratifs du Mumbai. La ville tomba ainsi, sans donner plus de résistance, ouvrant ses greniers et arsenaux à l’Armée belge.

En même temps, la flotte belge avait permit d’acheminer deux fois cinq cent mille hommes qui débarquèrent aux côtes de la province d’Ahmadabad. La Seconde Armée prit ainsi le chemin vers la ville d’Ahmadabad et la Troisième marcha vers Nagpur. Après la chute de Mumbai, la Première Armée quitta la ville après avoir y laisser une garnison importante pour se mettre en marche vers Hyderabad.

Dans le Quartier Général des Opérations Asiatiques qu’on avait installé dans un des forts de Mumbai, l’État-major pouvait que se féliciter du déroulement des opérations. Jusqu’à maintenant l’Inde avait donné que peu de résistance et si ceci continuer ainsi, elle n’aurait plus les moyens de faire vu que les grandes viles seront en main du Royaume de Belgique. On n’avait pas l’intention de conquérir chaque bout de terre de ce subcontinent mais de contrôler les grands centres et villes pour ainsi établir la main mise sur l’arrière-pays, un stratégie qui sembla moins gourmande en hommes et matériel pour contrôler les territoires conquis.

Invité

Le Gouverneur général de l'AOF avait reçu l'immense honneur de diriger les opérations militaires françaises en Inde par l'Impératrice de France elle-même. En échange d'une victoire, la France augmenterait son aide financière à l'Afrique.

Par les navires français, l'AOF envoya 500 000 hommes vers l'Inde dans un premier temps. Leur objectifs était Calcutta. Ils accostèrent à quelques kilomètres de la ville. Le Gouverneur envoya 1 000 grands chars sur le front d'Inde qui débarquèrent devant les soldats. Les ordres de Paris étaient clair : la ville devait tomber le plus rapidement avec le moins de dégâts possible. C'est ainsi qu'une troupe de 20 000 hommes investit la ville avec l'aide de 150 grands chars d'assault. L'armée indienne était en déroute, la ville tomba aux mains des Français.

Il y a encore quelques mois de cela ce grand et beau appartenait au Royaume-Uni, qui le protégeait et savait en faire une grande nation. Mais depuis qu'ils avaient voulu l'indpendance, qui par ailleurs leur fut accordée, c'était un vrai désastre économique. La nouvelle armée constituée n'avait aucune expérience sur les champs de bataille.

Des camps furent établis autour de la ville de Calcutta. L'armée distribua nourriture et autres nécessaires de vie à la population. L'objectif était de bien se faire voir car les autorités françaises souhaitaient avoir le soutien des populations du pays.

Quelques jours plus tard la Deuxième Armée avait atteint la ville d’Ahmadabad, la Première Hyderabad et la Troisième Nagpur. Vu de la situation politique qui avait aujourd’hui évoluée en une nouvelle guerre mondiale, le Royaume de Belgique décida d’accélérer les opérations pour pouvoir vaincre l’Inde et ainsi mettre un terme à une menace car la France venait de déclarer la guerre au Brésil, et donc il fallait vite récupérer les troupes qui ne furent pas indispensables.

C’est ainsi qu’on lança l’assaut sur les trois mégapoles indiennes, battant la garnison en premier lieu dans les faubourgs pour les forcer à se retirer vers le centre-ville ou ils furent vaincus par une armée belge moderne et bien équipée grâce à l’argent de la France. La victoire fut écrasante et l’État-major ne pouvait presque pas croire à la facilité des opérations. Il semblait que Dieu fut avec eux. Un fait qu’il était indispensable de profiter.

C’est ainsi que le Royaume de Belgique envoya la Première Armée en direction de Madras pour ainsi soumettre le Sud de l’Inde. Les deux autres Armées se mettaient en marche vers le Nord, pour pousser la dague dans le cœur du Grand Tigre. Un million d’hommes furent ainsi en marche vers Delhi pour soumettre la capitale indienne et ainsi achever la guerre une fois pour toute. Mais soucieux d’assurer que la France garde le control des opérations, les généraux belges décidèrent que la Belgique n’entrerait pas dans la ville mais tiendrait autour d’elle siège. On envoya donc un télégramme aux généraux des troupes françaises à Calcutta pour les inciter à marcher au plus vite sur Delhi pour que la France fasse son entrée dans la capitale indienne et ainsi conclut la guerre qu’elle avait commencée. Pour que tous ait son ordre, car le Royaume de Belgique n’avait aucun intérêt de fâcher son allié français, bien au contraire.

Invité

Le nombre de soldats afraicains se battant sous les drapeaux de la France en Inde était maintenant de 2 millions. La majorité du pays était sous contrôle français ou belge.

Les Bleges faisaient preuve de beaucoup de courtoisie dans cette affaire, laissant les armées françaises entrer dans les grandes villes. C'est maintenant 2 armées, côtes à côtes, qui se dirigeaient vers Dehli, l'assault final sur le pays. Les combats n'avaient jusqu'à présent pas été trop rudes tellement les pays européens étaient équipés face à l'Inde. Ce pays ne devait pas comprendre le but de la France, qui était de leur venir en aide, et non de les réduire en esclavage comme pouvaient le crier certains envieux, notamment des pays communistes. Paris voulait limiter les dégâts en Inde pour prouver sa bonne fois quant à sa mission bienfaitrisse. Bruxelles l'avait comprit également, et les soldats belges se battaient tels des héros et non comme des personnes sanguinaires comme l'on retrouve dans les armées communistes actuelles.
En territoire contrôlé, les populations recevaient de la nourriture, la France s'activait d'ores et déjà à construire hôpitaux provisoires et écoles de campagne. Mais sa mission irait bien plus loin.

Ce n'était pas contre le peuple indien que l'alliance franco-belge se battait, mais contre le gouvernement autoritaire et sanglant qui tenait d'une main de fer, où s'entremêlaient jugements arbitraires et exécutions. La France s'était donné le devoir de délivré le peuple de ce joug tyranique.

L'Armée impériale française et l'Armée royale belge étaient maintenant aux portes de Delhi. Mais Paris ne souhaitait pas engager les combats pour le moment, il valait mieux tanter de discuter car le gouvernement tyranique devait se rendre à l'évidence : la défaite était inévitable.

Les généraux français recommandèrent à leur allié d'attendre avant d'attaquer.

Invité

Finalemet, il n'y eut pas besoin d'attaque sur le reste du pays. Le Gouvernement autoritaire capitula et laissa les Français mettre la main sur le pouvoir. Le peuple se partagea ente déception et enchantement. D'un côté l'indépendance fut de nouveau perdue, ils passèrent des mains des Anglais à celles des Français, mais de l'autre côté l'Armée français distribuait de la nourriture alors que de nombreuses familles ne pouvaient pas se nourrir. Cela était une grande avancée qui ne pouvait que réjuir les mères qui de fait pouvaient nourrir leurs enfants.

Les décisions pour le statut de l'Inde seraient prises dans les temps à venir par l'Empereur français. Pendant cette période, le pays serait sous contrôle militaire.

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