Rendez-vous avec le Camarade Staline

Il était 11H30 à Moscou, Vladimir savait que le Camarade Staline était en train de manger mais il éstimait que c'était le seul moment ou il pourrais lui parlais, il entra dans la salle a mangé de se dérnier et s'annonca. Il attandais que le Camarade l'invite à s'assoire.

Le Camarade Staline vit un de ses généraux arriver, dans sa salle à manger. Quoi donc de plus plaisant que de partager son repas avec lui, pour montrer que c'était un homme que l'on pouvait appréçier.

-Voyons donc, Camarade, prenez place à ma table et servez-vous donc. Les plats sont là pour ça.

Il lui souria, mangeant de ses légumes, en lui faisant signe de s'asseoir juste à sa droite.

-Qu'est-ce donc qui vous amène ici, Camarade Romanov ?

Vladimir s'assit la ou le Camarade Staline l'y invita.

C'est un plaisire pour moi que de manger avec vous camarade.
Ce qui m'amène est que j'avait quelque propisition à vous faire.

Il se sérvit de salade puis après de viande et de vin.

Tout d'abord vous ne sauriez pas ingorez que notre peuple vit dans la terreur d'une invasion allemande bien sur pas très grande mais quand même présente, et je pense qu'il on besoin de se confier à quelqun, c'est pour cela que je vous propose de réaccordé la libérté a l'église Ortodoxe. Bien sur ceci n'est qu'un proposition et bien sur elle remonterais le moral de notre population et aussi votre popularité.

Ensuite il commanca à manger sa viande.

Le Camarade Romanov regarda le Camarade Staline,

Très bonne cette viande. D'ou vient-elle ?

-Cette viande vient de nos grandes fermes du Sud.

Puis il en vînt au sujet qu'il avait énoncé :

-Ceci est à envisager, Camarade, il va falloir que j'étudie cette proposition. Mais sachez que en ce moment même des pourparlers secrets ont lieu avec l'Allemagne qui nous offrirait des avantages considérables si nous nous rallions à sa cause. Bien sûr notre discution doit rester secrète, étant classée secret d'Etat.
Si nous étudions la chose, l'Allemagne et l'Union soviétique ont le même but. Chacun de nous cherche à étendre sa sphère d'influence. Et nous savons bien tous les deux qu'il nous serait impossible de nous battre et que l'un ou l'autre de nous gagnons sans des dégâts colossaux. La meileure solution est peut être que nous nous rapprochions vu la conjoncture actuelle. Qu'en pensez-vous ?

De mon point de vue je me méfie de l'allemagne je n'ai pas confiance en se pays, et je pense que cet état d'esprit est dans toute les Datcha Soviétique, pour des raison qui nous sont bien connue. Et dont vous ne pouvais nié l'existance.

Il l'avait d'un ton grave d'une part la peur de la réaction du camarade Staline et de l'autre le sentiment que lui inspirait l'allemagne.

-Je comprends Camarade. Nous devons nous préparer à toutes les éventualités, c'est vrai, et l'Allemagne nous a déjà jouer des mauvais coups, elle pourrait très bien recommencer. Mais je peux vous dire ce qu'elle nous propose : une somme de 10 milliards de dollars ! Imaginez tous les avantages que cela nous apporterait ! Il faut que la proposition de l'Allemagne soit réfléchie et correctement étudiée, car elle est tout de même très avantageuse.

Elle est avantageuse comme l'avait été l'offre de 1939, La Pologne, La Lituanie, La Létonnie et l'Estonnie, la Bessarabie et des zone de la Finlande. Que nous avons accépté et 2 ans plus tard, quel troupe marcher sur notre mère patrie, quel aviation pilloner nos usine et nos ville ?

-C'est vrai, mais le Gouvernement a changé. Je pense que à l'heure actuelle c'est la meilleure solution pour l'URSS, car nous ne sommes pas prêts à engager une guerre contre l'Allemagne.

Quoi qu'il en soit, ma décision a été prise, et je vous demanderai de rencontrer le Chancelier allemand à Varsovie. Acceptez-vous ?

Et bien si tel est votre décision, je ne peut rien fair mais je vous demande quand même de prendre en compte mes mise en garde car se peuple même si vous l'apréciez n'ai guer plus qu'un pays capitaliste.

Je rencontrerais, bien que la foi et l'envie n'y est pas, le chancelier allemand.

-Je vous remercie, Camarade, vous ferez avancer l'URSS d'un grand pas.
Après la victoire de l'Allemagne, nous pourrons envahir les territoires affaiblis par la guerre, et ainsi nous serions les plus grands bénéficaires de cette guerre, car l'Allemagne elle aussi serait affaiblie, c'est inévitable.

Si vous le dites Camarade. Mais si vous vous trompez ? qu'arrivera-t-il ? L'URSS ne pourrait subire une seconde trahison sans que le peuple ne réagisse.

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