Réunion de l'OTAN

Une réunion de l'OTAN avait été organisée à la Maison Blanche.
Sont conviés tous les membres de l'OTAN et une délégation argentine.

Le Président américain était à l'origine de cette réunion et attendait l'arrivée des différentes délégations.

Invité

La Délégation argentine arriva la première, son avion c'était posé il y'a deux heures a Washington et ils en avait profité pour faire du tourisme. Le Président de la République Fédéral sorti le premier de la voiture officielle et fut conduit à l'entrée de la Maison Blanche.

Le Président était là et attendait l'arrivée des autres invités. Il vit la voiture du Président argantin arriver ett s'approcha.
Il le salua à sa sortie de voiture.

- Monsieur le Président, bienvenue à la Maison Blanche. C'est un honneur pour moi que de recevoir.

Le Gouvernement du Reich décida d'envoyer le Feld-Marechal à la réunion de l'OTAN à Washington. Il se rendit donc à la Maison Blanche et fut conduit à la salle de réunion. Après s'être fait annoncer par mes secrétaires, il entra dans la salle et fit le salut militaire aux personnes présentes. Puis il se dirigea d'abord vers le Président américain :

-Monsieur le Président, bonjour. C'est un honneur pour moi de vous rencontrer.

Après lui avoir serré la main, il se rendit vers la délégation argentine et salua les hommes présents. Puis il s'installa, attendant les délégations scandinave et japonaise.

Invité

Le Président salua également le président américain, la délégation argentine suivit et fit de même, elle était composée, sans le président, du ministre de l'économie, du ministre de la guerre et du ministre des affaire étrangère ainsi que de l'adjoint du chef d'état major argentin. On diriga la délégation dans un salle de réunion ou entrat juste après la délégation allemande.

- Bonjour, c'en est un pour moi également monsieur.

Le Président était accompagné par le Secrétaire d'Etat et le Chef d'Etat Major des Armées.

Il prit la parole et dit aux membres présents :

- Installez vous messieurs. En attendant les délégations japonaise et scandinave, des boissons sont à votre disposition.

L'Empereur japonais, accompagné de son Ministre des affaires étrngères, arriva dans la salle de réunion.

Il fit un signe de tête à toute l'assemblée puis s'approcha du Président américain.

- Monsieur le Président bonjour. J'espère que cette réunion sera aussi fructueuse que la précédente.

Puis il se dirigea vers les autres délégations et les salua avant de s'installer.
On n'attendait plus que la délgation scandinave.

Le Président, voyant que les scandinaves n'arrivaient pas, commença la réunion.

- Très bien, commençons sans les scandinaves, il va falloir qu'ils s'interessent un peu plus à leurs alliés de l'OTAN il me semble !
Bon, je vous ai réuni ici pour discuter et officialiser l'entrée de l'Argentine dans l'OTAN.
Avant cela, souhaitez vous aborder un sujet en particulier ?

Le Feld-Marechal allemand répondit à propos des Scandinaves :

-Vous avez fort raison Monsieur le Président. On se demande si la Scandinavie avait réel intérêt à intégrer l'OTAN. Je pense que cela s'est fait uniquement par pure intérêt. Tout du moins, c'est ce qu'en Allemagne nous commençons à penser.

Puis ensuite il ajouta :

-Pour ma part, je n'ai rien à ajouter.

Le roi entra dans le lieu et dit en s'adressant au Feld Maréchal en disant :

- Je ne vous permet pas de remettre en cause, notre intérêt pour l'OTAN. Mais je trouve pas normal que je sois prévenu la veille de la réunion. Et je demande des explication a se sujet. La scandinavie est toujours prévenu la dernière, je trouve sa intolérable.

Et le roi s'assit.

Immédiatement le Feld-Marechal répondit :

-Vous avez été prévenu en même temps que tout le monde. Et même si vous l'auriez été en dernier, cela ne justifie aucunnement un tel retard. Nous ne sommes pas responsables de la lenteur et l'inefficacité de l'administration scandinave. De plus, vous êtes toujours en retard, et nous ne sommes pas tenus de patienter après avous. Il y a ici des grandes puissances qui ont des affaires mondiales à régler...

Il voulait évidemment parler de l'Allemagne et des Etats-Unis. Il n'avait jamais aimé la Scandinavie, et se disait fort bien qu'il profiterait de la moindre occasion, du moindre faux-pas de ce soit-disant allié pour en avertir le Kaiser. Et il se réjuissait aussi à l'idée qu'en cas d'une éventuelle guerre, qui bien sûr n'est pas désirée, la Scandinavie avec son armée si ridicule et si peu équipée ne serait pas en mesure de s'opposer.

Le roi répondit :

- Ne rejeter vos faute sur les autres, l'administration scandinave est la plus performante d'europe. Vous trouver normale que la lettre porte la date d'hier. Bon je passe l'éponge pour cette fois, mais la prochaine fois, je ne laisserai plus rien passer. Le roi reprit sur un ton raisonnable.
Excuser moi, mais la guerre nous menace, l'opposition socialiste et communiste nous accuse de cacher au peuple le fait que nous travaillions avec l'Allemagne sur des projet d'invasion de l'URSS. J'aurai besoin de votre soutien.

Et le Feld-Marechal répondit très calmement :

-Permettez-vous mais l'Allemagne est bien plus réputée que la Scandinavie et tous les autres pays d'Europe pour sa rigueur et son efficacité.

Puis à propos du nouveau sujet qu'il avait entamé il répondit :

-Visiblement il faut croire que c'est une honte de collaborer avec l'Allemagne. C'est ce que nous ressentons à Berlin, mais heureusement que nous pouvons compter des amis comme les Etats-Unis. Pour tout vous dire Votre Altesse, il y a peu de chances que l'URSS mène une attaque sur vous, car elle aurait tout à y perdre. Cependant il se peut qu'elle soutienne des Etats qui vous sont opposés. Dans ce cas l'OTAN lèvera les armes.
Je vais vous dire pourquoi personne ne vous craint : votre armée ne fait pas peur. Nous vous encourageons à relancer votre économie, qui en ce moment stagne voire même baisse, et de construire un complexe militaro-industriel compétent, qui puisse équiper vos armées.

Il répondit :

- Tout ce que vous m'avez dit, je le sais très bien. Mais je n'ai pas les moyens de pouvoir construire des complexes militaro-industriel.La guerre nous a détruit. Mais je n'ai pas honte de travailler avec l'Allemagne. Mais sans argent, la scandinavie ne pourra pas se relever.

Alors le Feld-Marechal après courte réflexion répondit au Roi :

-Trouver de l'argent n'est pas un problème. L'Allemagne peut vous financer le construction de nombreuses usines. Nous pouvons ouvrir entre nos deux pays un compte bancaire sur lequelle l'Allemagne verserait de l'argent vous la Scandinavie, à l'image des transactions financières qui s'effectuent actuellement entre le Reich et la Chine. Vous rembourseriez l'Allemagne au moment où vous jugerez que vous en avez les moyens. Qu'en pensez-vous ?

Bien sûr il fallait qu'il soumette se projet à l'Empereur mais cela ne devrait poser de problèmes...

Le roi répondit :

- Il faut que nous réfléchissons, c'est une décision qui doit passer au parlement. Cette fois je ne peux prendre la décision tout seul. Sinon je vais mettre la stabilité du pays en péril.

Le Feld-Marechal comprenant parfaitement ajouta :

-Oui je comprends parfaitement votre Altesse, et nous attendrons la décision du Parlement scandinave.

Puis rigolant légèrement il reprit en disant :

-Pour tout vous dire, nous, en Allemagne, n'avons pas se problème car le Kaiser décide de tout ! C'est notre Chef, il a toujours fait ce qu'il y avait de mieux pour l'Allemagne, a su lui redonner une place internationale malgré nos erreurs de la Seconde guerre mondiale, et c'est le principal. Nous lui faisons confiance.

Puis il se tourna vers l'Empereur du Japon, et lui demandant :

-Le Japon a t-il quelque chose à proposer avant que nous discutions de l'intégration de l'Argentine dans l'OTAN votre Altesse ?

L'Empereur du Japon écoutait attentivement la discussion puis ajouta :

- Nous n'avons rien à signaler, nous sommes prets à commencer.

Le Président prit donc la parole :

- Très bien. L'Allemagne et les Etats unis en ayant discuté, nous sommes pour une entrée dans l'OTAN de l'Argentine. D'après notre dernière rencontre, le Japon est également pour, nous aimerions avoir l'avis du représentant scandinave avant tout.

Le roi répondit :

- Et bien, je ne vois se qui pourrait nous opposer à l'entrée de l'Argentine dans l'OTAN. Nous sommes donc pour.

- Très bien, je pense donc que les représentants argentins ont pris connaissance du Traité et qu'ils sont prêts à le ratifier.

Puis abordant un autre sujet.

- Nous souhaiterions également discuter de la ratification des accords de Paris. Nous pensons qu'il est essentiel pour notre puissance de tisser des relations commerciales importantes.

Invité

Ayant pris connaissance du Traité, aucun de nous ne voyons d'objéction a opposé à la présente signature du Traité OTAN. Mais en se qui concerne les accord de Paris, ne connaisant pas la teneur du texte ou des texte, nous désirons en prendre connaissance avant tout.

-Très bien, considérons donc que l'Argentine fait désormais partie de l'OTAN.

Il fit passer le traité au Président argentin pour qu'il le signe. Puis, quant aux accords de Paris, il répondit :

-Les accords de Paris sont des traités commerciaux signés entre la France, l'Allemagne, et le Japon. Mais voyez-vous de quoi il s'agit.

Il lui passa un exemplaire des traités :

Citation :: Contrat commercial Allemagne-France-Japon

Accords de Paris

subdivisé en 15 accords commerciaux

Les trois nations [Allemagne-France-Japon], dans le désir de se développer pour le bien de leurs peuples respectifs, s'engagent à développer un commerce entre eux. Chacune se propose à mettre en ventre sur les marché allié ses produits, tous identiques. Le pays récepteur devra adapter sa législation pour faire en sorte que dans le pays le même produit allemand, français, ou japonais ait le même prix, exepté dans le cas où la qualité ne serait pas la même et si le produit n'apporte pas les mêmes fonctions.Le jeu de la concurrence devra s'exercer sur la technique offerte au consommateur et non sur le prix.

Accord commercial numéro 1 :

L'Allemagne, la France, et le Japon s'engagent à exporter entre leurs frontières des meubles style ancien fabrication moderne à des conditions tarifaires égales à celles de leur marché national dans le but de respecter une parfaite concurrence.

Accord commercial numéro 2 :

L'Allemagne, la France, et le Japon s'engagent à exporter entre leurs frontières des ustensiles de cuisines style national à des conditions tarifaires égales à celles de leur marché national dans le but de respecter une parfaite concurrence.

Accord commercial numéro 3 :

L'Allemagne, la France, et le Japon s'engagent à exporter entre leurs frontières de la papetterie à des conditions tarifaires égales à celles de leur marché national dans le but de respecter une parfaite concurrence.

Accord commercial numéro 4 :

L'Allemagne, la France, et le Japon s'engagent à exporter entre leurs frontières des calculatrices à des conditions tarifaires égales à celles de leur marché national dans le but de respecter une parfaite concurrence.

Accord commercial numéro 5 :

L'Allemagne, la France, et le Japon s'engagent à exporter entre leurs frontières des téléphones mobiles et fixes à des conditions tarifaires égales à celles de leur marché national dans le but de respecter une parfaite concurrence.

Accord commercial numéro 6 :

L'Allemagne, la France, et le Japon s'engagent à exporter entre leurs frontières des tissus à des conditions tarifaires égales à celles de leur marché national dans le but de respecter une parfaite concurrence.

Accord commercial numéro 7 :

L'Allemagne, la France, et le Japon s'engagent à exporter entre leurs frontières des lampadaires à des conditions tarifaires égales à celles de leur marché national dans le but de respecter une parfaite concurrence.

Accord commercial numéro 8 :

L'Allemagne, la France, et le Japon s'engagent à exporter entre leurs frontières des tapisseries, tapis, ou peintures de décoration à des conditions tarifaires égales à celles de leur marché national dans le but de respecter une parfaite concurrence.

Accord commercial numéro 9 :

L'Allemagne, la France, et le Japon s'engagent à exporter entre leurs frontières du matériel de secrétariat (stylos, ciseaux, etc...) à des conditions tarifaires égales à celles de leur marché national dans le but de respecter une parfaite concurrence.

Accord commercial numéro 10 :

L'Allemagne, la France, et le Japon s'engagent à exporter entre leurs frontières du cotons et de la laine à des conditions tarifaires égales à celles de leur marché national dans le but de respecter une parfaite concurrence.

Accord commercial numéro 11 :

L'Allemagne, la France, et le Japon s'engagent à exporter entre leurs frontières des machines à coudre à des conditions tarifaires égales à celles de leur marché national dans le but de respecter une parfaite concurrence.

Accord commercial numéro 12 :

L'Allemagne, la France, et le Japon s'engagent à exporter entre leurs frontières des toiles de camouflage style national à des conditions tarifaires égales à celles de leur marché national dans le but de respecter une parfaite concurrence.

Accord commercial numéro 13 :

L'Allemagne, la France, et le Japon s'engagent à exporter entre leurs frontières de la pierre taillée à des conditions tarifaires égales à celles de leur marché national dans le but de respecter une parfaite concurrence.

Accord commercial numéro 14 :

L'Allemagne, la France, et le Japon s'engagent à exporter entre leurs frontières des disques provenant de leur production artistique nationale à des conditions tarifaires égales à celles de leur marché national dans le but de respecter une parfaite concurrence.

Accord commercial numéro 15 :

L'Allemagne, la France, et le Japon s'engagent à exporter entre leurs frontières des chaussures à des conditions tarifaires égales à celles de leur marché national dans le but de respecter une parfaite concurrence.

Citation :: Contrat commercial Allemagne-France-Japon

Accords de Paris

subdivisé en 20 accords commerciaux

Volet numéro II

Les trois nations [Allemagne-France-Japon], dans le désir de se développer pour le bien de leurs peuples respectifs, s'engagent à développer un commerce entre eux. Pour ce faire, chaque pays s'engage à implanter des usines sur le sol de ses alliés pour y produire ou vendre un bien ou un produits provenant de sa nation d'origine.

Accord commercial numéro 1 :

L'un s'engage à exporter sur le sol des autres des unités de production et d'exportation. Elles traiteront du développement de plantes du climat du pays d'origine.

Accord commercial numéro 2 :

L'un s'engage à exporter sur le sol des autres des unités de production et d'exportation. Il s'agira de la production de livres d'origine nationale.

Accord commercial numéro 3 :

L'un s'engage à exporter sur le sol des autres des unités de production et d'exportation. Il s'agira de la production de pneux.

Accord commercial numéro 4 :

L'un s'engage à exporter sur le sol des autres des unités de production et d'exportation. Il s'agira de la production de glaces et miroirs.

Accord commercial numéro 5 :

L'un s'engage à exporter sur le sol des autres des unités de production et d'exportation. Il s'agira de la production de cousins et oreillers.

Accord commercial numéro 6 :

L'un s'engage à exporter sur le sol des autres des unités de production et d'exportation. Il s'agira de la production de rideaux.

Accord commercial numéro 7 :

L'un s'engage à exporter sur le sol des autres des unités de production et d'exportation. Il s'agira de production dans la verrerie.

Accord commercial numéro 8 :

L'un s'engage à exporter sur le sol des autres des unités de production et d'exportation. Il s'agira de l'exportation et de la diffusion de films.

Accord commercial numéro 9 :

L'un s'engage à exporter sur le sol des autres des unités de production et d'exportation. Il s'agira d'élevage d'animaux domestiques.

Accord commercial numéro 10 :

L'un s'engage à exporter sur le sol des autres des unités de production et d'exportation. Il s'agira de produits de beauté.

Accord commercial numéro 11 :

L'un s'engage à exporter sur le sol des autres des unités de production et d'exportation. Il s'agira de la production de shampoings et gel douche.

Accord commercial numéro 12 :

L'un s'engage à exporter sur le sol des autres des unités de production et d'exportation. Il s'agira de la production de féculants.

Accord commercial numéro 13 :

L'un s'engage à exporter sur le sol des autres des unités de production et d'exportation. Il s'agira de la production de boissons sans alcool.

Accord commercial numéro 14 :

L'un s'engage à exporter sur le sol des autres des unités de production et d'exportation. Il s'aigra de la production d'armes de chasse.

Accord commercial numéro 15 :

L'un s'engage à exporter sur le sol des autres des unités de production et d'exportation. Il s'agira de la production d'explosifs.

Accord commercial numéro 16 :

L'un s'engage à exporter sur le sol des autres des unités de production et d'exportation. Il s'agira de la production de sauces.

Accord commercial numéro 17 :

L'un s'engage à exporter sur le sol des autres des unités de production et d'exportation. Il s'agira de production dans le domaine de la literie.

Accord commercial numéro 18 :

L'un s'engage à exporter sur le sol des autres des unités de production et d'exportation. Il s'agira de la production de vêtements.

Accord commercial numéro 19 :

L'un s'engage à exporter sur le sol des autres des unités de production et d'exportation. Il s'agira de la production de sièges automobiles.

Accord commercial numéro 20 :

L'un s'engage à exporter sur le sol des autres des unités de production et d'exportation. Il s'agira de la production de rétroviseurs extérieurs et intérieurs pour tout type de véhicules.

Signé en date du 11 août 1951 à Paris.

Invité

Nous n'y voyons pas non plus d'objéction et signons egalement les accords de Paris.

Il prit un stylo dans sa poche, signa le premier pour les deux traité puis le ministre des affaire étrangère et le chef de l'état major signèrent le Traité OTAN, tandis que le ministre de l'économie ajouta sa siganture au dessous de celle du président argentin sur les Accords de Paris quant à lui.

Le roi lu le traité et répondit :

- Nous sommes aussi d'accord avec se traité, nous le signons donc.

Il prit son stylo et signa le traité.

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