Réunion inter-OTAN

Le Premier Ministre de Son Altesse l'Empereur du Japon s'était rendu à Paris pour sa réunion entre les membres de l'OTAN. Cette réunion ne devait pas porter sur le domaine militaire dans un premier temps mais sur le domaine économique. L'Allemagne avait des propositions à faire dans le but d'augmenter l'efficacité économique des trois alliés.

A Paris, au Louvres, où une salle avait été prévus par l'Impératrice de France, le Premier Ministre japonais attendait...

A peine le Premier Ministre japonais arrivé, ce fut au tour du Premier Ministre français. Il pénétra dans le Château, transformé en musée, et se rendit dans la salle prévue.
Il salua son homologue japonais, puis se mit assi pour attendre le Chancelier allemand.

Le Chancelier arriva le dernier au Louvres, où avait lieu la réunion. En marchant dans les couloirs, il en profita pour jeter un rapide coup d'oeuil sur les tableaux. Il n'avait jamai pris le temps de venir, et c'était bien dommage.
Les autorités françaises avaient aménagé une salle à l'arrière du Château dans le but de cette réunion. Il se fit annoncer et entra dans la salle de conférence.

-Messieurs, bien le bonjour et merci de m'avoir attendu.

Trouver du temps en ce moment était bien difficile et ils devaient cloturer cette réunion au plus vite. Il sortit de son sac un dossier, lequel il posa sur la table et ouvrit...

-Je vous en prie, Monsieur Der Hartman. Il faut dire que nous même étions quelque peu en avance sur l'horaire prévu.

Le Premier Ministre demanda à un servant de mettre à disposition des boissons pour la réunion.

Le Chancelier allemand devait faire ses propositions, et elles étaient attendues avec impatience.

-Commencez donc Monsieur le Chancelier, nous vous laissons libre parole !

-Monsieur le Premier Ministre français a tout à fait raison, j'en aurai répondu autant.

Il prépara un stylo sur la table et sortit un carnet sur lequel il pouvait prendre ses notes.

Comme d'habitude, la réunion se déroulait en Français, seule langue commune à ces trois pays. Le Français n'était pas seule langue internationale avec l'Anglais pour rien.

Par conséquent, le Chancelier allemand prit la parole devant ses deux homologues dans le but de proposer son projet.

-Bien, Messieurs, après une discution avec Son Altesse Impériale d'Allemagne, nous avons décidé qu'il fallait absolumment que nous développions notre commerce. Ceci est très important. L'Allemagne était il y encore quelques jours la première nation commerciale, nous sommes aujourd'hui la deuxième. Les Etats-Unis ont accédé à la première place. Grâce, le PIB des Etats-Unis est certes nettement inférieur à celui du Reich mais il égalise sur la France, mais combien de temps avant de lui passer devant ? Je vous propose un contrat, lequel répertoriera de nombreux accords commerciaux. Il aurait plusieurs but : faire retrouver à l'Allemagne une première place indiscutable, à la France le second PIB de la planète, en position confortable face aux Etats-Unis, et le contrat permettrait au Japon de développer davantgae son économie qui est déjà en forte progression. Pour cela, il faut que nous nous échangions tous les trois des produits. Il me semblait convenable qu'au lieu que chacun de nous propose un produit différent, nous proposions pour un accord un seul et même produit, que nous nous échangerions. Ainsi nos consommateurs auraient le choix entre un produit japonais, français, ou allemand. Avec les taxes, nous devrons faire en sorte que les trois produits aient le même prix pour garantir la concurrence entre nos entreprises. Tous ces échanges permettraient un développement des sociétés de transports et de vente, et notre PIB gagnerait.

Le Chancelier allemand sortit de sa pochette un autre document qu'il tendit vers ses homologues.

Citation :: Contrat commercial Allemagne-France-Japon

Accords de Paris

subdivisé en 15 accords commerciaux

Les trois nations [Allemagne-France-Japon], dans le désir de se développer pour le bien de leurs peuples respectifs, s'engagent à développer un commerce entre eux. Chacune se propose à mettre en ventre sur les marché allié ses produits, tous identiques. Le pays récepteur devra adapter sa législation pour faire en sorte que dans le pays le même produit allemand, français, ou japonais ait le même prix, exepté dans le cas où la qualité ne serait pas la même et si le produit n'apporte pas les mêmes fonctions.Le jeu de la concurrence devra s'exercer sur la technique offerte au consommateur et non sur le prix.

Accord commercial numéro 1 :

L'Allemagne, la France, et le Japon s'engagent à exporter entre leurs frontières des meubles style ancien fabrication moderne à des conditions tarifaires égales à celles de leur marché national dans le but de respecter une parfaite concurrence.

Accord commercial numéro 2 :

L'Allemagne, la France, et le Japon s'engagent à exporter entre leurs frontières des ustensiles de cuisines style national à des conditions tarifaires égales à celles de leur marché national dans le but de respecter une parfaite concurrence.

Accord commercial numéro 3 :

L'Allemagne, la France, et le Japon s'engagent à exporter entre leurs frontières de la papetterie à des conditions tarifaires égales à celles de leur marché national dans le but de respecter une parfaite concurrence.

Accord commercial numéro 4 :

L'Allemagne, la France, et le Japon s'engagent à exporter entre leurs frontières des calculatrices à des conditions tarifaires égales à celles de leur marché national dans le but de respecter une parfaite concurrence.

Accord commercial numéro 5 :

L'Allemagne, la France, et le Japon s'engagent à exporter entre leurs frontières des téléphones mobiles et fixes à des conditions tarifaires égales à celles de leur marché national dans le but de respecter une parfaite concurrence.

Accord commercial numéro 6 :

L'Allemagne, la France, et le Japon s'engagent à exporter entre leurs frontières des tissus à des conditions tarifaires égales à celles de leur marché national dans le but de respecter une parfaite concurrence.

Accord commercial numéro 7 :

L'Allemagne, la France, et le Japon s'engagent à exporter entre leurs frontières des lampadaires à des conditions tarifaires égales à celles de leur marché national dans le but de respecter une parfaite concurrence.

Accord commercial numéro 8 :

L'Allemagne, la France, et le Japon s'engagent à exporter entre leurs frontières des tapisseries, tapis, ou peintures de décoration à des conditions tarifaires égales à celles de leur marché national dans le but de respecter une parfaite concurrence.

Accord commercial numéro 9 :

L'Allemagne, la France, et le Japon s'engagent à exporter entre leurs frontières du matériel de secrétariat (stylos, ciseaux, etc...) à des conditions tarifaires égales à celles de leur marché national dans le but de respecter une parfaite concurrence.

Accord commercial numéro 10 :

L'Allemagne, la France, et le Japon s'engagent à exporter entre leurs frontières du cotons et de la laine à des conditions tarifaires égales à celles de leur marché national dans le but de respecter une parfaite concurrence.

Accord commercial numéro 11 :

L'Allemagne, la France, et le Japon s'engagent à exporter entre leurs frontières des machines à coudre à des conditions tarifaires égales à celles de leur marché national dans le but de respecter une parfaite concurrence.

Accord commercial numéro 12 :

L'Allemagne, la France, et le Japon s'engagent à exporter entre leurs frontières des toiles de camouflage style national à des conditions tarifaires égales à celles de leur marché national dans le but de respecter une parfaite concurrence.

Accord commercial numéro 13 :

L'Allemagne, la France, et le Japon s'engagent à exporter entre leurs frontières de la pierre taillée à des conditions tarifaires égales à celles de leur marché national dans le but de respecter une parfaite concurrence.

Accord commercial numéro 14 :

L'Allemagne, la France, et le Japon s'engagent à exporter entre leurs frontières des disques provenant de leur production artistique nationale à des conditions tarifaires égales à celles de leur marché national dans le but de respecter une parfaite concurrence.

Accord commercial numéro 15 :

L'Allemagne, la France, et le Japon s'engagent à exporter entre leurs frontières des chaussures à des conditions tarifaires égales à celles de leur marché national dans le but de respecter une parfaite concurrence.

-Dans le présent contrat, il nous serait possible de rajouter des accords au fur et à mesure du temps, bien évidemment.

Le Premier Ministre japonais avait écouté attentivement son homologue allemand. Il avait tout à fait raisons. Il ne fallait pas laisser passer ces Américains devant tout le monde. Il éxamina le document et y posa sa signature :

-Monsieur le Chancelier, le Japon approuve totalement cette mesure qui sera bénéfique pour nos trois nations.

Le Premier Ministre français signa à son tour le document qu'il rendit à son homologue allemand.

-Nos trois pays viennent de conclure une excellente affaire il me semble, et ceci pourra que nous apporter profit. En effet, nous devons nous méfier de Taïwan qui ne cesse de conclure avec tout le monde, et cherche à monter contre nous toutes les nations de monde.

En parlant de cela, Monsieur le Chancelier allemand, nous vous laissons ouvrir le débat sur ce sujet car à l'heure actuelle seule l'Allemagne est en conflit.

-Merci Messieurs.

Comme vous le savez, l'Allemagne est actuellement en guerre contre l'Espagne. Nos services de renseignements ont reçu des informations fiables de confiance, nous indiquant que les Etats-Unis, Taïwan, le Royaume-Uni et par extansion ses colonies et dominions, et enfin l'Espagne préparaient une guerre contre l'Allemagne. Des trois pays que je viens de citer, cela ne nous a pas beaucoup étonné. Mais nous avons été très choqué par le fait que l'Espagne, qui se dit si démocratique et pour la paix à tout prix, ait pris part à cette cause.
Ces pays avaient invité l'Union soviétique à leur coalition contre nous, mais notre gouvernement a trouvé divers arrangements avec Staline pour qu'il refuse les propositions qui lui ont été faites. Nouspensions dons qu'il était urgent que nous envahissions l'Espagne pour que toute l'Europe soit sous les drapeaux du Reich pour éviter un débarquement américain. La France prend part à notre mission, et nous l'en remercions encore.

Se permettant une pointe d'ironie...

-Vous vous rendez compte, Monsieur le Latellier, certains osent penser que l'Allemagne tire les ficèles de la France ! Quelle idiotie ! Ils ne comprennent pas que de si bons alliés puissent exister !

Se tournant vers le Premier Ministre japonais...

-Et vous, sachez que nombreux sont ceux qui vous prenne pour un enfant dont l'Allemagne serait la mère, car il se dit du Japon qu'au lieu de vouloir s'associer avec ses frères d'Asie, il préfère courir dans les bras de l'Allemagne ! Quelle fantaisie !

Puis en revenant au sujet...

-Enfin, trêve de plaisanterie. Il faut que nous détruisions ces pays au plus vite les uns après les autres, avant qu'eux ne mènent une offensive contre nous. Les Etats-Unis nous ont sommé de quitter l'Espagne, ce que nous avons refusé. La déclaration de guerre est imminente.

L'Allemagne a des projets en cas de guerre. Je vous explique rapidement chers amis. Si les Etats-Unis optent pour une guerre contre l'Allemagne, ses alliés vont les suivre. Dans ce cas, la Marine française devra s'occuper d'isoler le Royaume-Uni pour qu'il n'est plus de réserves de pétrole. Le Japon lui devra isoler Taïwan et couler sa flotte, qui est ridicule par rapport à la flotte nippone. L'Allemagne, elle avec ses sous-marins, enverra les bateaux américains au fond de l'Atlantique.
Pendant ce temps, les troupes françaises d'Afrique pourront envahir les colonies anglaises d'Afrique et emprisonner leur garnison. Le Japon lui envahira Taïwan après de longs bombardements, soutenus par les navires et l'aviation allemande. Mais avant il faudra faire en sorte de détruire toute la défense anti-aérienne. Que pensez-vous de ce début de stratagème ?

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