Reunion avec l'Impératrice française

Invité

Johan Wellington arrivait après avoir franchit plusieurs zones horaires avec l’avion dans la capitale française, Paris. Depuis le ciel il avait déjà pu concevoir la fameuse Tour d’Eiffel qui était à l’heure actuel le plus grand symbole de la France du 20ème siècle. Une France Impériale faisant revivre l’ère du Second Empire de Napoléon III. Une France sans les éternelles problèmes politiques du aux nombreux partis, une France unie et forte. Rien comparer à la France de la première moitie du 20ème siècle qui été saignée par les querelles internes.

Quittant l’avion Johan Wellington pu respirer l’air parisienne, une air de culture. Prenant un taxi il fut conduit à travers les rues de la capitale en passant par les champs de l’Elysée pour sortir de la ville et se diriger vers la petite ville de Versailles ou siégeait le majestueux palais du même nom.

C’est là ou il fit arrêter le conducteur et payer sa dette en sortant de la voiture pour après de diriger vers le palais. Pénétrant dans la Cour il monta les escaliers et entra dans le palais qui servit comme siège à la souveraine de l’empire français. Voulant permettre aux autorités de le recevoir il annonça son arrivé au secrétariat.

La Secrétaire se leva de son siège et alla salua l'homme qui venait d'arriver. C'était Johan Wellingtonn, un homme politique australien. Souriante elle lui dit :

-Monsieur, je vous prierai de me suivre je vais vous conduire au bureau du Premier Ministre qui a pour tâche dde vous accueillir car Son Altesse Impériale est en réunion à New-York au siège de l'ONU.

En temps normal le Premier Ministre siègeait à Matignon mais dans les circonstances, en effet l'Impératrice lui avait dit de venir à Versailles, la réunion aurait lieu ici même.
Il arrivèrent devant une grande porte et la femme l'annonça au Premier Ministre.

-Faites le entrer !

Il se leva pour le saluer, il venait d'entrer dans le bureau.

Invité

Le diplomate Johan Wellingtonn s’approcha du Premier Ministre et lui salua donc :

-Monsieur le Premier Ministre, c’est pour nous un très grand plaisir même si Son Altesse est absente, de pouvoir être reçu par votre personne. Nous souhaitons que cette discussion puisse apporter prospérité à nos deux nations.

Le Premier Ministre français serra donc la main de son invité.

-Pour nous également Monsieur c'est un plaisir de vous recevoir. L'Impératrice n'a pas pû elle est actuellement en réunion à New-York.

Puis il l'invita à s'asseoir et il proposa un verre.

-Puis-je vous servir quelque chose Monsieur ? Nous avons ici de tout !

Invité

Johan Wellingtonn à la demande répondit en souriant:

-Oui, si c'est possible nous voudrions goûter un verre de vin de la région de Bourdeaux.

Un verre fut donc versé à l'homme posé devant lui sur une serviette.

-Je crois savoir que vous êtes ici pour que nous signons d'éventuels accords entre nos deux nations.

Il sortit un dossier du tiroir bas gauche de son bureau qu'il posa devant lui.

Invité

Johan Wellingtonn voyant le Premier Ministre sortir un vieux dossier lui répondit:

-C’est exact, le Commonwealth de l’Australie voudrait créer un accord commercial entre la France et soi-même dans le but d’entamer avec ceci une prospérité réciproque. Cette accord devrait permettre de nouer des liens économiques plus intenses entre nos deux nations.

Le Premier Ministre ouvrit le dossier et sortit quelque feuilles et répondit :

-Très bien j'en conviens fort bien et quelles sont vos perspectives d'accord entre nos deux pays, Monsieur ?

Il bit une gorgée lui d'un simple verre d'eau car il avait chaud puis il se servit un verre de vin, le^même que son invité.

Invité

Le Diplomate but une gorgé de vin et après ceci répondit au Premier Ministre en sortant une liste de son porte-document:

- Pour le traité commercial entre nos deux nations le Commonwealth de l'Australie vous propose de vous vendre de l'uranium, du charbon, de l'acier, du céréale, des bois, du poisson et des crustacés, du fer, de la viande de bœuf, du lait, et des voitures de marque australienne. Pour les importations de notre part nous attendons vos propositions.

Le Premier Ministre français, qui avait écouté attentivement les propositions de son ôte lui répondit :

-Monsieur, nous sommes d'accord pour ce qui est de l'uranium, du charbon, de l'acier,du poisson et des crustacés, du fer, et des voitures de marque australienne mais pour le reste l'Empire se suffit amplement à lui-même surout dans les céréales.

Il observa sa feuille qu'il avait sorti au début de la réunion puis donna sa réponse :

-La France quant à elle vous propose des avions, des voitures de marque française, nous ne vous proposerons pas de céréales car vous en possédez déjà, des produits de luxe notamment dans le textile et la parfumerie, de la volaille et du porc, ainsi que des produits alimentaires finis conservés et de l'acier tranformée.
Qu'en pensez-vous ?

Invité

Johan Wellingtonn écoutait le Premier Ministre français et en feuilletant quelques documents rapidement il répondait à son homologue après s’avoir fait un bref aperçu des autres importations et production de l'Australie :

-Monsieur le Premier Ministre, nous sommes très intéressés par vos propositions surtout nous sommes intéressés par l’importation de voitures de marque française, de textile et de parfumerie de luxe. En ce qui est du alimentaire nous sommes très bien servit mais par contre nous avons un manque en forme de produits de luxe comme du vin français, du champagne et de fois gras qui font tous la réputation de votre pays et donc pour lesquels l’Australie se montre très intéressé.

Le Premier Minsitre analysa sa proposition qui lui convenait parfaitement.

-Disons donc que l'Australie livrera à la France de l'uranium, du charbon, de l'acier,du poisson et des crustacés, du fer, et des voitures de marque australienne et la France quant à elle livrera à l'Australie des voitures de marque française, de textile et de parfumerie de luxe, du vin français, du champagne et du fois gras qui font notre réputation comme vous dites !

Il prenait quelques notes sur un morceau de papier..

-Donc disons que tous les deux sommes d'accord sur les produits à échanger !

Invité

Johan Wellingtonn très heureux de que le Premier Ministre se montre coopérative répondit:

-Monsieur le Premier Ministre. Nous sommes également d’accord avec votre proposition. De ce fait nous voudrions vous apporter notre idée de la constitution du traité commercial entre nos nations.

Le diplomate sortait ainsi de son porte-document une proposition de traité et le donnait au Premier Ministre de France.

Citation :: Traité Commercial entre l’Empire de France et le Commonwealth de l’Australie

Article I : Les deux partis s’engagent à un échange commercial régulier et équitable des deux partis.

Article II : Le Commonwealth de l‘Australie s’engage d’assurer la transmission commerciale d'uranium, de charbon, d’acier, de poisson et de crustacés, du fer et de voitures de marque australienne à l’Empire de France d’une manière régulière à des prix constant et libre de taxations supplémentaires que ceux présent à l’entrée en vigueur du traité.

Article III : L’Empire de France s’engage d’assurer la transmission commerciale de voitures de marque française, de textile et de parfumerie de luxe, de vin français, de champagne et de fois gras au Commonwealth de l’Australie d’une manière régulier à des prix constant et libre de taxations supplémentaires que ceux présent à l’entrée en vigueur du traité.

Article IV : Le traité pourra être annuler qu’avec du consentement mutuel ou après le passage de dix ans. Un prolongement du traité peut être négocier.

Le Premier Ministre lu le document que son homologue lui proposa. Il était parfait et lui convenait à merveille mis à part ce qui était de l'article IV. Il lui dit donc :

-Monsieur, ce document est parfait mais néanmoins un point, l'article IV, me chagrine. Il ne me semble pas convenable que de telles modalités soient présentes pour rompre l'accord. Je pense que chacun devrait avoir librement le choix de rompre le traité quand cela lui plaît.

Invité

Voyant l'article en question qui posait des problèmes au Premier Ministre français Johan Wellingtonn lui répondait en lui donnant une nouvelle version du traité corrigée:

-Bien donc Monsieur le Premier Ministre, je comprend votre problème avec l'article en question et de ceci je vous propose les suivantes modifications au traité proposé.

Citation :: Traité Commercial entre l’Empire de France et le Commonwealth de l’Australie

Article I : Les deux partis s’engagent à un échange commercial régulier et équitable des deux partis.

Article II : Le Commonwealth de l‘Australie s’engage d’assurer la transmission commerciale d'uranium, de charbon, d’acier, de poisson et de crustacés, du fer et de voitures de marque australienne à l’Empire de France d’une manière régulière à des prix constant et libre de taxations supplémentaires que ceux présent à l’entrée en vigueur du traité.

Article III : L’Empire de France s’engage d’assurer la transmission commerciale de voitures de marque française, de textile et de parfumerie de luxe, de vin français, de champagne et de fois gras au Commonwealth de l’Australie d’une manière régulier à des prix constant et libre de taxations supplémentaires que ceux présent à l’entrée en vigueur du traité.

Article IV : Le traité pourra être annuler à tout moment par un des partis ou après le passage de dix ans. Un prolongement du traité peut être négocier.

Le Premier Ministre, qui avait relu le document, n'y voyait plus aucun problème.

-Il me semble maintenant que tout est convenable Monsieur. Je vais donc signer !

Puis il prit un stylo à plume qui était dans son pot, poser sur son bureau, et signa le document.

Invité

Johan Wellingtonn prit à son tour le document et le signa avec l'aide d'un stylo noir qu'il sortir de poche interne de son veston. Ceci fait il dit:

- Monsieur le Premier Ministre, nous sommes ravis de cete collaboration économique entre nos pays. Avez vous quelque chose dont vous voudrez parler, Monsieur le Premier Ministre ou cette recontre s'achève avec ceci?

-Je n'avais pour but avant cette réunion iniquement que de traiter d'un accord commercial entre nos deux nations mais il semble que, si vous n'y voyez aucun inconvénient, que nous pouvons traiter d'un autre sujet.

Il sortit une autre feuille de son dossier laquelle il regarda rapidement...

-Je voulais vous posez une question : comment votre Gouvernement voit-il le fait que le Royaume-Uni mène des recherches nucléaires ?

Invité

Johan Wellingtonn prit le traité commercial et le rangeait dans son porte-document. Ceci fait il répondait au Premier Ministre:

- Le Gouvernement du Commonwealth de l'Australie defend la position que chaque pays qui possède le minimum réquis de bases démocratiques à le droit de faire des recherches sur l'énergie nucléaire et si ceci est sa volonté et ceux de ses voisins aussi sur l'armement nucléaire quand le temps semble être venu.

-Notre Gouvernement pense pour le moment que l'embargo fait contre l'Angleterre doit immédiatement cesser car ceci nuit gravement l'industrie australien et porte atteinte à la stabilité du Monde. Nous pensant en plus que l'heure pour l'Angleterre de s'armer nucléairemnt n'est pas encore venu et qu'il serait préférable d'atteindre encore un certain moment avant qu'elle continue ses recherches.

Il lui répondit avec conviction :

-Votre avis est honorable Monsieur mais en partie il est très différent du nôtre car sachez que l'Impératrice a bel et bien l'intention de maintenir l'embargo sur le Royaume-Uni pour faire pression. Son Altesse envisage également d'autres moyens mais pour le moment ils ne sont qu'à l'étape théorique et surtout ils sont secrets !

Il rangea les quelques documents qui se trouvaient sur son bureau puis parlait en même temps...

-Je pense que l'Allemagne sera faire le nécessaire grâce à son titre de première puissance mondiale pour peut être faire plier le Royaume-Uni mais celui-ci semble bien décidé à maintenir ses recherches et le Gouvernement allemand ne souhaite s'engager dans une guerre contre lui. Fort heureusement, les Etats-Unis, le numéro 2 de ce globe, soutiennent l'Empire d'Allemagne tout comme la France.

Invité

Johan Wellingtonn qui entendait la déclaration du Premier MInistre répondit à celle-ci légèrement inquiet:

- Nous sommes personellement convaincus que l'embargo émis contre l'Angleterre ne pourra pas favoriser les discussions qui se déroulent aux Nations-Unis dans le sens que la France et l'Allemagne peuvent l'espèrer. Nous pensant que ce conflit doit par tout moyen être résolu par la plume et diplomatie que par les armes. Nous sommes convaincus que la France peut avec son influence permettre d'éviter un conflit inutle , sanguinaire, coûteux en vie humaines et que le premier pas après noue est de lèver l'embargo pour montrer la bonne volonté à l'Angleterre et favoriser des négociations.

Le Premier Ministre n'était pas étonné dans un certain sens que l'Australie soutiennent indirectement le Royaume-Uni faisant partie du Commonwealth...

-L'influence de la France dites-vous ? Je le conçois bien mais pour cela faudrait-il encore que la France décide d'adopter cette politique et non pas une autre. L'Angleterre est très déterminée dans ses recherches et les maigres discutions qu'il y a pu avoir jusqu'à présent ont clairement montré que le Royaume-Uni est obstiné dans ses recherches et que dans aucun cas il est prêt à les arrêter.

A l'heure actuelle la France n'avait pas encore de grands moyens militaires matériels mais bientôt si et elle pourrait faire entendre clairement sa voie...

Invité

Johan Wellingtonn qui souhaiter pouvoir convaincre le Premier Ministre de pas engager une guerre évitable répondit:

- Nous comprennons complètement votre position mais nous voudrions juste demander à l'Empire de la France que celle-ci puissent en faire usage de sa puissance diplomatique pour éviter le pire et si possible une guerre car une guerre en Europe aurait des graves consèquences pour le reste du Monde.

Il lui répondit :

-Ceci l'a déjà était démontré deux fois Monsieur me semble t-il avec les deux guerres mondiales mais je ne pense pas que cela puisse recommencer. Une guerre à l'heure actuelle ne s'étendera pas au reste du monde mis à part si le Royaume-Uni fait intervenir les membres du Commonwealth. Et puis l'Europe n'est plus ce qu'elle était avant : aujourd'hui de grands empire ont vu le jour comme l'Empire de France ou l'Empire germanique qui annexent toutes les puissances avoisinantes.
Mais j'espère ainsi vous rassurer : la France, actuellement, n'a pas en perspective de déclarer la guerre au Royaume-Uni si celui-ci maintient ses recherches !

» Réunion du chancelier autrichien avec le Roi
» L'Indochine française
» Armée Française
» Flotte française
» Réunion