Visite inaugurative

C'est vers midi du 16 janvier 1952, que l'avion transportant le Pape se posa à l'aéroport international de Paris. Couvert d'une cape rouge, chapeau rouge sur la tête, il descendit de l'appareil et salua les quelques personnes ici présentes. Il arriva en bas des marches de la passerelle...

L'Impératrice était au bas de la passerelle pour accueillir le Pape :

-Votre Sainteté, mes salutations.

Elle le salua de toute la grâce et la sagesse dont elle faisait preuve. Le tapis rouge avait été déplié jusqu'à la voiture. Le Ministre de la Religion, le Premier Ministre, l'Empereur, l'Archévêque de Paris, de nombreux membres de l'Eglise catholique et bien sûr beaucoup de fidèles étaient présents, mais étaient retenus derrière les barrières par les forces de gendarmerie.

-Votre voyage s'est-il correctement passé ?

Le pape répondit à l'impératrice avec un grand sourire :

- Bonjour Majesté, je suis heureux de vous revoir. Je vous béni vous et la france.
J'ai fait un excellent voyage.

-Et bien quoi dire de plus ? Le voyage s'est bien déroulé, et aujourd'hui exceptionnellement pout cette période de l'année le soleil rayonne sur la France, bien que les températures ne soient pas très élevés !

L'Impératrice prit la marche vers la voiture, et y fit monter le Pape à l'intérieur. Puis elle s'installa à côté de lui. La voiture démarra...

-Dites-moi votre Sainteté, comment a réagi le Vatican lors de l'abandon des terres saintes par l'Allemagne ? Votre souverainté sur les villes qui vous aviez acquise avec l'Allemagne est remise en cause.

- Nous avons pas encore réagis, l'Allemagne ne nous pas dit a qui elle les avait céder. Car nous aimerions pouvoir récupérer la terre sainte. Vous pouvez peut être nous aidez ?

L'Impératrice à ceci répondit :

-Il me semblait que pourtant l'Allemagne avait averti le Vatican de cela. Enfin pour répondre à votre question, cela est envisageable. La France peut aider le Vatican. Cependant il faudrat ouvrir le dialogue avec le Royaume-Uni qui n'a pas tarder à faire valoir son autorité sur ces territoires.

Il y avait à l'heure actuelle beaucoup de troubles dans ces régions du monde, et l'Armée française ne voulait pas intervenir pour le moment, à cause de toute cette agitation. Comme l'Impératrice disait : "Les Anglais ont voulu de ces territoirs, et bien qu'ils assument tout le grabuge engendré !"

-Sinon que pensez-vous des mouvements de rebellion contre les Anglais en Arabie Saoudite ?

Le pape répondit :

- Quand on sème la discorde on ne récolte que la tempête , hélas. C'est malheureux.

-C'est une certitude.

Quelque chose agaçait quelque peu l'Impérartrice : c'est le fait que le Pape n'ait aucune conversation. Ses phrases étaient toujours courtes, ce qui donnait l'impression qu'il n'avait jamais rien à dire. Cela était tout à fait différent de son prédecésseur qui faisait toujours de longues phrases et de beaux discours. Enfin tout le monde ne pouvait pas autant maîtriser l'art du langage...

La voiture arrivait à bon port...

Le pape la regarda et voyant bien que quelque chose la contrarierai et il lui dit :

- Majesté, quelque chose ne va pas. Ai je dit quelque chose de mal ?

-Oh non pas du tout je vous rassure !

La voiture arriva à Versailles. L'Impératrice et le Pape en descendirent pour entrer dans le château. Le soir, le Pape dîna à la table de l'Empereur et son épouse, accompagnés de l'Archévêque de Paris et de quelques prêtes venus des quatre coins de la France pour voir le Pape.
Après une bonne nuit de sommeil, et un petit-déjeuner copieux suivant aux prières du Saint-Père, le couple impérial et le Pape gagnèrent la gare de Lyon pour voyager en train jusqu'à Avignon. Il smontèrent dans le train. s'étant installé dans le wagon, l'Impératrice dit au Saint-Père :

-Tout est allé un peu vite ce matin je dois dire. J'espère que vous avez fait bonne nuité ?

Le train était composé de 3 wagons plus la locomotive. Il était fait exprès pour le transport du pouvoir impériale. Il portait les armoiries de l'Empire.

Le pape la regarda avec un grand sourire et dit :

- J'ai très bien dormis, votre hospitalité respecte tout les sens du devoir.

Le pape regarda par la fenêtre du train et dit :

- quelle beau pays qu'est la France, ces paysage, belle beauté qu'a créer notre seigneur. Rien n'est plus beau, rien n'est plus grand, plus immense que le paysage que je vois la. Mais bien des malheurs traverse notre terre.

Se retournant vers l'impératrice, il dit:

- Vous savez Majesté, le Forum International pour la paix ne séduit pas. Seul vous et le Kaiser, ont répondu présent. Son t-il aussi insouciant ? La guerre est elle le seul moyen ?

Le Pape retrouvait visiblement de son talent oral, et l'Impératrice ne pouvait que s'en réjuir. Parfois fallait-il avouer le Pape l'agaçait un peu mais elle voyait en lui un homme de confiance, prêchant la bonne foi de l'Eglise catholique, ce qui était très honorable pour sa personne. Après tout il n'y avait qu'avec lui jusqu'à maintenant qu'elle n'avait pas eu de réel problème, bien qu'une fois elle ait légèrement exagéré dans sa conduite à l'égard du Saint-Père.

-Il est clair que notre Seigneur a pris tout particulièrement le temps d'élaborer notre paysage, la France est un très beau pays.

L'Impératrice se mit également à regarder le paysage. La France était vraiment un beau pays, caractérisé par la diversité et la beauté de ses paysages. Bien sûr la vie n'était pas aussi belle partout, car nous n'étions qu'en 1952, et encore quelques localités ne s'étaient pas reconstruites suite aux destructions de la guerre. Mais là, on voyait à quelques mètres un fleuve, dont les branches des arbres le bordant trempaient dans l'eau, ce qui dessinait de légères formes voluptueuses à la surface des eaux verdies par mes algues. On aperçevait par ici et par là quelques signes, les oiseaux se perchaient dans les arbres. Au bord du chemin de fer, il y avait un pré, dans lequel l'herbe avait à moitié jauni. En effet, nous étions en janvier, et en temps ordinaire pour cette époque il gelait. Les températures extérieures devaient avoisiner les -1, voire -2 degrès Celsius.
Quittant les paysages elle reprit :

-Je suis fort étonnée votre Sainteté que seules deux personnes aient répondu à votre appel. Cela est un manque de respect total. Même une personne qui est opposée à la doctrine catholique a le devoir de répondre, positivement ou négativement, à votre proposition. Je crois qu'en effet peut être la guerre est le seul moyen. Mais voyez, il faut se rendre à l'évidence : qu'est-ce qui fait marcher nos sociétés ? C'est bel et bien l'art de la guerre. Elle crée une industrie de l'armement forte, qui emploie de nombreux travailleurs, ce qui réduit le chômage. La guerre est une des essences de notre fonctionnement économique. Cela est certes condamnable, mais c'est pourtant la vérité. Moi-même ai recours à cette actvité. Les armées françaises sont présentes dans de nombreuses régions du monde. Mais il est évident que je ne peux répondre pacifiquement à des menaces réelles perpétuelles.

Le pape poursuivit par :

- Je sais très bien que la guerre est à elle seul une économie. Mais bon. Mais la paix ne regroupe pas que le désarmement, il y a aussi la famine, la pauvreté, la maladie, etc.... Je me doutais pas un instant qu'il avait des cœurs de pierre à ce point, qu'il tournait la tête à la paix. Qu'il aimait a ce point faire la guerre comme au moyen age. A moins, que le Vatican, ne représente plus rien a leur yeux. Nous ne sommes peut être même plus reconnu comme un état souverain. C'est vraiment malheureux, je me doutais que le monde était à ce point inconscient des enjeux du peuple du monde.

C'était fort malheureux mais pourtant tout ce qu'il y a de plus vrai. Le Pape avait raison dans ses propos, son opinion était fondée et approuvée d'ailleurs par l'Impératrice. Elle ajouta :

-Peut être bien en effet qu'il y ait un retour en arrière. Les tensions sur le globe sont de plus en plus nombreuses et de plus en plus fortes. Notre monde n'a jamais été aussi divisée. Pour le Vatican, aujourd'hui, excusez-moi Très Saint-Père de dire cela, plus personne ne reconnaît son autorité. Autrefois il juissait d'une importance inégalée, d'un prestige incontestable, et l'autorité divine et politique de son Chef était reconnue partout. Malheureusment aujourd'hui cela n'est plus le cas. Peut être que l'Eglise peut encore espérait à une certaine notoriété en Amérique latine, mais certainement pas dans les autres régions du monde. Mais même sa position est menacée là haut, avec la monté de Gouvernements comme celui du Brésil, de type socialistes, qui ne reconnaissent aucune religion.
De plus il est clair que la paix ne se limite aux simples faits militaires, car c'est un enchaînements de facteurs qui font que celle-ci perdure. Vous me parlez de famine, de pauvreté et de maladie. Il faut se rendre à l'évidence : qui a envie de combattre ces points noirs ? Personne, toujours pour une question d'argent. Les grands de ce monde, qui auraient le pouvoir de faire quelque chose, préfèrent le rendement économique au désarois de la morale.

L'Impératrice regarda de nouveau vers l'extérieur. Le train passait sur un passage à niveau. Face à la barrière qui s'était fermé, attendait une femme et trois enfants. Leurs habits étaient caractéristique de leur classe sociale : usés et décolorés, parsemés de petits trous s'étant creusés avec l'usure, certainement du traivail. Joséphine n'était pas voir cela. Ces gens devaient se dire mais que fait l'Etat ? Pourquoi ne nous aide t-il pas au lieu de dépenser des milliards et des milliards dans l'armée. En effet le budget de l'armée française était à plus de 150 milliards de dollars par moi, ce qui pouvait s'avérer incompréhensible pour des gens vivant dans cette situation. Mais l'Etat français n'allait pas tarder à débloquer des fonds, pour aider tous les Français qui en éprouvaient le besoin. Les Ministères étaient actuellement à l'étude du projet, et étudiaient à comment récolter les fonds nécessaires. Soit la France devrait encore s'investir dans la signature de nouveaux contrats commerciaux, soit certains secteurs verraient leur budget diminuer, comme l'armée. Mais cela le pouvoir impérial ne voulait.
Reprenant ses esprits l'Impératrice ajouta :

-Je pense que le pouvoir français ne fait partie des coeurs de pierre. Paris aide ses dominins à se développer, et non en avons fait de grands Etats puissants. Nous avons déjà versé des milliards de dollars à l'Afrique, recouverte aux trois quarts par nos drapeaux. Bien sûr nous n'en voyons pas encore totalement les résultats, mais notre aide est bien réelle.

Le pape regarda par la fenêtre la paysage, puis se retourna vers l'impératrice
et dit :

- Pourtant l'argent n'est pas notre dieu, mais mes collaborateurs mon affirmer que même dans ses domaines, il y avait moyen de se faire de l'argent. Je pense pour ma part, ce qui leur fait peur, c'est d'investir, mettre de l'argent dans ces pays. Pourtant, ils 'en ont en besoins, sa peut leur apporter gros,très gros. Mais bon, il n'ont pas l'air de le comprendre.

L'Impératrice, dans le fond, avait la même pensée que le Pape. Elle répondit :

-Très Saint-Père, la caractéristique essentielle du parfait capitaliste est la recherche à court terme de bénéfices, et ce en passant par tous les moyens possibles, de toutes les manières envisageables. Investir là où il y en urait vraiment besoin, ou cela répond à des besoins vitaux, ne respecte pas ce critère, et les grands investisseurs sont découragés. Il y une autre raison importante au fait que l'investissement soit faible dans les régions pauvres : c'est que bien souvent les relations sont instables, la situation est souvent proche de la guerre civile. Les infrastrucres contruites en ces lieux seraient vites détruites, selon les grands capitalistes de notre monde. Ma vision diffère quelque peu de celle-ci, que l'on peut qualifier de pessimiste. Je pense plutôt que ces gens ont le réel désir de s'en sortir, de bâtir un monde meilleur dans lequel ils pourraient inspirer à la paix, au bonheur, et au confort. Si donc des investissements ont lieu, les infrastructures qu'ils auront permis de construire seront bien gardées. Je pense qu'il faut insister sur la construction de pôles industriels dans ces régions, car bien sûr ce n'est pas en livrant de la nouriture et des médicaments que l'on va aider ces peuples. Dans un premier temps c'est ce qu'il faudrait faire, mais il faut aussi mettre toute notre énergie sur le fait que ces peuples puissent se développer à leur tour, et se libérer de notre tutelle.

La France avait bien engagé ces réformes vis à vis de ses ex-colonies. Elle avait décidé dans un premier temps de coloniser pour placer de nombreux peuples miséreux dans leurs conditions actuelles pour les aider dans leur vie ttistement pénible.Maintenant, les peuples de ces pays sont regroupés sous des entités-Etats, auxquelles la France verse des fonds pour developper l'industrie, et donner du travail à tous. Cette politique est une réussite car déjà les dominions françaises, l'AOF nigeriane et l'Indochine, ont dépassé dans les classements de nombreux Etats tels Cuba, le Viêt-Nam etc... mais même d'anciennes puissances comme l'Espagne. En ces jours, les premiers partenaires commerciaux de la France étaient ses dominions.

-Il est vrai très Saint-Père que l'argent n'est pas notre Dieu, mais c'est aujourd'hui à sa doctrine que les hommes obéissent. Même ma personne, alors que pourtant je suis tout ce qu'il y a de catholique, a sombré dans les serres de la monnaie. Même le Vatican d'ailleurs, dont le fonctionnement se fait grâce à la gestion de fonds monétaires. Mais voyez votre Sainteté, votre personne sait gérer l'argent comme une offrandre de Dieu pour permettre aux hommes de se répartir les richesses fondamentales sur Terre dans le but de vivre correctement, car nous savons que le Seigneur condamne les richesses en excès. D'autres hommes, opposés à notre vision, voient l'argent comme une fin en soie pour accroître leur pouvoir. Ces gens là sont condamnables. Cet argent n'est pas celui de Dieu, mais de Satan. Nous devons combattre ces gens-là et les convertir à la paix du Christ, qui saura les sortir de l'emprisonnement des forces du mal.

Le pape répondit :

- Je pense que vous avez raison. C'est pour cela que j'aimerai que vous leur fassiez entendre raison, si vous êtes d'accord ? Je pense que vous, il vous écouterons.

L'Impératrice appréçiait le fait que le Pape lui propose le rôle de médiateur pour la paix internationale. Mais cela était-il possible ? L'Impératrice allait-elle se faire écouter ? Il y avait peu de chance. Ce n'est parce qu'elle commandait le pays le plus puissant économiquement de la planète qu'elle se ferait entendre. Elle pourrait contraindre certaines nations par sa force militaire, car la France seule était la deuxième armée du monde, et en plus elle avait les armées des dominions sous ses ordres. Mais non il ne fallait pas qu'elle use de la force militaire pour faire pression, sinon cette paix serait une paix fragile, à laquelle il y aurait plein de facteurs extérieurs pour la destabiliser. Elle evait donc reposer sur l'entente entre les nations. Mais cette entente elle aussi était-elle possible ? La France encore pouvait concilier avec tout le monde, mais les ultra-libéraux américains et allemands allaient-ils pouvoir s'entendre avec les Rouges du blocs de l'Est ? Cela était peu probable.
Au Pape elle répondit :

-Très Saint-Père, voyez m'en flattée de ce rôle que vous me proposez, et que j'accepte d'ailleurs grand volontier. Mais je crains que cela ne donne aucun résultat. Comment voulez-vous que notre message se fasse entendre auprès de nations totalement opposées à la France ? Ceci dit je ne vais pas non plus baisser les bras, je peux vous le garantir. Je tenterai une première approche lors du forum international pour la paix, que votre bienveillante personne s'est acharnée à mettre en place. Vous ne manquez pas de courage, et votre audace n'a d'égal que votre perspicacité. Peut-être pouvons-nous qualifier de dommage le fait que vous criez la paix sous la bannière du Vatican. Je m'explique, soyons honnête avec nous-même : il est évident que des pays ne pronnant aucune religion ne vont certainement pas discuter avec le Vatican. Bien sûr parfois j'ai un peu de mal à comprendre cela car regardez : nos deux personnes sont catholiques, la vôtre est la représentente de la foi chrétienne sur Terre, et ce n'est pas pour autant que nous ne discutons avec des personnes croyant en un autre Dieu que le nôtre. Cela est certainement un excuse de la part des personnes de mauvaise foi.

Le train continuait toujours à rouler, glissant sur les rails dans un calme impécable. Quelques serviteurs vînrent aux côtés du couple diplomatique et des boissons furent proposées. Joséphine prit quant à elle un verre de jus d'orange, boisson toute simple, mais très bonne et voluptueuse selon ses goûts.

-Je vais vous dire votre Sainteté : vous auriez toutes les compétences requises pour exercer un poste tel que celui du Secrétaire général de l'ONU.

Le pape fut touché par ce compliment et il répondit :

- Majesté, je pense pas être capable pour cette grande tâche. Mais j'espère que vous pourrez faire venir autour de la table le plus possible de chef d'état. Et le plus drôle, c'est que l'on vient me chercher pour jouer le médiateur. De tout façon, de grande décision vont être prise en vers les états qui nous ignores.

L'Impératrice restait septique avec la dernière phrase que le Pape avait prononcé face à elle. Elle reprit :

-Oui espérons mais je n'y compte pas tellement pour tout vous dire. Enfin le plus important est de tenter, nous en verrons ensuite le résultat. Et je vous en conjure, vous rempliriez tout à fait convenablement ce poste. Il ne faut pas se sous-estimer Très Saint-Père.
Mais par contre j'aimerai à un eclaircissement de votre part : vous me dîtes que de grandes décisins vous êtes prises à l'encontre des Etats qui ignorent notre message. Mais de quel genre de décisions voulez-vous parler exactement. Êtes-vous déjà en mesure de me dire quelque chose ?

Réellement, l'Impératrice ne voyait pas ce que le Pape voulait dire par cette phrase. C'est d'ailleurs pour cela qu'elle lui demande de plus ample explications, sinon elle n'aurait évidemment formulé aucune problématique.

Le temps était vite passé depuis Paris, et le train était presque arrivé à Avignon. Il n'avait fait aucun arrêt, car la SNCF avait reçu l'ordre de transporter directement l'Impératrice et ses invités à Avignon...

Le pape répondit simplement :

- Eh bien, ce qui se passera je vais renvoyer dans un premier temps tout les représentant diplomatique de ses pays, puis dans un deuxième temps, il s'apprendront que le vatican ne finance plus les église mais que sa sera a eux de le faire s'il veulent garder les batiments en états, la seul chose que nous continueront se sont les salaires. Je peux vous dire que sa le feras mal, et a se moment, je reviendrai vers eux. Sachez que sa ne fait pas plaisir de le faire, mais je me sens dans l'obligation de le faire.

Joséphine analysa les propos du Pape. Peut être dans un sens c'était une bonne chose, mais peut être dans une autre il valait mieux éviter ceci. Elle répondit :

-Je vous approuve quand vous dites que vous renverrez les représentants diplomatiques des pays correspondant aux critères que nous avons précédemment cités. Mais quant au financement des Eglises et autres bâtiments représentants de notre religion, est-ce vraiment une bonne chose à faire Très Saint-Père ? En effet, vous prendriez le risque que les Gouvernements concernés laissent tomber en ruine les bâtiments du cultes et ce seraient donc les fidèles qui empâtiraient pour les actions de leur gouvernance.

Le train arrivait près d'Avignon. On voyait au loin l'immense Palais des Papes, qui surplombait la ville de ses murs enrichis par leur architecture. Cette vision donna une idée à l'Impératrice. A vrai dire cette idée elle l'avait déjà eu il y a un certain temps de cela, mais à cet instant il lui semblait qu'elle devait en faire part au Pape. Elle était tout bénéfique pour le Vatican. A l'heure actuelle, sa puissance était fondée sur le foi catholique. Mais avec cette proposition, elle reposerait sur un autre facteur...

-Votre Sainteté, il me semble que j'ai moyen d'accroître la puissance du Vatican, pour que la parole de Dieu puis s'étendre. La paix repose sur une force qui puisse la maintenir. Dans le cas contraire, elle est impossible, car nous connaissons bien la nature humaine. Je vous propose de recruter davantage de soldats dans la Garde Suisse. L'Armée française pourrait s'occuper de ce recrutement, et nous placerions ces hommes sous commandement du Vatican, la Suisse étant actuellement sous tutelle française. Nous pourrions faire une distinction : la Garde Suisse traditionnelle, qui aurait en charge comme depuis toujours, la paix au Vatican; et la Garde Suisse extérieure, qui pourrait remplir des missions au sein de l'ONU et assurer la paix dans les Etats pontificaux.
Qu'en pensez-vous ?

Le pape répondit :

- C'est une idée à étudier, je pense que c'est faisable.

Le pape était content que l'entent entre le lui et l'impératrice soit revenu au beau fixe. Car il aimait beaucoup la France, et qu'il tenait aussi a remettre l'église à Avignons.

Puis le Cardinal von. Kreiss, lui apporta un message qui venait de lui être transmis par radio que l'impératrice avait dans son train pour être tenue informer des événement et aussi en cas de fait grave.

le pape le lu, et eu un air surpris et dit avec un grand sourire d'un air étonné :

- Majesté, votre idée de voir un religieux à la tête de l'ONU est enfin réalité, le Cardinal Ludwig von Louwerz vient d'être élu secrétaire général des nations unies. C'est à ne plus rien comprendre. Comme quoi on peut se tromper.

Il en revenait toujours pas de cette nomination.

L'Impératrice était très surprise de cette nomination, mais elle s'en félicitait. Elle répondit :

-Et bien voilà un souhait qui se concrétise, peut être par le bon vouloir et la bonne grâce de notre Seigneur Jésus Christ. Espérons que le cardinal sache faire reigner la paix sur le globe, et avouons que ce n'est pas chose simple à faire !

L'Impératrice avait d'ailleurs déjà en Idée d'inviter l'Empereur d'Italie et le Pape le moi prochain à Paris pour leur proposer un texte qui serait une sorte d'union entre deux entités catholiques et le Saint-Siège. Elle n'aborda pas le sujet, souhaitant faire la surprise. Et puis le Pape n'aurait pas grande route à faire car il devait rester 3 mois en France.

Le train arriva à la Gare centrale. L'Impératrice descendit du wagon après le Saint-Père, et avant les autres personnes. Une grande foule les attendait sur le quai, faite notamment de fidèles qui voulaient par tous les moyens voir le Saint-Père, et peut-être qu'il leur apporterait sa bénédiction.
A la descende du Wagon, une personne annonca :

-Le Saint-Père. Sa Majesté l'Impératrice.

Ils passèrent sur le quai, après avoir salué quelques personnes et ensuite la foule en général, puis étant sortis de la gare, ils montèrent dans la voiture qui devait les conduire au Palais.
Après quelques minutes de promenade, la voiture arriva dans la cour du Palais.

-Nous voilà arrivés Très Saint-Père.

...

Le pape regarda le palais des papes, c'était un batiments gigantesque construit à la grandeur du vatican. Le pape répondit :

- Majesté, C'est un des plus beau chef d'œuvre de la France, si nous le visitions ?

IL fit signe à l'impératrice d'avancer pour commencer la visite.

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