Visite officiel de sa sainteté ...

Dans la matinée , l'avion transportant le Pape se posa à l'aéroport international de Paris. Couvert d'une cape rouge, chapeau rouge sur la tête, il descendit de l'appareil et salua les quelques personnes ici présentes. Il arriva en bas des marches de la passerelle...

Le Premier Ministre français attendait au bas des marches de la passrelle pour acueillir le Pape.

-Votre Sainteté, bienvenue à Paris.

le pape s'adressa au premier ministre dit :

- Je vous remercie, je vous bénie vous, l'impératrice et la France.

Et il fit un signe de croix.

- Bonjour Monsieur le premier ministre, je suis heureux de vous voir.

Il répondit alors au Pape :

-Tout le plaisir est pour moi, soyez-en certain.

Il invita le pape à monter dans la voiture qui l'attendait pour Versaille. Quelques journalistes, autorisés à prendre des photos par l'Etat, s'empressait d'immortalisé la recontre des deux hommes avant qu'ils ne montent dans la voiture.

-Vous avez fait bon voyage ?

- Oui, très bon, je vous remercie.

Et il monta dans la voiture.

La voiture quitta donc l'aéroport et s'engagea sur les routes de l'immense ville de Paris, capitale de l'Empire tout entier, un Empire qui s'étendait des Pays-Bas jusqu'à l'Indochine en passant par l'Afrique : le plus grand du monde.
Dans la voiture il dit :

-L'Impératrice vous verra durant la réunion officielle. Avant c'est moi qui suis chargé de m'occuper de vous. Son Altesse a un emploi du temps très chargé il faut dire. Encore hier elle a rencontré le Gouverneur de l'Afrique occidentale française, et ce matin même elle devait assister au Conseil des Armées inter-OTAN.

- Sa n'est pas un problème, je viens pour rétablir la paix entre nos deux nations.

La voiture arriva enfin au château. La voiture se rangea dans la cour avant, et un valet vînt ouvrir la porte. Le Premier Ministre sortit du véhicule et à ce moment les membres de la garde impériale ici présente, au nombre de 50, se mirent au garde à vous, pour ne former jusqu'à la porte qu'une allée, dans laquelle le Premier Ministre et le Pape s'engagèrent.
Dans le hall se trouvait l'archévêque de Paris qui se dirigea vers le Pape pour lui baiser la main. L'Impératrice avait souhaité qu'il participe à la réunion. L'archévêque dit au Saint Père :

-Nous prions pour que sa Sainteté rétablisse une paix limpide avec la France, fille aînée de l'Eglise.

le pape sorti de la voiture et regarda se déploiement, le pape était toujours très impressionné de voir comment les soldat se rangeais avec une tel discipline. Il rentra donc et vit le cardinal de Fleury et dit :

- Bonjour, Imminence, soyez sans crainte, je suis parce qu'il est temps que nous redevenions des frères.

L'Archévêque répondit au Pape :

-Je suis heureux de vous l'entendre dire votre Sainteté. Je dois dire qu'avec toutes ses tensions nous avons eu peur pour l'intégrité de notre statut en Francedurant un moment.

Puis les 3 hommes, le Premier Ministre devant, le Pape derrière lui et l'archévêque derrière le pape, se dirigèrent vers la salle du trône où avait été aménagée exprès pour cette occasion une grande table aux armoiries du Vatican et de la France. Les murs étaient décorés de drapeaux.

Deux soldats de la garde impériale ouvrirent les portes de la salle du trône, et le Premier Ministre fit installer les hommes autours de la table avant de s'installer à son tour. Le premier Ministre dit à un homme d'informer l'Impératrice de leur arrivée...

Dans les couloirs du château, l'Impératrice marchait à vive allure depuis les portes du hall arrière pour rejoindre la salle du trône. On entendait ses talons claquer sur le plancher, et sa robe doublée d'une cape volait dans le vent. A ses côtés, Jean-Pierre, son secrétaire particulier, avec qui elel parlait beaucoup. Elle lui dit :

-Jean-Pierre faites savoir immédiatement à nos amis Allemands que si nos déductions avec le Kaiser étaient justes, la France attaquera par l'Indochine dans les jours à venir.

Puis elle arriva devant les portes de la salle du trône. Les deux soldats de la garde Impériale se mirent au garde à vous et lui ouvrirent la porte. L'Impératrice leur souriat, puis entra dans la salle. Elle se dirigea vers le Pape.

-Votre Sainteté, j'espère que cette réunion aboutira à une alliance positive entre la France et la Vatican.

Puis elle salua l'archévêque ainsi que le Premier Ministre.
L'Impértarice n'aimait pas tellement cette situation avec le Vatican car en tant que catholique pratiquante la situation était contraire à ses convictions. Il fallait donc rétablir une paix durable, ce qui bien sûr ne sous-entendait nullement que la France allait "plier".

Le pape lui répondit :

- Majesté, mes hommages, je vous bénis vous et la france.
Majesté, je suis ici, pour essayer de revenir à une relation durable et stable.

Le pape s'assit et reprit :

- J'ai plusieurs chose à aborder avec vous, si vous le voulez bien.

L'Impératrice répondit au Pape :

-Oui j'espère que cette réunion fera que nos liens autrefois si forts se ressereront.

Elle s'installa sur son siège puis fit servir des boissons et enfin elle répondit à la nouvelle affirmation du Pape :

-Je suis prête à tout entendre votre Sainteté. Nous sommes pour discuter après tout ! Alors commençons. Etant donné que vous venez de dire que vous avez plusieurs choses à aborder, allez-y, je vous en prie.

- Je vais commencer, par dire, que la France est une fille de l'église et que en rien, nous voudrions nous froisser avec elle.

Le Saint - Père fit un signe au le cardinal V. von Kreiss et celui ci lui apporta un dossier que le pape ouvrit, puis il dit :

- Majesté, nous aimerions, pouvoir avoir une enclave en France qui appartiendra toujours à la France sous certain forme.

- C'est forme son d'un point de vue militaire et par la présence d'un gouverneur dans cette enclave.

-Nous en sommes conscients Votre Sainteté, et non plus n'aimerions rester sur un tel malentendu avec l'Eglise de Rome.

Plus elle réfléchissa un court instant à la proposition du Pape. Pourquoi pas, et cela serait un signe de bonne volonté de la France dans le but de rétablir de bonnes relations avec la vatican. Elle répondit alors :

-Je vois. Nous sommes d'accord. Mais aux conditions que, déjà comme vous l'avez dit, que nous gardions la domination militaire et qu'un gouverneur soit présent, mais aussi que les populations qui vivent dans cette enclave restent sous législation française.

Et avez-vous une idée de ce lieu ?

Le pape répondit alors :

- Seulement pour les ressortissants français, pour les autres ils seront sous la législation du vatican.

-Oui c'est évident, cela va de soi. Mais je vous rassure les seuls populations qui pourront séjourner dans ce territoire seront soit françaises soit vaticanaises. Car d'après une loi promulgé par l'Etat français, les étrangers n'ont pas le droit de traverser le sol français. Bien sûr pour les personnes ayant le visa vaticanais nous feront une exception.

le pape reprit :

- Voyez vous Majesté, j'ai l'intention de me retirer dans se lieu 3 mois par ans . Donc, il se peut que je reçoive des chef d'etat etranger ou des ambassadeurs ou autres.

L'Impératrice ajouta :

-Ne vous inquiétez, toutes ces personnes pourront traverser le territoire français, car elles ont un staut particulier au niveau international. Un visa leur sera attribué le temps de la traverser aux douanes françaises. Les seules personnes qui ne pourront pas se rendre en ce territoire seront les simples gens, sans statut particulier, exceptés les Français, bien évidemment.

Vous savez depuis un certain nous nous méfions des étrangers et de leurs agissements. Cela s'explique uniquement par la conjoncture actuelle et les agissements de certains pays comme la Chine ou Cuba

Il repondit :

- Je vous remercie, Majesté, je suis heureux que nous entendions a nouveaux.

Il reprit :

Voici a quoi va ressembler Canossa en Italien et en Français Avignons.

Et deux garde deroulère un gigantesque plan.

Visite officiel de sa sainteté ... Canoss10

Visite officiel de sa sainteté ... Canoss10

Le pape se leva et se dirige vers le plan, arriver devant, il se retourna et dit :

Qu'en pensez vous, Majesté ?

L'Impératrice se leva elle aussi et se dirigea vers le plan à côté duquel se tenait debout le Pape. passant à con côté droit elle posa ses yeux sur la carte et lui dit :

-Cela me convient parfaitement. ëut être que vous sourez rendre les gens de cette ville fiers de leur domaine. Car c'est autrefois la présence de l'Eglise en ces lieux qui faisait la fierté de la population locale.

le pape avec un sourire dit :

- J'en ai bien l'intention.

Il poursuivit par :

- Pourrions nous signer un accord pour cela , qu'en penser vous ?

-Je ne peux que me réjuir quand je vois que nous partageons un même but, votre Sainteté.

Puis elle se remit assise et ajouta :

-Bien je suppose que étant donné que vous êtes venu ici avec un but bien précis que vous avez d'ores et déjà un traité rédigé à me proposer ?

Il retourna a son tour sassoir et dit :

- Non, Majesté,je n'en ai pas. Car je voulais m'assurer que nous étions sur la même longueur d'onde.

L'Impératrice fit donc préparer un document par ses secrétaires. Leur travail rapide et efficace a fait que le traité était rapidement prêt.

-Voici ce que nous vous proposons.

Elle tendit une feuille vers le Pape pour qu'il la regarde.

Citation :: Empire de France ///\\\ Etat pontifical du Vatican

Traité d'Avignon

Par le présent, La France et le Vatican s'engage à rétablir une paix durable entre eux fondée sur l'entente diplomatique.

De plus, il est convenu que la France cèdera une partie de son territoire sous certaines conditions au Vatican, dans la ville d'Avignon, selon le plan suivant :

Le Vatican excercera sa pleine autorité sur ce territoire. Les personnes y vivant, de nationalité française, resteront sous législation française et conserveront leur nationalité.
La défense de ce territoire est assurée par la Garde Impériale française. Un Gouverneur français sera placé à la tête de ce territoire pour assurer l'autorité militaire de la France.

Les personnes possédant la nationalité vaticanaise pourront circuler librement sur le territoire français pour atteindre la ville d'Avignon dans les frontières définies sur la carte ci-dessus. Les Français auront libre accès.

Pour les personnes de nationalité non-française, ni vaticanaise, des visas devront être demandés aux Douanes françaises.

Fait à Paris, le 24 septembre 1951 :

par Sa Majesté Impériale l'Impératrice de France
par Sa Sainteté le Pape.

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